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Je me rappelle bien de
ces doux instants de tendresse,
de ces moments de complicité
avant que tu me délaisses
Hier,
quand tu étais là,
près de moi
Assis dans le jardin d'Eden
tu écoutais alors ma voix,
tapis là, sur ma peau d'ébène,
sussurant des mots d'autrefois
Ta tête sur mon épaule,
tu me disais toujours oui.
Je croyais que notre amour
ne serait jamais fini
Hier,
quand tu étais là,
près de moi
Bien sûr, l'avenir n'était pas écrit
alors, pour nous deux
mais l'éternité devait se charger
de nous rendre heureux
Avril 2009
Câlinou has replied to M@rie ♥ ♥n'est pas si complqué, il suffit de se laisser aller
et écouter son coeur (moi j'ai un forfait illimité)
Merci aussi pour ces quelques moments de doute
qui t'ont fait penser un instant que ce poème n'était pas de moi.
Je vais essayer de me remettre à la prose même si c'est plus
la tasse de thé de mon amie Aimela
Câlinou has replied to M@rie ♥ ♥Le temps passe et je suis content
d'avoir écrit ce texte qui n'est pourtant
le temps passant plus vraiment le mien.
Bisous
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