Larmes qui coulent sur des joues d’opale
Comme source de lumière de cristal.
Je m’abandonne au rêve où tu m’appelles
Vers tes bras qui me bercent en réel.
Dans tes yeux, magnifiques prunelles,
Je deviens tremblante tourterelle.
Corps embrasé de magie écartelée
Tu es venu avec des roses parées de baisers.
O combien je t’ai aimé !
Par quel prodige ! Je ne sais…
L’amour est un merveilleux poème
Qui peut conduire au bonheur suprême
Mais aussi vous laisser seul un matin, blême…
(c)Valériane
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