Mes nuits sont enfouies sous les pleurs de la vie.
La musique me murmure diverses harmonies
Quand mes sanglots déchirent l’infini.
Ne sens-tu pas le parfum du désir
Qui caresse délicatement l’arbre de mes sourires ?
C’est comme un poème qui revient
Lancinant dans le désert de mes matins.
Sans tes étreintes, j’ai si froid.
Ne vois-tu pas mon désarroi ?
Je me languis de tes absences
Pour me retrouver sous tes baisers tendres.
Le bonheur c’est cela, après l’attente
Etre dans tes bras, offerte et consentante…
(c)Valériane
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