Le Yin et Le Yang. ABSENTE 陰 陽's favorite articles

S'il-vous-plaît allez lire l'article de la Team www.ipernity.com/blog/team/706397 Comme vous savez, la Team a pris une décision concernant la gestion des groupes qui a été mise à jour le 03-03-2014. D'après la Team: Les administrateurs de groupes pourront définir les personnes habilitées à faire des suggestions d'ajout dans leurs groupes (administrateurs/modérateurs seulement, ou tous les membres du groupe).. - Quant à nos groupes : nous avons pris la décision de ne pas laisser qu'u…

Une plume dorée volait au vent. Elle tournoyait dans les airs doucement. Un ange, à mes yeux ravis, l'avait laissée choir Par un bel après-midi d'été, empreint d'espoir. S'envolaient des vers, des rimes, en chantant De sa bouche rose au sourire charmant. Dans l'encre violette, je l'ai trempée. Aussitôt, elle se mit à courir sur le papier. Dansaient le menuet les lettres girondes Aux arabesques burlesques et rondes. Sa pointe magique traçait des merveilles Aux heures nimbées des ra…

Yo ya no puedo comprender más nada de ipernity... Primero, llegan de sorpresa y transforman nuestras paginas de manera impositiva. Sin decir nada a todos, fuimos nosotros mismos encontrando lo que dicen - que va a cambiar para los que no son CLUB a partir de 31 de mayo. Ahora, viene esta invasión de muñecos que migraron de Flickr porque allí también hay cambios y a estos muñecos no les gustó... Me parece que estos sitios de internet están haciendo cambios de la manera que quieren y nos les i…

L’ombre du soir creuse d’anciens silences Où se sont perdues les voix d’êtres aimés. Les étoiles ont pâli depuis leur absence. Les souvenirs d’antan, un instant, ravivés Laissent au cœur des soupirs au goût altéré. J’écoute le temps se déchirer au vent solitaire. La conscience m’ouvre ses portes au mystère. Où aller si personne n’est là pour me guider ? Où mourir si personne n’est là pour souffler La lampe que j’ai mise au seuil de mon foyer, Quand je m’en irais, un jour, tous les…

Au jardin de mon père, y avait une merveille ! Un petit banc de bois peint tout en vert-bouteille Qu’il avait lui-même façonné et sculpté. Il trônait dans un angle parmi les rosiers. Inutile de vous dire comme cet endroit embaumait Et d’où me vient l’amour pour ma fleur préférée… C’était profusion de corolles colorées, De boutons dans leurs corselets serrés, De roses éc…

Et je peins les vers de mes poèmes Au gré de mes humeurs bohèmes. Tout naît du temps qui me traverse Comme une symphonie me berce. Ô poésie ! Art à l’écriture de pluie Qu’essouffle des vertiges lointains, Je tiens au bout de mes songes gris Des synapses fleuries au doux parfum. Ma pensée se cueille au néant. Je me dis que cela devient dément. J’écoute la musique…

La très chère était nue, et, connaissant mon cœur, Elle n'avait gardé que ses bijoux sonores, Dont le riche attirail lui donnait l'air vainqueur Qu'ont dans leurs jours heureux les esclaves des Maures. Quand il jette en dansant son bruit vif et moqueur, Ce monde rayonnant de métal et de pierre Me ravit en extase, et j'aime à la fureur Les choses où le son se mêle à la lumière. Elle était donc couchée et se laissait aimer, Et du haut du divan elle souriait d'aise A mon amour pro…

Quand je m’endormirai, sans effroi, sous la terre Emportant avec moi la senteur des moissons, Mes joies, mes peines et mes merveilleuses passions, J’aurais jeté mes rêves au vent des quatre saisons. Ni l’or des soirs moroses qui tombent sous la brume, Ni le parfum des roses enivrant, éphémère, Ni la brise légère aux doigts de satin qu’on hume, Ni l’odeur de la pluie qui danse sur le bitume…

Sur les pas d'un vent froid, Une fenêtre illuminée, l'attire. A l'intérieur, un piano qui pleure... Un sapin tout décoré, chaleur du foyer, Une cheminée, un bureau. Une femme aux cheveux dorés Ecrit un chant sans nom... Sa plume légère effleure le papier De mots....de sons....de rêves... Douceur de ses lèvres... Vent de solitude Touche le cœur de l'inconnu, Frissons inconscients. A cet instant...Mouvement ! Une ombre passe, Un chat...…

Quand le brouillard descend doucement sur la plaine Effaçant un ciel gris d’une écharpe de traîne, Pas un cri, pas un rire, pas même un son de cloche Ne trouble mes pensées aux ombres qui s’accrochent. Quand mon âme se vêt d’habits noirs, de sanglots, Je cherche vainement dans quel vocabulaire Rimaient autrefois Verlaine ou Rimbaud Dans leur quête utopique qui fut crépusculaire…

Tu me demandes : « à quoi ressemble le silence ? Toi, la malentendante ? Quelle ombre t’apporte souffrance ? Le silence c’est comme éteindre la lumière, Ma mie, fermer les yeux sur un ciel d’azur, clair. C’est quand il n’y a plus de mots pour exprimer Sa pensée, sa peine, sa joie d’aimer et d’espérer. C’est les flocons qui dansent la nuit sur le pavé. Ils sont aussi doux…

Les couleurs d’or de l’automne M’enivrent du fusain divin. Paysage gris, monotone Comme un éternel chagrin. J’écoute susurrer Eole Qui, espiègle, caracole Emportant à toute allure La robe de Dame nature. Virevoltant, il murmure Aux nuages, l’hiver naissant Tandis que le temps fissure Le sol sous le gel tout blanc. Feuilles mordorées, ocrées…

J’ai attrapé la fièvre à l’aube d’un hiver. Je m’étais crue guérie, je vivais un enfer. La douleur revint me terrasser avec ardeur. J’ai attrapé alors la peur lovée au ventre. Je n’osais croire et me suis mise à l’attendre. Pourtant, son retour était vain et illusoire. J’ai attrapé l’espoir au regard d’un amour Qui me semble aujourd’hui si dérisoire. Ses yeux bleus qui mentaien…

Rimer à cœur désir Sur les ailes du vent En écoutant rugir La mer si peu lointaine, Sentir de mes émois La fraîcheur des fontaines Qu’on goûte certains soirs Au temps des beaux étés, Se laisser divaguer Sur des rêves chenus En pensant aux oiseaux Volant dans un ciel nu, E…

Les soleils révolus (ou fin des tournesols) par ficonpx3 Quand j'ai découvert ce champ de tournesols j'ai vu tout de suite un peuple à l'abandon, un peuple meurtri, martyrisé et tenant à peine debout.. La pensée des camps de la mort m'est venue en tête car les tournesols avaient l'air tellement tristes que le désespoir sautait aux yeux..Quand on voit ces formes on voit des corps décharnés, stoïques et silencieux comme ce fut le cas certainement dans les camps de concentration... Po…

Ta voix aux accents profonds murmure des mots Qui glissent tel un chant sur mon âme. Elle se fait rauque et sensuelle sitôt Que se bousculent les sensations qui m’affament. Dans mon tiroir secret, je garde la mélodie De tes murmures tendres et de tes chuchotis. Redis-moi l’amour et son chant si beau ! Fredonne-moi ses gammes tout haut Afin que dans mon sommeil, tous ses sons…

Fico Photo-peinture des sources Après avoir travaillé mes photos en numérique avec un logiciel approprié aux arts graphiques, mes photos me semblaient abouties dans le fond mais il manquait quelque chose dans la forme... Je ne savais pas quoi mais présenter des sources sauvages (puisque c'est le thème que j'ai choisi) indomptables dans le cadre très hiérarchisé d'un photo papier rectangulaire ne me convenait pas.. Je voulais que le cadre d'une photo n'existe plus tout comme il existe la…

Ne vois-tu pas qu’il est temps ? Les notes égrenées dans le silence Des heures s’écoulent tristement Au mirage lié de résurgences. Ta lèvre tremble, ton œil s’égare ! Inconstante mémoire qui se pare D’oublis et d’abandons ! Crépuscule Faits de fantômes qui se bousculent. Tu hantes des couloirs sans fin, Sans souci des lendemains Vers de blanches solitudes Où tu erres comme à l’h…

Les troglodytes de Monton (19 août 2012 17h) + quelques artistes en vidéo: Marc Tixier http://www.dailymotion.com/video/xsxee6_marc-tixier-aux-troglodytes-de-monton_creation Eric Stievenard http://www.dailymotion.com/video/xsxeev_eric-stievenard-aux-troglodytes-de-monton_creation Pascale Dietschi http://www.dailymotion.com/video/xsxeei_pascale-dietschi-aux-troglodytes-de-monton_creation Gilles B. http://www.dailymotion.com/video/xsxeef_gilles-b-aux-troglodytes-…