Dans le creux de tes mains, tu tiens mon destin.

Du bout de tes doigts, tu te promènes sur moi.

Tu joues comme un pianiste

Et seulement alors j’existe.

Tu connais toutes les touches et je me donne, farouche.

Tu es le prince de mes sourires.

Je sens encore ton souffle et l’odeur de ta bouche

Au soir de mes délires.

Mon corps est ton sanctuaire

Où ta passion se libère.

Je meurs dans tes yeux

Quand je goûte à tes lèvres

Et je m’endors toujours avec fièvre

Au rythme d’un cœur amoureux…

(c)Valériane