En toute intimité

bien prise cette salle ! bravo Julien ! c'est magnifique*******************************************

Un peu comme à la maison . Merci Valériane

Que c'est riche! :-)

Toutes les pièces du château sont aussi richement décorées . Merci Sylvie

Peut-être un peu trop ... Au bout d'un moment il devait être difficile de supporter tant d'ornements! Ne crois-tu pas? Cela n'enlève rien à ta capture, superbe comme d'hab!
Bisous mon ami

Oui , tu as raison helena , c'est assez répétitif comme décoration mais toujours d'une grande beauté . Bises

C'est vrai que c'est trop ! .....
Même le sol semble magnifique ! C'est un tapis ou un carrelage ?

Un tapis sur un magnifique parquet . Merci

J'aime pas trop le style "Moderne" :-))

;o)))

Très riche!

Oui , on peut dire cela :-) , merci guenievre

Quelle déco...

Cela m'amènerait presque à réviser une opinion que je défends pourtant depuis longtemps : l'ostentation de richesse est un mal qui vient du règne de la bourgeoisie, donc du XIXème siècle : voir les descriptions infinies dans les romans de cette époque alors que chez Mme de Lafayette on se contente de phrases comme « Le prince pénétra dans la plus belle chambre qu'il eût jamais vue », ou « La princesse de X... était la plus belle personne qui eût jamais paru à la cour ».

La noblesse ne décrit pas, elle n'est pas attachée aux choses ni aux détails de la physionomie. Ce sont les marchands parvenus du XIXème siècle qui inventorient et évaluent tout : voir les didascalies infinies décrivant le décor au début de Ruy Blas de Hugo.

Mais devant cette horreur - car je crois qu'il y a des constantes du beau et du laid - je dis :

- Soit je me trompais
- Soit ce bric-à-brac immonde a été accumulé pus tard (au XIXème siècle).

Je consulte Wikipédia et je lis notamment à propos de la chambre à coucher d'apparat :

Le mobilier se compose d'un ensemble en noyer sculpté : un lit à colonnes, deux tables de nuit, deux commodes, une console, un canapé, six fauteuils, six chaises, deux tabourets de pieds, livrés en 1860 par la maison Fourdinois. Le guéridon (œuvre du marbrier italien Pietro Martinori) au centre de la salle, fut offert par Pie IX au prince impérial, son filleul, et fut présenté à l'Exposition universelle de 1867

Donc ces horreurs sont encore l'œuvre du "stupide XIXème" siècle...