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Allez, revenons à quelque chose de plus blacksadien !

Comme une envie de remettre ce texte à la une... en attendant d'écrire mieux, en attendant de vivre d'autres nuits trop courtes.

Petite parenthèse dans "l'oeuvre" Blacksadienne...

Comme après chaque fusillade géante aux USA (Jonesboro, Columbine, Red Lake High School, Virginia Tech, Northern Illinois University, Oikos, Nickel Mines, Sandy Hooks...), on était sûr (enfin, on voulait l'être en tout cas) que l'émotion soulevée par le massacre de Newton allait faire changer les choses. Et puis il y avait Obama, le Prix Nobel de la Paix. Lui, il allait prendre les choses en main. D'ailleurs à sa réelection, les ventes d'armes et de munitions ont connu un boom : on faisait de…

Dernier né des textes du chat noir et triste.Il peut se lire comme la suite (mais pas forcément) de "l'homme sans vie". Oui, je sais, pas très festif tout ça, mais c'est pas vraiment la page du festif ici.

Petite expérience que je ne souhaite jamais renouveler...

On est en plein dans la saison de l'insouciance, de la légèreté et de l'épicurisme... Je ne pouvais pas faire moins que de tempérer tout ça !

Et sans transition on change de ton.

Quand j'ai pas vraiment d'inspiration, je prend une phrase au vol et je me donne un quart d'heure pour écrire quelque chose. C'est souvent pas terrible, mais c'est agréable d'écrire "à la volée". Voici donc une de ces amusettes, écrite à l'instant même. Vous aurez reconnu la phrase du titre, empruntée à un de mes auteurs de roman favoris dont je viens seulement de découvrir les poésies. (Comme quoi, il n'est jamais trop tard.)

Sur mon dernier article, j'évoquais avec quelques lecteurs égarés les textes dépressifs ou noirs. Il se trouve que mon précédent texte était triste mais plutôt optimiste finalement. Celui que vous allez lire (ou pas, si vous avez le moral flageolant) est cette fois réellement noir. Il y a donc peu de chances qu'il parle à beaucoup de monde. C'est un texte réflexe. Ecrit d'une traite, sans règles, ni pieds, ni rimes. Un truc qui vous sort de l'âme et pour lequel vous n'avez d'autre choix que de le cracher sur le papier.

Bon, pour changer un peu, je vais vous parler un peu de quelques endroits que j'ai bien aimé... Je vais démarrer par l'île de Pâques... Bon voyage ! PS : Rapa Nui est l'appellation traditionnelle, ça signifie "Grande île".

Un peu de poésie lyrique et passionnée...

Un texte qui parle de la création...

Un petit peu de poésie lyrique "instantanée", dédiée bien sûr à la muse du chat noir.

Suite à l'amusette écrite pour le concours de Haïku (cf. l'article précédent), ça m'a donné envie d'écrire un vrai conte, à l'ancienne mode...

Pour bien démarrer cette nouvelle année, je vous mets ci-dessous un texte court mais de qualité. Pas de moi évidemment, mais de Raymond Radiguet.

Voici une... lettre d'amour, publiée il y a longtemps sur un de mes anciens blogs 360, et la plupart d'entre vous l'ont déjà lue là-bas. Je vous rassure, je ne publie pas mon courrier à la vue de tous puisque cette lettre, bien que très sincère, fut à l'époque écrite pour une sorte de commande, ou d'exercice, et pas pour une personne en particulier. Je dis cependant qu'elle est sincère car j'ai écrit à l'époque ce que je me pensais capable de ressentir, ce que j'ai imaginé pouvoir ressentir... Mais bien évidemment, cette lettre n'aura jamais ni la sincérité, ni la beauté simple d'une véritable lettre d'amour, adressée par un amoureux à la personne qui fait que la vie se découpe désormais en un avant et il l'espère jamais en un après. Pour ce qui est des références, il y en a deux principales. Une à un conte philosophique qu'on apprend tous en terminale et l'autre, support du texte, à une chanson que vous trouverez quelque part dans mes documents.

Assez peu de temps en ce moment (pour changer !) mais encore suffisamment pour rêver.Voici un texte que j'ai eu du mal à écrire car "Les mains d'Elsa" est une de mes poésies favorites et j'ai eu beaucoup de diffcultés à m'en détacher.

Un court texte commencé il y a déjà quelques temps et laissé en plan. Entre temps, j'ai lu le célebrissime "J'voudrais pas crever" de Boris Vian. Plutôt qu'un plagiat involontaire, ce sera donc un clin d'oeil, une référence. Bien moins libre, bien moins abouti que l'original évidemment, mais la question n'est pas là.

Toujours dans le simplisme... Si j'en ai le temps un jour, je prendrai ma guitare et je mettrai des accords sur ces mots. Des accords de blues, évidemment.