Un matin, dans l’âtre abandonné,
Nos lettres d’amour, j’ai brûlé…
A quoi bon les garder !
S’envolent à jamais les notes aimées
En volutes éthérées de fumée.
Cendres brûlantes de tes baisers…
Eclats de rêves qui s’échappent de la cheminée…
J’entends le doux murmure de tes « je t’aime »
Dans l’abandon et dans ma peine
Doucement murmurés.
Ainsi disparaissent les serments
De fidèles amours, anciens tourments
Qui laissent un goût de cendres bien souvent…
(c)Valériane
Ca me plait toujours autant ma Valeriane ;;;Bisous
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