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Bientôt prêt à embarquer. Si cette aventure vous tentait un jour. Voilà comment vous y rendre. La destination finale est le confortable lodge flottant où seront passées les nuits de repos. Celui-ci n'est accessible qu'en bateau ou en hydravion (voir ici sa localisation). Après avoir accompli le trajet entre l'aéroport de Sandspit et le pont d'embarquement sur des routes forestières c'est avec un Zodiac du Moresby Explorers que vous pourrez rejoindre le lodge. Pour aller à Sandspit, pas de problème, il existe des vols intérieurs gérés par Air Canada. A partir de Vancouver, deux heures en l'air vol avec un Bombardier Jazz et vous y êtes. Pour se rendre à Vancouver, là, vous avez le choix. Il existe plusieurs solutions, de nombreuses compagnies ont cette destination à leur catalogue. Vancouver est à environ 8000km de Paris et certaines compagnies proposent des vols avec escales plus où moins longues. Evitez de passer par les Etats-Unis, les contrôles douaniers y sont pénibles. Les compagnies les plus directes sont Air-Canada et Air-Transat. Attention, cette dernière compagnie ne fait les vols Paris-Vancouver qu'à certaines périodes de l'année. Je vous laisse prendre le moyen qui vous plaira pour vous rendre à l'aéroport Charles de Gaulle. Pour moi, ce sera une navette aéroport pour l'aller. Ces compagnies prennent toutes les mesures nécessaires pour emmener leurs clients dans les délais. Pour le retour, le train sera une solution plus économique, il n'y aura plus d'impératif d'arriver à l'heure à la maison. Le départ approche maintenant. Un oeil sur la météo annonce de la pluie et de l'orage sur Sandspit et des températures encore négatives la nuit. Elle annonce une dizaine de degrés seulement le jour. C'est certainement une température idéale pour les baleines mais moi, qu'est ce que je fais dans cette galère ? Je me le demande. ;-) | |
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Prochain article : la suite et complétude du blog à mon retour | |
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