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Montfort-l’Amaury fut le fief de la famille des Montfort depuis le XIe siècle et Amaury Ier le premier comte. Au cours de la guerre de cent-ans, le château est ruiné. Anne de Bretagne, reine de France, transforme le château en manoir fortifié gothique. Elle consolide le donjon roman et lui adjoint une façade aux parements de briques et de pierres de taille. Il subsiste aujourd'hui une tourelle d'escalier à vis surmontée de machicoulis et sa porte surmontée de sculptures flamboyantes (Tour Anne-de-Bretagne). Montfort-l'Amaury, Yvelines, France.

Montfort-l’Amaury fut le fief de la famille des Montfort depuis le XIe siècle et Amaury Ier le premier comte. Au cours de la guerre de cent-ans, le château est ruiné. Anne de Bretagne, reine de France, transforme le château en manoir fortifié gothique. Elle consolide le donjon roman et lui adjoint une façade aux parements de briques et de pierres de taille. Il subsiste aujourd'hui une tourelle d'escalier à vis surmontée de machicoulis et sa porte surmontée de sculptures flamboyantes (Tour Anne-de-Bretagne). Montfort-l'Amaury, Yvelines, France.

Montfort-l’Amaury fut le fief de la famille des Montfort depuis le XIe siècle et Amaury Ier le premier comte. Au cours de la guerre de cent-ans, le château est ruiné. Anne de Bretagne, reine de France, transforme le château en manoir fortifié gothique. Elle consolide le donjon roman et lui adjoint une façade aux parements de briques et de pierres de taille. Il subsiste aujourd'hui une tourelle d'escalier à vis surmontée de machicoulis et sa porte surmontée de sculptures flamboyantes (Tour Anne-de-Bretagne). Montfort-l'Amaury, Yvelines, France.

La première église romane de Montfort l'Amaury fut construite au XIe s. par Amaury Ier. Anne de Bretagne, comtesse de Monfort et reine de France procède aux XVe et début XVIe s. à sa rénovation et son agrandissement dans le style gothique. Le clocher roman est conservé au milieu de la nef mais l'église ne comporte ni transept ni chapelles. Les travaux sont ensuite poursuivis dans le style de la Renaissance. De splendides vitraux sont installés à cette époque et font depuis la renommée de l'église. Au XIXe s. le clocher roman est détruit et on achève la construction d'un autre placé cette fois à l'entrée de l'édifice.

Classiquement, la Vierge des litanies est représentée entourée du soleil, de la lune, d'une étoile et de 12 autres attributs bibliques accompagnées de 15 formules poétiques: "electra ut sol" (resplendissante comme le soleil) "pulcra ut luna" (belle comme la lune) "stella maris" (étoile de la mer) "porta celi" (porte du ciel) "sicut lilium inter spinas" (comme le lis entre les épines) "exaltata cedrus" (cèdre surélevé) "turris David cum pugnaculis" (tour de David, bâtie en forteresse) "oliva speciosa" (olivier à l'aspect brillant) "puteus aquarum viventium" (puits d'eau vive) "virga Jesse floruit" (tige de Jessé fleurie) "speculum sine macula" (miroir sans tache) "fons hortorum" (fontaine des jardins) "hortus conclusus" (jardin clos) "civitas dei" (cité de Dieu) (source: La sculpture flamboyante en Normandie et Île-de-France Par Jacques Baudoin)