La poésie est ma terre d’asile

Où j’écris de ma plume habile.

Sur les lignes de ma vie, elle défile

Et se noie dans l’encre de mes lignes.

C’est une terre de misère

Qui accueille ceux qui se désespèrent.

Des mots douceur, des mots caresse

Pour distiller de la tendresse.

Il n’est pas de meilleur abri

Que le cœur d’un ami.

Elle est ma compagne de toujours,

Celle des bons et des mauvais jours

Après laquelle souvent, je cours.

A elle, je confie mes joies, mes peines

En prose, en vers comme Verlaine.

Ma terre d’asile c’est toi ma poésie…

(c)Valériane