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Mosquée impériale ottomane située dans le quartier d'Eminönü à Istanbul, sur la rive sud de la Corne d'Or, au débouché sud du pont de Galata. Sa construction commence en 1597 sur l'ordre de la sultane Safiye, épouse du sultan Mourad III. L'extérieur présente un arrangement pyramidal composé de soixante-six coupoles et semi-coupoles et comporte deux minarets. La coupole principale culmine à 36 mètres de hauteur, et son architecture s'inspire très significativement de la Mosquée bleue, chef d'œuvre Istanbuliote érigé à la même époque (17ème siècle) sous le règne du célèbre sultan Ahmet Ier [ Wikipedia ] https://www.youtube.com/watch?v=1_vHfvh8-NI Ottoman Classical Music

Offrande/Offering, Istanbul Pour la paix dans le monde, contre la guerre économique, contre l'expansionnisme guerrier des grandes puissances occidentales et d'ailleurs... Chine et Russie incluses. For peace in the world, against economic war, against the warlike expansionism of the great Western powers and elsewhere...Including China and Russia L'Europe vote en juin pour son parlement. Les pouvoirs en place, qui maitrisent l'économie, la finance et les médias, l'emporteront, avec le soutien obligé d'une extrême droite plus prépondérante que jamais depuis 1936.

Fête de la tulipe / Tulip Festival Istanbul JARDIN Nubes a la deriva, continentes sonámbulos, países sin substancia ni peso, geografías dibujadas por el sol y borradas por el viento. Cuatro muros de adobe. Buganvillas: en sus llamas pacíficas mis ojos se bañan. Pasa el viento entre alabanzas de follajes y yerbas de rodillas. El heliotropo con morados pasos cruza envuelto en su aroma. Hay un profeta: el fresno -y un meditabundo: el pino. El jardín es pequeño, el cielo inmenso. Verdor sobreviviente en mis escombros: en mis ojos te miras y te tocas, te conoces en mí y en mí te piensas, en mí duras y en mí te desvaneces Octavio Paz ~o0o~ www.youtube.com/watch?v=uXm-Xco5BWA&list=PLDB559112E9E5841B ~o0o~ JARDIN Nuages à la dérive, continents somnambules, pays sans substance ni poids, géographies dessinées par le soleil, effacées par le vent. Quatre murs de terre. Bougainvilliers : dans leurs flammes pacifiques mes yeux se baignent. Passe l’air entre des murmures de feuillages et d’herbes à genoux. L’héliotrope aux pas violets croise enveloppé de son parfum. Il y a un prophète : le frêne - et un méditant : le pin. Le jardin est petit, le ciel immense. Verdeur qui survit dans mes débris : dans mes yeux tu te vois et touches, tu te connais en moi et en moi tu penses, en moi tu dures et en moi disparais. Octavio Paz