Terre de mon enfance, je ne t’ai jamais oubliée.

Je m’asseyais sur l’herbe verte, parfumée

Pour écouter le doux chant de la rivière

Qui serpentait à mes pieds, en lisière.

J’aimais y vagabonder le long de sa rive,

Laisser errer mes yeux vers l’horizon.

Immensité de champs de blés aux fiers épis,

Je sens tes odeurs jusque dans mes écrits.

Mon regard se noyait dans la vague de nostalgie.

J’entendais les voix de mes frères et sœurs

Comme un songe d’infini bonheur.


Terre de mon enfance, comment pourrais-je t'oublier ?

Mes moments les plus joyeux furent ceux de ma tendre jeunesse

Qui viennent souvent me hanter dans mes regrets tendresses…

Mon enfance fut celle dont tous vous avez rêvé,

Un chemin d’amour dans sa réalité…

(c)Valériane