Qui a dit que l’indifférence ça n’existe pas ?
Il se trompait…Je le sais…Voilà…
Entends-tu sangloter mon âme
Tandis que peu à peu se dessèchent mes larmes ?
Jamais tu ne m’aimeras, ton cœur ne me connaît pas.
Quand tu cueilles sur mes lèvres un baiser,
Tu voles une parcelle de mon éternité.
L’amour n’a pas de préférence.
Il ne se nourrit pas d’indifférence.
Doucement, il meurt en silence
Tandis que le cœur se brise de souffrance.
Mais…Chut ! Ce n’était qu’une confidence…
(c)Valériane
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