Monsieur, souffrez, ici, que je vous dise
Combien je vous espère et me méprise
D’oser encore vous avouer mon amour
Alors que le dédain, seul, m’entoure.
J’eusse aimé vous plaire plus que dans mes rimes.
Hélas ! Tout me montre que le désir prime
Et de désespérance, me couvre de moqueries.
Ne voyez-vous point combien j’en suis marrie
Alors que de mes doigts, votre corps je pétris ?
Je fais vibrer votre âme, quelle belle ironie !
Que j’arrête les heures pour figer nos instants,
J’y mettrais mes ardeurs pour vivre ce noble sentiment
Même si une larme de sang en mon doux cœur s’épand…
(c)Valériane
On s'y retrouve presque toutes je crois...
Ma mie la poétesse que tu nous gâtes avec ces textes...suis sincèrement émue.
Muchas gracias querida amiga je te meuh fort.
Bon dimanche♥
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