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Je me suis amusé à utiliser la fonction d'Ipernity qui permet de trier ses articles (ou ses documents) par popularité (nombre de visites). J'ai été surpris du résultat... l'article le plus visité sur ma page (et de très loin) est un des seuls qui ne fait aucune référence à la poésie. Il s'agit d'un récit de voyage au Burkina Faso. Du coup, et même si je n'ai jamais écrit quoi que ce soit par souci de popularité, je me dis que je vais vous accorder une pause salutaire dans ce flot de vers roboratifs et parler un peu évasion réelle, et donc voyages.

Voici la suite de mon périple au Japon... chapitre très touristique. La fin la prochaine fois, dans un ton un peu différent. Bon voyage.

Dernière partie de ce voyage japonais... moins touristique, un peu plus noir. Les anciens (enfin ceux qui ont de la mémoire) retrouveront des bribes d'un article que j'avais fait sur le 360.

Petite pause dans la poésie, pasque à y réfléchir, c'est un peu lassant quand même non ? En plus, c'est les vacances (enfin pour certains) et donc je vais plutôt vous parler voyage (je vous rassure, je vais faire mes articles plus courts que pour l'île de Pâques). Donc aujourd'hui, destination Ougadougou ! (oui, le nom fait un peu rire)

Nouveau récit de voyage : il s'agit cette fois du pays du soleil levant où je n'ai pu passer que trois petites semaines. C'était il y a 3 ans tout juste en compagnie de ma douce et tendre, toute fraîchement épousée. J'avais écrit ce petit récit à la demande d'une amie et je l'ai (beaucoup) relifté et modifié pour le mettre ici... Bon voyage. PS : je voulais le faire court mais c'est raté, alors y'aura plusieurs articles (désolé) PS bis : les photos sont issues du net. Un parce qu'elles sont plus belles que les miennes et deux parce que je n 'avais pas de numérique à l'époque et que j'ai la flemme de tout scanner. Mais j'ai essayé de ne mettre que des choses réellement vues.

Faisons une pause dans cette série de texte plus lourds et dépressifs les uns que les autres pour parler un peu de soleil et de bons souvenirs... Une escapade partagée sur Google Earth m'a donné envie de vous parler des médecins qui m'ont soigné, il y a un bout de temps déjà.

Allez, une dernière partie avec quelques éléments un peu plus pointus pour ceux que la destination a interessé... Cet article ne prétend pas être exact, ni scientifiquement, ni historiquement. Il reprend uniquement ce que j'ai retenu sur le sujet, qui m'a eu l'air valable ou qui m'a interpellé...

Devant l'impatience de certains, j'ai pris un peu de temps ce midi devant un mauvais Big Mac (désolant pléonasme) pour vous rédiger le deuxième volet de ce conte... Bonne lecture !

Petite parenthèse dans "l'oeuvre" Blacksadienne...

Pour bien démarrer cette nouvelle année, je vous mets ci-dessous un texte court mais de qualité. Pas de moi évidemment, mais de Raymond Radiguet.

Un texte qui parle de la création...

Suite à l'amusette écrite pour le concours de Haïku (cf. l'article précédent), ça m'a donné envie d'écrire un vrai conte, à l'ancienne mode...

Un court texte commencé il y a déjà quelques temps et laissé en plan. Entre temps, j'ai lu le célebrissime "J'voudrais pas crever" de Boris Vian. Plutôt qu'un plagiat involontaire, ce sera donc un clin d'oeil, une référence. Bien moins libre, bien moins abouti que l'original évidemment, mais la question n'est pas là.

Voici la suite de mes impressions sur ce petit bout de terre perdu dans les flots.

Un texte que je qualifierais de... foutraque. Après l'éloge de l'alcool, voici celui du mensonge. Encore écrit très vite, alos amis des beaux textes, passez votre chemin !

Bon, j'ai contrarié ma nature de chat et j'ai bossé pour vous mettre la fin en ligne avant Noël. Vous verrez qu'il y a un épilogue... on peut le lire ou non, ça ne change rien au conte en lui même. J'ai mis aussi quelques commentaires perso mais ça, c'est vraiment si vous avez du temps à perdre !

Il est de ces phrases qui confinent au génie poétique. L'une de mes préférées est celle que je cite dans le titre de cet article... ce qui traduit en français donne à peu près : " Ici repose celui dont le nom était écrit dans l'eau". Il s'agit de l'épitaphe choisie par John Keats, un poète romantique anglais mort à 26 ans. (Si sa courte vie vous interesse, vous trouverez plein de choses sur lui ainsi que des extraits de ses oeuvres sur le net. Perso, je trouve que ses odes so…

Le chat noir ayant désespérément besoin de sourire, voici en attendant son prochain texte (qui ne s'annonce pas plus gai que les autres) une histoire totalement imaginaire et totalement non sérieuse à raconter au coin du feu. Bon, il se peut que certains éléments du récit ne soient pas vraiment adaptés aux petits enfants, mais on peut aussi raconter des histoires aux grands, non ?

Une "poésie" d'un esprit beaucoup plus blacksadien. Il parle de ces sourires tristes, de ces regards trop vides ou trop pleins et de ces larmes vite balayées d'un revers de main... ces petits riens qui vous crucifient plus sûrement que n'importe quel bourreau.

Un petit peu de poésie lyrique "instantanée", dédiée bien sûr à la muse du chat noir.