HelenaPF's photos

02 Apr 2010

2 favorites

11 comments

1 218 visits

"Hey Grandpa, come see the kittens."

Cadeau de mon ami Jim Booher des USA "So there I was . . Just relaxing in front of the TV When the kids yelled: "Hey Grandpa, come see the kittens."

02 Apr 2010

13 favorites

9 comments

1 633 visits

Vivendo Sem Mim

http://www.youtube.com/watch?v=TQiAOnEKXKc

08 Mar 2007

9 favorites

8 comments

1 273 visits

Le bonheur par Berry

21 Apr 2007

10 favorites

8 comments

1 159 visits

un petit poisson.....

01 Apr 2010

5 favorites

3 comments

811 visits

Les sorcières de Salem d'Arthur Miller

01 Apr 2010

3 favorites

4 comments

900 visits

Viens mon beau chat sur mon coeur amoureux

29 Jul 2007

4 favorites

6 comments

2 424 visits

Chat mystérieux et séraphique

31 Mar 2010

9 favorites

5 comments

1 740 visits

Offrande de Tony Truand

Illustration à partir d'une statue de Solenn Hart http://www.terredamour.com Viens heurter de ton pas le galet de mon coeur Viens baiser de ton givre mon visage de pierre Aspire dans ce chant de tremblantes liqueurs Des rêves éblouis nagent sous ta paupière Nous marchons toi et moi dans la campagne hantée Etonnés d'entendre dans la tresse des bois Sous des masques sans nom des paroles apportées D'époques où chuchotait la nature aux abois Confuses sentences de la sève et du vent Couche-toi près de moi écoutons cet automne Puis j'éteins dans le soir charmé d'un ciel vivant Sur ta lèvre noyée un souffle qui frissonne Tu t'effraies vaguement en cette heure effacée D'un relief étranger des choses familières Un mystère animé en ces ombres baissées Inquiète ton iris d'une fauve lumière Alors le ciel ferme ses dernières rougeurs Et la lune égoutte son sein flasque aux ramilles Ta nuque s'agace d'un baiser voyageur Tout gicle de parfums et tout se déshabille Il descend des rameaux une moiteur fatale Des alcools entêtants dilatent ta pupille De l'amour circulant sens lever le métal Sous le mufle des fleurs une haleine fourmille Au dégel des soleils engourdis dans tes reins Nos lèvres complices trempent à l'âcre désir Et ton ventre grêlé de saccades d'airain Egraine la grenade éclatée du plaisir Nos corps nouent leurs aveux et nos esprits divaguent Des frissons sur ta peau frisent sous mes baisers Et ta hanche balance à l'ourlet de sa vague La caresse palmée de nos chairs épousées Tu voues tes flancs repus aux exquises paresses Roulant ta tête folle en des fêtes sonores Nous laissons cet automne jonché de nos caresses Et nos serments enfuis aux furtives aurores Le soleil a sonné sa cymbale de cuivre Une aube décochée vient percer la ramure Lors je te dis adieu puisqu'il nous faut bien vivre Vois-tu la rouille ocrer la forêt en armure Sur mes draps épaissit la fleur crépusculaire De ton ressouvenir et dans l'ombre rayée L'onde de tes cheveux joue d'un rayon solaire Des seins de lave affleurent entre mes oreillers Où fuir ce ciel athée qu'une clarté dévaste Tes yeux dardent en l'azur leurs insolentes vagues Les étoiles immobiles ont cloué ton corps vaste A-t-on comme l'amour serti l'adieu en bague Pour toi les hameaux bleus que les chemins emportent La vertèbre du vent dans les blés vagabonds Les forêts entrouvertes et leurs milliers de portes Mon coeur dans sa poitrine et son dernier rebond Tony Truand https://www.test.ipernity.com/blog/115938
2110 items in total