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De ma chère Angleterre, A l'instar de Prévert, Permettez-moi de faire Un rapide inventaire !

Partagez-vous l'avis exprimé au 18ème siècle par le célèbre naturaliste ?

"You make me smile with my heart ... " Each day is Valentine's Day".

La guerre franco-prussienne de 1870/71 a laissé des traces dans l'arrondissement de Cambrai. Dans le courrier ci-après, son sous-préfet en fait part au préfet de Lille. [Cette correspondance, détenue par les Archives départementale du Nord, figure dans la série 8 R, folio 648]

Toi, que j'appelais Alice " I never gave a lock of hair away " To a man, Dearest, except this to thee .. " (Elisabeth Burret Brown)

" Me ferez-vous un jour aimer la Poésie ? " M'avait dit la Très Chère (était-ce un mercredi ?) Et comme je disais "oui !", elle s'est mis dans la tête, Que je lui écrirai un poème pour sa fête ... Vous Ronsard, vous Marot, venez à mon secours ! Corneille, Racine, Hugo, amis des beaux discours, Prêtez-moi votre plume, donnez-moi la recette Pour paraître une fois un petit peu poète ! J'écoutais leurs conseils ; ils étaient pertinents : Il faut parler de fleurs, de fruits, de verdure,…

" O combien de marins, combien de capitaines, "Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines, "Dans ce morne horizon se sont évanouis ! (Victor Hugo : 'Oceano Vox')

Nous sommes en 1870. Octavie BINAUT a 13 ans. Elle fréquente la 1ère division de l'école communale d'Ennetières-en-Weppes (Nord), établissement baptisé la "Sainte Union". A-t-elle eu de mauvaises notes ? Difficile de répondre à cette question ! Quoi qu'il en soit, peut-être sous la dictée d'une maîtresse, elle adressera la lettre suivante à ses parents :

J'ai eu l'occasion d'évoquer la correspondance adressée, pendant la Grande Guerre, par la jeune marraine de guerre Doodie Mc. Neel au soldat Henri Morand. On lira ci-après son courrier en date du 2 Janvier 1919.

Il y a quelques années, j'assistai en Bulgarie à un spectacle de danses folkloriques typiques. Pendant l'entracte, je rédigeai le petit poème ci-après, intitulé "Les méchants Bulgares".

J'aime les petits chemins, qui doucement serpentent, Réservés à tous ceux qui ne sont pas pressés, Je n'y entends souvent que les oiseaux qui chantent, Répondant à l'appel de mes souliers ferrés. J'en aurai parcouru, tout au long de ma vie, Des grands, des sinueux, des creux et des petits ; Et d'autres s'achevant en un étroit sentier, Ne menant nulle part au creux de la forêt.…

Dans un article précédant ( "Qui suis-je ?" ), j'esquissais "l'autoportrait" d'Aline, une dame qui avait été séduite par les perspectives que les Editions Robert Laffont étaient susceptibles d'offrir aux auteurs d'un 'premier roman'. Voici le "résumé de l'intrigue" adressé à l'éditeur susvisé.

En 2004, les Editions Robert Laffont proposèrent d'éditer gracieusement - et après sélection - le projet de 'premier roman' qui leur serait adressé. Il convenait d'adresser préalablement à leur adresse : - l'autoportrait de l'auteur, - le résumé de l'intrigue, - les dix premières pages du roman. Aline, une poétesse landaise avec laquelle j'entretenais une correspondance, me demanda de rédiger son 'autoportrait '. En voici la version intégrale :

Extraits d'une lettre de Gustave Flaubert à Louise Collet (7 octobre 1846)

Je vous ai côtoyés au temps de ma jeunesse, Nobles divinités de l'Olympe tout puissant, Vous autres, demi-dieux, qui combattiez sans cesse, Vous, les simples mortels, de la Grèce résidents. De prodiges et de drames, votre histoire parsemée M'a fait souvent pâlir au temps des traductions, Homère avait conçu l'Iliade et l'Odyssée, Mais mon maître le plus sûr était le grand Platon. De Socrate anarchiste, j'aimais l'intransigeance, De l'illustre Aristote, la belle philosophie, De l'ad…

J'ai découvert aux Archives Royales de Mons (Belgique) un bien joli poème, qui a été publié en 1894 dans les "Annales des Sciences, Arts et Lettres du Hainaut", Série V-7. Il a été composé par un nommé 'Picalausa'. N'est-ce pas une charmante contribution pour exalter le mois de Mai ?

Dans une très longue lettre en date du mercredi 25 septembre 1918, Doodie livre de multiples informations sur sa vie quotidienne en Angleterre. C'est un vent de fantaisie qu'elle adresse à Henri Morand, son 'filleul' français sous les drapeaux ... qui semble hautement l'apprécier.

Lors de leurs recherches, les généalogistes sont parfois confrontés à des documents qui, dans le contexte de l’année 2016, peuvent prêter à sourire. En témoigne ce règlement intérieur, en vigueur vers 1830 dans une entreprise lorraine, qui a retenu l’attention d’un membre du Groupement Généalogique de la Région du Nord : - REGLEMENT INTERIEUR - I) - Piété, propreté et ponctualité font la force d’une bonne affaire. II) - N…

Mon grand'père Julien, né à Lille le 1° janvier 1881, est dans sa onzième année lorsqu'il rédige la présente lettre à l'endroit de ses grands parents maternels. Son écriture est parfaite ; les sentiments qu'il exprime sont un modèle du genre. [Document issu de mes archives personnelles]

- "A quelle heure arrive le train ? - "Va t-on me rembourser mes chaussures neuves ?" Ce sont là de graves questions que le jeune appelé, Henri MORAND, n'hésite pas à poser, par écrit, au Commandant du Bureau de Recrutement de LILLE, qui est à l'époque installé à BOULOGNE-SUR-MER : Ce 30 Août 1916 "Monsieur le Commandant du Bureau de R…