Parce qu’un cœur ça se brise,
On peut encore le panser en cas de crise
Mais rien n’est pire
Qu’une âme qui se déchire…
Quand les doux rêves expirent,
Se meurent l’amour et les soupirs.
C’est comme une vague insurmontable
Qui vous submerge et vous accable.
Le désespoir vous envahit et vous noie. Incapable
De se défendre contre cette lame.
A quoi bon les pleurs ma dame
Viendront lassitude et rancœur…
Il restera cette meurtrissure
Avec un goût amer de flétrissure…
(c)Valériane
bisous ma chérie
ps : merci de me lire cela me touche
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