HelenaPF en pause's photos with the keyword: tendresse

Et le soleil est noir....

Cadiz, l'énigmatique

25 Apr 2023 51 25 1962
N'essaie pas de te cacher derrière le bonzaï , t'es trop grosse, je te vois! Dédiée à Roland

Najda, celle qui illumine ma vie...

22 Mar 2025 53 28 2187
Elle n'est pas impolie, elle tire la langue parce qu'elle a peur!

"L'âge du tendre" de Marie Chaix

21 Jun 2022 61 30 2952
"Le sang de la femme est la marque de sa chair,sa différence,son étrangeté,son signe particulier,son étoile à six branches.Au long des millénaires,au cours de civilisations inspirées par les hommes,les hommes ont vu dans le sang de la femme un symbole de sa faiblesse, de son infériorité." Marie Chaix

Sem você, meu amor Eu não sou ninguém

05 Apr 2013 16 7 2090
Eu sem você Não tenho porquê Porque sem você Não sei nem chorar Sou chama sem luz Jardim sem luar Luar sem amor Amor sem se dar Eu sem você Sou só desamor Um barco sem mar Um campo sem flor Tristeza que vai Tristeza que vem Sem você, meu amor Eu não sou ninguém Ai, que saudade Que vontade de ver Renascer nossa vida Volta querido Os meus braços Precisam dos teus Teus abraços Precisam dos meus Estou tão sozinha Tenho os olhos cansados De olhar para o além Vem ver a vida Sem você, meu amor Eu não sou ninguém Me without you, there's no reason Because without you i can't even cry I'm flame without light, garden without moonlight Moonlight without love, love that's not given And i'm without you only lovelessness Boat without sea, field without flower Sadness that goes, sadness that comes Without you, my love, I'm nobody Ah, how i miss you How i wish to see reborn our Life Come back, darling My arms need yours Your arms need mine I'm so lonely I have eyes tired of looking nowhere Come see life Without you, my love, i'm nobody Without you, my love, i'm nobody.

Je regarde l'aurore apparaître

20 Feb 2010 18 10 1388
www.youtube.com/watch?v=PANzRQWpM9Q

Rien avoir, mais passionnément, Ne rien se dire ép…

12 Jan 2011 22 11 1904
http://www.youtube.com/watch?v=aykJDSaJ6lk Pour qui, comment quand et pourquoi ? Contre qui ? Comment ? Contre quoi ? C'en est assez de vos violences. D'où venez-vous ? Où allez-vous ? Qui êtes-vous ? Qui priez-vous ? Je vous prie de faire silence. Pour qui, comment, quand et pourquoi ? S'il faut absolument qu'on soit Contre quelqu'un ou quelque chose, Je suis pour le soleil couchant En haut des collines désertes Je suis pour les forêts profondes. Car un enfant qui pleure, Qu'il soit de n'importe où, Est un enfant qui pleure, Car un enfant qui meurt Au bout de vos fusils Est un enfant qui meurt. Que c'est abominable d'avoir à choisir Entre deux innocences ! Que c'est abominable d'avoir pour ennemis Les rires de l'enfance ! Pour qui, comment, quand et combien ? Contre qui ? Comment et combien ? À en perdre le goût de vivre, Le goût de l'eau, le goût du pain Et celui du Perlimpinpin Dans le square des Batignolles ! Mais pour rien, mais pour presque rien, Pour être avec vous et c'est bien ! Et pour une rose entr'ouverte, Et pour une respiration, Et pour un souffle d'abandon, Et pour un jardin qui frissonne ! Rien avoir, mais passionnément, Ne rien se dire éperdument, Mais tout donner avec ivresse Et riche de dépossession, N'avoir que sa vérité, Posséder toutes les richesses. Ne pas parler de poésie, Ne pas parler de poésie En écrasant les fleurs sauvages Et faire jouer la transparence Au fond d'une cour au murs gris Où l'aube n'a jamais sa chance. Contre qui, comment, contre quoi ? Pour qui, comment, quand et pourquoi ? Pour retrouver le goût de vivre, Le goût de l'eau, le goût du pain Et celui du Perlimpinpin Dans le square des Batignolles. Contre personne et contre rien, Contre personne et contre rien, Mais pour toutes les fleurs ouvertes, Mais pour une respiration, Mais pour un souffle d'abandon Et pour ce jardin qui frissonne ! Et pour vivre passionnément, Et ne se battre seulement Qu'avec les feux de la tendresse Et, riche de dépossession, N'avoir que sa vérité, Posséder toutes les richesses Ne plus parler de poésie, Ne plus parler de poésie Mais laisser vivre les fleurs sauvages Et faire jouer la transparence Au fond d'une cour aux murs gris Où l'aube aurait enfin sa chance Vivre, Vivre Et ne se battre seulement Qu'avec les feux de la tendresse Et, riche de dépossession, N'avoir que sa vérité, Posséder toutes les richesses Vivre vivre Avec tendresse, Et donner Avec ivresse !

Vos mains dessinaient de douces arabesques

12 Dec 2011 28 24 2010
www.youtube.com/watch?v=gTKu-CDz30w&feature=related The evening is long, my kisses were true, it's obviously you. That something you said, the timing was right, the pleasure was mine. The time and the place, the look on your face, sincerest of eyes. If you're ready or not, the state of the hearts, there's no time to take. Where we started, always broken-hearted. Now we're leaving, It could begin and end in one evening. We woke up out of light, held on to the day, then it became ours. The minutes went by, the cab is outside, there's no time to take. We departed, moving on. And we're leaving, it could begin and end in one evening. Where we started, always broken hearted. Now we're leaving, it could begin and end in one evening. We departed, moving on. And we're leaving, it could begin and end in one evening.