Articles by j-p l'@rchéo

La main droite est encore trop incertaine : pour tenir l'allumette et éviter le retour de flamme, j'utiliserai donc la gauche pour communiquer. Je suis encore tenu de limiter mes efforts aux seuls exercices prescrits par ALINE, ma désormais tutrice en rééducation, laquelle m'encourage à ne pas trop en faire. Pour couper court: en un peu plus de deux années, j'ai cumulé les incidents de parcours... Double embolie pulmonaire avec quelques séquelles neurologiques, rupture du tendon d'Achille de la jambe droite... L'horizon s'éclaire à nouveau. Il faut croire que l'animal a encore des ressources. Qui disait "la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie! A vos claviers, amis de toujours qui avez continué à me rendre visite et à témoigner de l'intérêt que vous avez bien voulu porter à mes images ou à mes écrits. MERCI à chacune et à chacun. Je m'efforcerai à nouveau de prendre des nouvelles et de témoigner des "choses de la vie", comme par le passé. A la revoyure, si je puis m'exprimer ainsi.

qui me donne l'éclairage de cette journée où je vais me trouver tenu de faire quelque chose qui pourrait me rendre morose si je m'abandonnais à la mauvaise humeur : jeter à la poubelle des archives qui m'ont suivi dans mes déménagements successifs et reconnaître qu'il ne servait à rien de vouloir accumuler des papiers "qui pourraient toujours servir"... En fait, à ce jour et depuis quinze bonnes années, elles dormaient dans des rayonnages, des cartons, des tiroirs, sans que j'ai éprouvé le besoin de les consulter et que je m'en suis très bien passé... Faire place nette pour pouvoir me mettre en situation de "faire du neuf" c'est à dire de créer...Sans doute le soleil, quasiment printanier, est pour beaucoup dans cette envie de poursuivre dans l'écriture de ce recueil de nouvelles qui n'attendait que ma "bonne volonté" de poursuivre...le travail engagé. A force d'inciter mes "contacts" à se doter de cet excellent moyen de se rendre utile à eux-mêmes, je m'étais - presque - oublié ! Mais pour ne pas vous laisser choir en abandonnant ma chronique sur ce site, qui tendrait à me devenir lassante, je vous délivre cette citation qui vient juste de me tomber sous les yeux :

Sachant que chaque personne est aussi un personnage aux multiples facettes qui s'inscrit dans la mouvance d'une diversité des talents et des comportements, pourquoi vouloir à tout prix se rendre prisonnier d'un groupe ou d'un clan ? Mon bonheur chaque matin est de trouver de nouveaux inscrits dans des groupes suffisamment ouverts pour accueillir sans sélection la porte à de nouvelles créations...Lesquelles n'ont aucune raison d'être modérées ou administrées ! Administrer la liberté ? Modérer le talent ?

relations équilibrées ?... La lecture, il y a quelques instants, de propos véhéments sur un blog dont l'auteure a choisi de modifier les masques, condamnant explicitement le comportement de mes frères de sexe masculin, m'incite à remettre le sujet sur tapis avant que les conclusions sans appel de ces "bonnes soeurs" ne les aient définitivement condamnés au néant ! Certes, nous les porteurs de phallus - la nature nous ainsi dotés de ce potentiel - ne sommes-nous pas des chevaliers BAYARD, dont la devise serait celle du connétable "Sans peur(s) et sans reproche(s)". Certes, l'histoire de l'humaine condition, nous a souvent placés dans des situations dirigeantes... Mais, ce n'est le plus souvent qu'avec la tacite acceptation des mères, des compagnes, des filles qui ont cru longtemps y trouver leur CONTE en perpétuant le mythe du PRINCE CHARMANT...

le monde était clair, l'art ne serait pas." Cette citation d'Albert CAMUS sur la tombe duquel je me suis rendu dans le petit cimetière de LOURMARIN, pour nous interroger quelque peu sur la destinée et la fin de ceux que notre mémoire conserve pour modèles... Quelques pieds d'iris et de lavandes , un arbuste, et une sépulture pas même entretenue pour l'enfant du pays, dont l'aura brille de tous ses feux loin hors de nos frontières...Voilà qui peut en dire long sur le dérisoire de la condition humaine ...

c'est à la fois, cet instant que nous vivons dans l'action ou le recueillement, qui n'appartient qu'à chacun(e). Il est tout à la fois produit de tout un passé qui n'est plus et projet d'un avenir qui ne sera jamais ce que nous aurons prévu... En triant des images pour n'en retenir que quelques unes afin d'en faire "présent" à quelques "contacts" et ami(e)s, je prends conscience du dérisoire de notre situation d'acteurs de notre propre vie... Ne sommes-nous que des tenants ou des aboutissants ? Et l'écriture ou la photo ne sont-ils pas seulement de vains efforts pour figer le temps qui nous entraine inexorablement vers l'ailleurs, l'inconnu ? Quoique il en soit, le plaisir vécu en cet instant présent, je m'en réjouis, ne serait-ce que parce que j'espère qu'il sera - peut-être ? - partagé ! Par quiconque y aura trouvé son propre intérêt de lecteur ou de commentateur(e)... Plus ou moins familier, mais à jamais "l'étranger !"

et- comme tout un chacun n'a pas son Charles sous la main et que je ne suis pas chien, voici la suite et la fin...

Je laisse aux poètes la parole, comme chacun(e) le voit, afin d'éclairer nos voies ! " Un ennemi est comme un mur, un ami comme une voix qui montre sa voie."

pour vous préparer à passer un bon dimanche de détente !

Le passage à l'an XIII va vous mettre encore à contribution ! Tout va augmenter, même le prix de la bière; les seuls transport qui resteront gratuits seront, en dehors de la marche à pied...les transports amoureux . Surtout ne vous en privez pas !

n' y a t-il pas comme un désir qui sommeille ? Comme celui d'être à la place du prédateur ou de la prédatrice ? Ainsi, les sociétés matriarchales ont perduré tant que les ethnies ont vécu en autarcie, se nourrissant exclusivement de la cueillette, de la pêche et de la chasse... En témoignent les objets de culte à la Déesse-Mère qui ont précédé dans la préhistoire les représentaions de dieux vengeurs témoins des premiers conflits entre clans...Impliquant la capture et le viol des procréatrices, et la domination des patriarches sur les territoires et les sujets conquis par la force ! Les religions monothéistes sont devenues, au fil du temps la caution d'un ordre nouveau qu'on tend à nous présenter comme naturel...Avec le discours inquiet de tous les intégrismes ... La résistance actuelle des hommes devant la montée de la puissance féminine dans le domaine des compétences et la volonté de barrer le chemin des plus volontaires, n'est-elle pas le signe d'une peur ancestrale inconsciente qui remonte au fond des âges ?

Pour les curieu(se)x de la légende, je recommande l'ouvrage de NOËL MARMOTTAN : LE PONT d'AVIGNON LE PETIT PÂTRE BENéZET Imprimerie MISTRAL de CAVAILLON (1954) d'où est extrait le poème ci-dessous :

Entre NOËL et le JOUR DE L'AN, il est temps de rendre à BENEZET ce qui lui revient dans la construction du fameux pont qui fait, dans le monde, l'image réputée d'AVIGNON ! C'est à BONPAS sur la commune de CAUMONT SUR DURANCE qu'on retrouve la trace des frères "pontifes" (Avant le XIème, siècle) qui ont précédé les CHARTREUX... BéNéZET n'était pas le jeune"pâtre" au sens de berger, mais le prieur de cette communauté religieuse qui avait dans le silence requis par la règle, décidé de recueillir des fonds pour construire l'édifice sur le RHÔNE prolongeant la route de ROME vers VILLENEUVE au royaume de FRANCE.

Soyons fol(le)s, faisons un rêve c'est NOËL, nous sommes des EMMANUEL !...

C'est le moment ou jamais de croire au Père Noël et de réclamer les valeurs christiques universelles : PAIX AMOUR FRATERNITé PAF ! PIF ! Et pendant que nous nous préparons à échanger des cadeaux, à fêter la naissance d'un enfant né dans une crèche à BéTHLéEM en JORDANIE il y a vingt siècles environ, nous pouvons aussi nous interroger sur les réalités du monde dans lequel nous sommes les infimes parties, très facilement ignorantes de ce qu'elles préfèrent oublier... Le message a été dénaturé et nous faisons comme si personne n'avait à répondre des exactions, des pollutions, de l'absence de solidarité... JOYEUX NOËL, dans le virtuel de nos bonnes inconsciences ! Nous sommes bien à l'image de ces dieux que nous faisons mine d'adorer : PARFAITEMENT...IMPARFAITS !

A investir... A volonté !

Nous avons survécu (poil au menton !) à l'horreur annoncée par de faux pro-fêtes ! C'est toujours comme ça quand on écoute les oiseaux de mâle heure qui prédisent les pires avanies - sans framboises hors de prix car hors de saison - à celles et à ceux qui se sentent coupables rien que parcequ'ils ont osé divaguer hors des sentiers balisés ...* "Non, les braves gens n'aiment pas que l'on suive une autre route que qu'eux queue ..." "Au suivant !..." AUX SURVIVANTS BIEN VIVANTS COMME VOUS... ET MOIS DE DéCEMBRE !

Hier, dans la soirée une bonne centaine de "citoyens ordinaires" étions réunis à l'initiative des animateurs de l'Association ATELIER AVIGNON 2014, qui soutient la candidature à la Mairie de Cécile HELLE, une jeune femme universitaire qui a une vision très holistique de la politique municipale... Des réunions participatives sont ainsi régulièrement organisées avec toute personne volontaire qui souhaite contribuer à améliorer la qualité de la vie pour tous et non seulement pour une caste de privilégiés inféodés à un parti pris ... Un lieu convivial avait été choisi : Le DéLIRIUM (nom prédestiné) et le buffet composé à la façon "auberge espagnole"pouvait soutenir la comparaison avec celui d'un traiteur professionnel. Pour marquer le lancement d'un futur local au Centre Ville, à la rentrée de Janvier, une présentation des travaux d'enquête déjà réalisés dans les quartiers et dans une ville voisine prise pour référence illiustrait la méthode développée... Un ensemble musical venait donner le tempo dans l'intervalle de trois tables rondes animées par des compétences reconnues !