Adriana Grecu's photos with the keyword: Maroc

Maroc, Dunes Merzouga

Maroc, Essaouira

Le Maroc est un pays de rêves, très beaux paysages, dépaysement, authenticité, aventures si on pense toucher la mer de sable où la nature s’éclate dans une féerie de couleurs en échange toujours. Les dunes Merzouga sont les plus belles du Maroc, attirantes par la hauteur, la couleur du sable, la beauté du paysage sur la route de Ouarzazate jusqu’au Rissani et puis Merzouga. Au sud de l’Atlas marocain, le Sahara prend sa place dans le paysage. Sable et palmiers s’y font de plus en plus présents, les dunes montent à l’assaut de plateaux noircis par le soleil et des oueds verdoyants se faufilent entre les montagnes. Des villages de terre dissimulent leur palmeraie au creux des vallées, le sable gagne, le sable partout, un impression d’infini, d immensité nous envahit, des couleurs inattendues qui nous surprennent, l’aventure du voyage déjà commence, connaître la vie nomade, vivre une forte expérience donné par l’immensité du sable, images en échange toujours, l’une plus belle d’autre, la voix de la nature aussi notre dépendance d’elle et puis….la majesté de la nature devant nous petits, petits, le silence qui frappe, la solitude aussi l’approchement du désert. Toucher le sable au dos du dromadaire, sera ton ami, apprendre le connaitre, sentir ensemble le rythme des pas, le son des pas, découvrir la beauté d’être ensemble, toujours la recherche pour trouver le point plus stable où mettre le pied, chaque pas est difficile mais doucement la peur est disparue, je vis une impression que je suis mise face à moi-même. Nous sommes au cœur des dunes qui ondulent telle de vagues, le vent dessine un paysage époustouflante, des dunes proches de nous les autres loin, très loin, mirage et trompe-d’ œil, l’immensité à perte de vue. Doucement on admire le soleil se coucher, des nuances roses, orangées sur le sable. On prend un thé vert à la menthe, une cérémonie particulière pour honorer la personne à qui il est offert, le the a des significations sur la vie, l’amour et la morte. Je sens la fatigue, une sensation plaisante, la nuit obscure nous embrasse. Le ciel nous dévoile des milliers des étoiles, spectaculaires les moments quand tu peux toucher les étoiles, facile les trouver sur le ciel noir, le silence domine, je ferme mes yeux, je veux que le temps s’arrête ici, l’esprit s’évade…une douce brise du vent, des fins particules de sable je les sens sur le visage, je m’endors à la belle étoile…. et doucement attendre l’aurore, une magnifique ambiance, les caresses du soleil, la lumière qui change à chaque moment, sa force qui gagne, un paysage mouvant, éphémère, une seule brise du vent pour effacer tout et recommencer. Stupéfaite par toute cette beauté autour de moi je devienne l’enfant avec son innocence et joie, il faut s’élancer, se jeter à corps perdu dans la dune géante, le corps léger, j’oublie où je suis, j’aime sentir mieux la touche du sable, je suis perdue en souvenirs, voilà une course sans fin. Le sable dans les chaussures qui deviennent lourdes, c’est sure, le sable veut me retenir ici à jamais. Les caresses du soleil sont de plus en plus fortes. Heureuse d’admirer et revoir à l’infini les images en échange, tant de splendeur au milieu de l’immensité, l’œil sur l’horizon, mes pensées ailleurs, j’ai l’impression de flotter, le mystère reste entier. Adriana Grecu Carnet de voyage

C'est une folie de haïr toutes les roses parce que une épine vous a piqué, d'abandonner tous les rêves parce que l 'un d'entre eux ne s'est pas réalisé, de renoncer à toutes les tentatives parce que l'un d'entre eux ne s'est pas réalisé, de renoncer à toutes les tentatives parce qu'on a échoué... C'est une folie de condamner toutes les amitiés parce qu'une d'elle vous a trahi, de ne croire plus en l'amour juste parce qu'un d'entre eux a été infidèle, de jeter toutes les chances d'être heureux juste parce que quelque chose n'est pas allé dans la bonne direction. Il y aura toujours une autre occasion, un autre ami, un autre amour, une force nouvelle. Pour chaque fin il y a toujours un nouveau départ... Le Petit Prince Antoine de Saint Exupéry

Maroc, El Jadida, Spectacle Fantasia.

Maroc, Moyen Atlas

Maroc, El Jadida, Port de pêche.

Maroc, Moyen Atlas

Maroc, Essaouira

Les cascades d'Ouzoud sont des chutes d'eau d'environ 110 m de haut, sur trois paliers, sur un site géologique pittoresque de l'oued Ouzoud, à 1060 m d'altitude du massif de l'Atlas, entre le Moyen Atlas et le Haut Atlas, au Maroc.

Maintenant, je suis au milieu d'une fête à El Jadida, " Fantasia", un spectacle équestre traditionnel principalement pratiqué au Maroc. C’est une exhibition de la maîtrise unissant l’homme et son cheval. La première impression est un assaut militaire, les chevaliers armés de pistolet à poudre noire simulent une charge de cavalerie qui se termine par une volée coordonnée de leurs armes. Et c'est pourquoi on l'appelle aussi " jeu de la poudre", héritier de l'art équestre berbère, dont la pratique est attestée depuis le XVIe siècle. La chevauchée colorée s’élance en ligne, les hommes et les chevaux galopent jusqu’ à l’ennemi imaginaire, tous gardent le même rythme pour arriver en même temps sur une seule ligne, ils s’arrêtent net quand les cavaliers tirent en l’air à l’unisson. La charge s’arrête brusque. L’homme et cheval se mêlent dans un nuage de poussière, on sent des cris, c’est un moment fantastique et le spectacle continue, nous on admire la technique équestre de chevaliers, leurs agilité, audace, courage. Difficile décrire la joie, l’émotion forte. Pour quelques moments l’ambiance gagne en tranquillité, je prends le courage m’approcher d’eux, je ne cesse pas les admirer. Les cavaliers sont vêtus de blanc, pantalons bouffants et djellabas, une ceinture nouée par derrière, un haïk, pièce d’étoffe dans laquelle ils sont drapés, babouches hautes, un poignard recourbé glissé dans un étui de velours, leurs fusils de parade incrustés de nacre et ivoire. Les chevaux nous montrent des harnachements fastueux, soie brodée, cuir, métaux dorés ou niellés. Je vis une forte émotion, c’est un spectacle féerique. "La Fantasia" est l’un des attraits touristiques parmi les plus spectaculaires, continuer cette tradition implique sacrifice aussi un grand amour, un sport qui attire encore nombreux personnes, quel que soit l’âge, aussi des femmes. J’ai eu la chance d’admirer ce spectacle en diverses occasions et endroits du pays, la curiosité, l’admiration ne cesse pas remplir ma joie, le bonheur de la fête. La Fantasia représente pour moi une rencontre fascinante avec les traditions marocaines et reste encore un souvenir qui me fait chaud au cœur.

Une dimanche en juillet, on cherche la fraîcheur, à 30 km au sud de Marrakech sur la route du grand Atlas la Vallée d' Ourika nous plonge dans un paysage magnifique et vues de rêve, devant cette beauté, le regard et le cœur se fondent. Presque inhabituelle dans cette région pourtant la température monte vers 49 degré. Après une randonnée de quelques heures on découvre une vue majestueuse, la montagne ne cesse pas me tenir en admiration, un paysage incroyable. Je regarde les nuances de vert, les couleurs de la pierre, j’admire émerveillée comme un enfant, je ressens une ambiance particulière. La beauté de la montagne s’étende à perde de vue, je suis privilégiée de pouvoir admirer une telle nature, mes pensées s’évadent…je suis à Chamonix, monter encore 1400 m, les vues changent aussi les perspectives, chaque moment qui passe si proche une autre aventure, enfin devant le glacier des Bossons, on admire la couleur et la pureté de la glace, une vue fabuleuse, des panoramas spectaculaires. Une voix douce, cristalline me remet à la réalité. Samira chante, elle est pleine de joie, les parents à côté, on parle avec eux, et on continue la route ensemble, on rit, on crie jusqu'à on arrive sur la vallée ... ici on devient tous des enfants. On sent la fraîcheur du l’eau, c’est comme une caresse. Samira aime sentir glisser l’eau sur sa peau, agite les doigts à la surface de l’eau, elle rit et continue son jeu. Je regarde sa joie, c’est comme la mienne. Le temps passe doucement. On reste déjeuner ensemble, l’invitation fait partie de l'hospitalité marocaine qui est légendaire, c'est un honneur de vous recevoir, ce qui veut dire, au contraire, qu'en refusant, vous pouvez blesser la personne qui vous a invité. Le repas est préparé sur place pendent qu'on parle, on raconte, une amitié commence. Samira me regarde discrètement, je regarde ses yeux, l'innocence et tendresse. Son regard me suivie encore. Adriana Grecu Carnet de voyage-Coup d'œil

Les caresses d ’Essaouira Les pieds enfoncés dans le sable, je cherche la fraîcheur, la tranquillité aussi la solitude, mes souvenirs volent dans le ciel bleu. Il est difficile maintenant penser à notre première rencontre, je me rappelle un après-midi en couleurs changeants, le vol des muettes, les vagues qui roulent, les cris des pêcheurs...un sentiment de peur, le sentiment de peur pour notre rencontre, comment sera... Je ne savais rien sur toi mais je pensais que tu était là et combien de temps passé ailleurs. Combien des fois j ’imaginais l’ émotion de notre rencontre, le moment de solitude pour apprendre te connaître, seulement nous. Quelques paroles étaient suffisantes pour comprendre combien on est loin l’ ’un de l’ ’autre. J’ ai rêvé te trouver et combien de temps j’ attendais. Maintenant je suis devant toi, incroyable, je te regard, je sens tes premiers caresses un peu froides, une touche qui réveille en moi le désir d’ apprendre te connaître, gagner la confiance en toi. Voila, je laisse mes bras oubliés sur la force de les tiens, je sens cette force, c ’est elle qui m’ aidera te regarder encore et encore, j ’apprendrais le courage t’ affronter. Sera le soleil qui donnera à nous la joie de la rencontre. Les yeux fermés encore, je tourne la tête, je cherche parmi mes souvenirs.... ambiance inquiétante, une tempête sur la mer, les vagues forts, géantes, les rayons du soleil domine la scène, approche émotionnelle, surprenante transparence du l 'eau, des personnes accrochées d 'un navire luttent avec les vagues, impressionnant l'effet chromatique, un coin lumineux comme un symbole de confiance. Le mouvement des vagues, l 'un devient plus forte que le précédent, les gens font des efforts pour survivre. Mais il y a une espérance comme toujours dans la vie, les gens seront sauvés. Je me rappelle cette toile du grand peintre Ivan Aivazovski- La Neuvième Vague- à Saint Pétersbourg. J 'essaye continuer rêver mais toujours le rêve est la joie d’ un moment. J ’ouvre mes yeux, vraiment tu est si proche de moi, je prends le courage regarder plus loin, c’ est tout plus beau que dans mon rêve. Le soleil nous fait un signe discret, ton bleu change, ta force devient plus forte, oui, je sais, la soirée prendra doucement sa place et toi t éloignera de moi. Mais nous on se verra, sera la nuit qui découvrira pour nous les premiers moments ensemble, les plus beaux. Seulement un instant je me cache dans mon enfance, la mer devant moi, les vagues en mouvement tranquille, j’ essaye toucher cette immensité de l ’ eau, elle m ’ embrasse, j’ ai peur un moment mais doucement je commence l’ aimer, parfois elle me manque beaucoup mais je sais qu’ elle est proche et on se verra souvent. Inoubliable ma première rencontre avec la mer, maintenant je te regarde et je comprends ta force, les caresses du vent, un garçon avec sa balle passe devant moi, il s’ arrête un moment, un regard furtif, on est devenu des amis toute de suite...je crois qu'on avait besoin l'un de l'autre, moi j'avais l'enthousiasme et lui le ballon. La plage est devenue la notre, je ne sais pas quand est arrivée la soirée. On y attend la paix du soleil couchant, conquête de la lumière et des couleurs et au delà des couleurs, toujours une rencontre. Un jour après le même jeu, mais cette fois le ballon est dans mon terrain. Les plus beaux moments de la journée commencent au réveil de soleil, les premiers rayons qui parlent avec toi..silence....la plage déserte, tout est calme et serein. J’ attends, j’attends un signe de toi. Adriana Grecu Carnet de Voyage

Un' ispirazione di Delacroix Solo per un momento i miei pensieri volano verso San Pietroburgo, Hermitage, una tela di Delacroix “Marocchino che sella il suo cavallo”, e come lo sto guardando adesso. E penso anche al viaggio fatto dal pittore in Marocco, la natura dei luoghi e la luce che determinarono uno svolto decisivo nelle sue opere. Adesso mi trovo in piena festa sulla spiaggia di Essaouira, “ La Fantasia”, uno spettacolo equestre tradizionale praticato sopratutto in Marocco. La prima impressione e un assalto militare, i cavalieri armati di pistola a polvere nera simulano una carica di cavalleria che culmina con una raffica coordinato di loro pistole. E per questo che si chiama anche “Giochi della polvere”, l'erede del arte equestre berbera turco-araba, la sua pratica è attestata fin dal XVI secolo. E torno ancora indietro nel tempo, Delacroix assiste sulla strada verso Meknes alla sua prima Fantasia, impressionato e tornato in Francia realisa un acquerello che lo troviamo oggi a Louvre. La Fantasia e tradizionalmente legata alla festa. La settimana del Festival di musica gnaoua che si svolge a Essaouira nel mese di giugno, ti fa sognare ogni giorno e notte, si balla si canta, la fantasia e una delle attrazioni che attira i turisti e abitanti sulla spiaggia. Nella luce del tramonto assisto a questo spettacolo e penso a Delacroix. Adriana Grecu Carnet de voyage

Un regard vers la vie des autochtones, l immensité du sable, comment rester indifférent a cet spectacle de la nature. L'homme ne s'incline que lorsqu'il rencontre ce qui le surpasse...et c'est bien ce qui lui arrive dans le Sahara.

On dit que les femmes sont la beauté, le charme, la délicatesse et la douceur d’âme. Que cette journée qui t’est dédiée t’apporte autant de joie que tu en répands autour de toi… Joyeuse fête de la femme!