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Vue depuis la porte est.

La vue est légèrement plongeante, mais pas particulièrement dégagée non plus. Il faudrait savoir à quoi ressemblait le paysage dans l'Antiquité.

Une seule arche, contrairement aux entrées de ville ou à la porte de South Shields.

La porte nord du camp, reconstituée (à comparer à celle de South Shields au Royame-Uni : www.ipernity.com/doc/49678/15010117/in/album/316963) .

Chemin vers l'entrée ouest du camp.

Il y a en fait deux états de construction ici. La salle était au départ un frigidarium, sans les pilettes. Elle fut ensuite reconvertie en tepidarium.

Bassins d'eau froide, aux parois recouvertes de mortier hydraulique.

A partir du IIe s., ces canalisations furent recouvertes par un péristyle. On y a retrouvé une bague d'une riche romaine, qui avait dû la perdre dans le trou d'évacuation d'une piscine.

Ajout tardif que cette salle où la vapeur vous faisait suer abondamment, à l'ouest du complexe.

Entrée de la chaufferie.

Salle juste au nord du caldarium.

Au-dessous, une conduite d'évacuation de l'eau. Cet espace fut plusieurs fois remanié : au départ, il abritait une chaufferie pour le tepidarium adjacent (à gauche, hors-champ), puis une chaufferie et un vestiaire. Ce fut seulement dans son dernier état qu'il devint un frigidarium dallé de marbre.

A 300 mètres à l'ouest du camp, on peut visiter un vaste complexe thermal, qui fut remanié à au moins 4 reprises. Le premier établissement remonte à la fin du Ier s.. Vers 130, il prit davantage d'ampleur (caldarium flanqué de deux sudatoria en abside, frigidarium, portique au nord. Vers 180 enfin (époque des guerres contre les Marcomans), un nouveau sauna circulaire fut construit, et le plan des salles fut remanié afin d'aggrandir frigidarium et tepidarium. Vers 230, les thermes virent leur activité se replier suite aux incursion des Alamans : ils furent abandonnés vers 258/259, même si une petite activité put continuer en marge. Ici, une des absides latérales du caldarium d'origine, dont on reconnaît bien les pilettes.