Le crépuscule s’est glissé sous sa peau
Irisant son corps de doux reflets rosés
Prenant feu au creux de son ventre
Et mourant au fond ses pensées.
Orgie de chaleur et de lumière incendiée,
La douce égérie de son embrasement
S’est alors consumée
Le laissant pantois et haletant
De courbes tendres, en combat acharné, la force de ses ébats
Soulève les montagnes,
atteignant un sommet, mille fois imaginé.
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