François Echeveria (Hippolyte Girardot), huissier de son état, débarque au petit matin dans une cité avec un avis d’expulsion. Mais en ce jour d’anniversaire du 11 septembre, le destin fait des siennes: il est pris en otage par le père (Fellag) et le fils (Aymen Saïdi) qu’il devait expulser. Le GIGNest appelé en renfort, les journalistes de télévision campent sous les fenêtres, la cité est prête à s’embraser et le prêfet (Michel Vuillermoz) a fort à faire pour essayer de calmer les esprits.A l’intérieur de l’appartement, tout n’est pas simple non plus...

Dernier étage gauche gauche est comme son titre l’indique : de gauche pour le contenu social et gauche pour le contenant, assez foutraque. Plutôt sympathique au début, le film devient de plus en plus lourd à mesure que l’intrigue s’enlise pour finir au niveau d’un téléfilm, façon La journée de la Zup.
Le mélange de comédie sociale «à l’italienne» et d’humour absurde ne prend définitivement pas et le spectateur reste en rade à mi-palier.