Aimer à en perdre son âme…
C’est triste mais ça m’affame…
Je longe des couloirs d’angoisse, noirs
Poussant parfois au désespoir.
Dans l’épaisseur de mes nuits,
Je parfume ma chambre du souvenir
De ton brûlant désir.
S’élève alors un chant étrange,
Une prière qui dérange,
De ma gorge nouée
En une douce mélopée,
Un appel silencieux dans le soir gris
Que, seul, peut entendre celui
Qui sait qui je suis…Pour qui j’écris…
(c)Valériane
Sign-in to write a comment.