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islas de agua par/by Lourdes Cué


Islas de agua
Lourdes Cue
Granit, pierres et galets.
220 x 100 x 45 cm.
150 x 240 x 45 cm.
120 x 180 x 45 cm.
Surface au sol : 220 x 185 x 40 cm.
Mes oeuvres, raconte l’artiste d’origine mexicaine, ont toujours puisé leur inspiration du contexte dans lequel elles ont été créées, de cette conjugaison particulière des éléments naturels et culturels environnants. Ainsi en est-il de mon projet Islas de agua qui se veut un reflet du paysage : les trois éléments de la sculpture suggèrent l’île de Montréal, les Îlets-Verts et la marina de Longueuil. Ces îles d’eau constituent des portions de terre sans cesse façonnées tant par l’action implacable des forces de la nature que par celle de l’homme.
L’eau génère vie et création alors que la terre symbolise depuis toujours la fécondité. Dans la mythologie aztèque, l’eau embrasée et la pierre fleurissante sont les deux actions qui unissent le cosmos dans l’acte primordial de la création.
Islas de agua énonce le phénomène simultané du mouvement et de la permanence, du fleuve qui s’écoule et de l’immobilité de la terre. Cette vaste terre des Amériques unit le Mexique et le Canada, mais les oécans les relient tout autant. En fait, par essence, nous habitons tous sur une île prisonnière de l’eau.
Les trois blocs de granit de formes irrégulières sont sommairement dégrossis par taille directe. On peut d’ailleurs y lire nettement la trace laissée par les outils de l’artiste. En opposition à la permanence évoquée par le roc, l’artiste a souligné l’éphémère en déposant ici et là sur ces trois rondes-bosses des amas de petits galets.
De plus, comme le font voir ces photographies, le cycle des saisons vient altérer la perception de l’oeuvre. Les fenêtres percées dans le roc nous éveillent à la théâtralité du paysage alors que le jeu de la lumière sur le granit n’est pas sans évoquer, à certains moments de l’été, la blancheur crue des haciendas mexicaines...
(Source: Marigot.ca)
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Lourdes Cue
Granit, pierres et galets.
220 x 100 x 45 cm.
150 x 240 x 45 cm.
120 x 180 x 45 cm.
Surface au sol : 220 x 185 x 40 cm.
Mes oeuvres, raconte l’artiste d’origine mexicaine, ont toujours puisé leur inspiration du contexte dans lequel elles ont été créées, de cette conjugaison particulière des éléments naturels et culturels environnants. Ainsi en est-il de mon projet Islas de agua qui se veut un reflet du paysage : les trois éléments de la sculpture suggèrent l’île de Montréal, les Îlets-Verts et la marina de Longueuil. Ces îles d’eau constituent des portions de terre sans cesse façonnées tant par l’action implacable des forces de la nature que par celle de l’homme.
L’eau génère vie et création alors que la terre symbolise depuis toujours la fécondité. Dans la mythologie aztèque, l’eau embrasée et la pierre fleurissante sont les deux actions qui unissent le cosmos dans l’acte primordial de la création.
Islas de agua énonce le phénomène simultané du mouvement et de la permanence, du fleuve qui s’écoule et de l’immobilité de la terre. Cette vaste terre des Amériques unit le Mexique et le Canada, mais les oécans les relient tout autant. En fait, par essence, nous habitons tous sur une île prisonnière de l’eau.
Les trois blocs de granit de formes irrégulières sont sommairement dégrossis par taille directe. On peut d’ailleurs y lire nettement la trace laissée par les outils de l’artiste. En opposition à la permanence évoquée par le roc, l’artiste a souligné l’éphémère en déposant ici et là sur ces trois rondes-bosses des amas de petits galets.
De plus, comme le font voir ces photographies, le cycle des saisons vient altérer la perception de l’oeuvre. Les fenêtres percées dans le roc nous éveillent à la théâtralité du paysage alors que le jeu de la lumière sur le granit n’est pas sans évoquer, à certains moments de l’été, la blancheur crue des haciendas mexicaines...
(Source: Marigot.ca)
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