
nostalgie
Folder: Créations
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Découvrez !
J'en ai tant vu qui s'en allèrent
Ils ne demandaient que du feu
Ils se contentaient de si peu
Ils avaient si peu de colère
J'entends leurs pas j'entends leurs voix
Qui disent des choses banales
Comme on en lit sur le journal
Comme on en dit le soir chez soi
Ce qu'on fait de vous hommes femmes
O pierre tendre tôt usée
Et vos apparences brisées
Vous regarder m'arrache l'âme
Les choses vont comme elles vont
De temps en temps la terre tremble
Le malheur au malheur ressemble
Il est profond profond profond
Vous voudriez au ciel bleu croire
Je le connais ce sentiment
J'y crois aussi moi par moments
Comme l'alouette au miroir
J'y crois parfois je vous l'avoue
A n'en pas croire mes oreilles
Ah je suis bien votre pareil
Ah je suis bien pareil à vous
A vous comme les grains de sable
Comme le sang toujours versé
Comme les doigts toujours blessés
Ah je suis bien votre semblable
J'aurais tant voulu vous aider
Vous qui semblez autres moi-même
Mais les mots qu'au vent noir je sème
Qui sait si vous les entendez
Tout se perd et rien ne vous touche
Ni mes paroles ni mes mains
Et vous passez votre chemin
Sans savoir que ce que dit ma bouche
Votre enfer est pourtant le mien
Nous vivons sous le même règne
Et lorsque vous saignez je saigne
Et je meurs dans vos mêmes liens
Quelle heure est-il quel temps fait-il
J'aurais tant aimé cependant
Gagner pour vous pour moi perdant
Avoir été peut-être utile
C'est un rêve modeste et fou
Il aurait mieux valu le taire
Vous me mettrez avec en terre
Comme une étoile au fond d'un trou
Cherche regard neuf sur les choses
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Découvrez !
Une guêpe s'envole, se pose, butine
Et l'image cogne à ma rétine
Mais déjà mon regard est loin
Je n' sais plus voir le quotidien
J'aimerais me réveiller sans mémoire
Redécouvrir c'que j'peux plus voir
J'ai écrit une petite annonce
Un mois déjà, pas de réponse
Ref
Cherche regard neuf sur les choses
Cherche iris qui n'a pas vu la rose
Je veux brûler encore une fois
Au brasier des premieres fois
Je veux revoir ma premiere fleur,
L'accompagner, jusqu'à c'qu'elle meure
Et découvrir une flaque d'eau
Comme une porte pour descendre en haut
J'irais dimanche à Orly Sud voir le métal s'prendre pour une plume
Ouvrant les doigts, joignant mes pouces
J'verrais mon ombre
Lui faire la course
Cherche regard neuf sur les choses
Cherche iris qui n'a pas vu la rose
Je veux brûler encore une fois
Au brasier des premieres fois
Cent ans lui sont,
Comme prise au piège
Je devinerais mes premières neiges
Battant des mains comme un enfant
J'm'entendrais rire
"Eh c'est tout blanc"
Je veux poursuivre des nuages noirs
Au grand galop
Sur les trottoirs
Sous la tourmente
Au mur du vent
Les parapluies deviennent vivants
Cherche regard neuf sur les choses
Cherche iris qui n'a pas vu la rose
Je veux bruler encore une fois
Au brasier des premières fois
Mais j'ai croisé sur mon chemin
De grands yeux bleus
De blanches mains
Ces menottes ont pris mes poignés
Et ce sont ces yeux qui m'ont soignés
Des parapluies se sont ouverts
Un grand avion a fendu l'air
A déversé ces doux flocons
Tout été blanc, tout...non
A nos pieds, brillait quelquechose
Et mes yeux ont reconnus la rose
J'ai brulé tout contre toi
Au brasier d'une première fois
Pour toi ma Nonette
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Découvrez !
Oh Mon Ange mets des ailes à tes phalanges, ça ne change rien...
Oh Mon Ange puisque rien ne se perd puisque tout...
Oh Mon Ange mets des ailes à tes phalanges,
ça ne change rien entre nous
Oh Mon Ange puisque rien ne se perd
puisque tout se transforme et tout change
je suis loin d'être une sainte
lointaine de St Thomas
je ne crois pas seulement à ce que je vois
mais toi plus que mon sang et ma chair à la fois
mon enfant plus que ça
je te crois et te sens
Oh Mon Ange mets des ailes à tes phalanges,
ça ne change rien entre nous
Oh Mon Ange puisque rien ne se perd
puisque tout se transforme et tout change
Oh Mon Ange, Oh Mon Ange, Oh Mon Ange, Oh Mon Ange, Oh Mon Ange
quand on était petit
on voyait déjà grand
et l'eau était si claire
qu'on se voyait dedans
tu l'as trouvée si belle
tu t'es baignée longtemps
tu es plus près du ciel et loin d'être une enfant
Oh Mon Ange, Oh Mon Ange
tu l'as trouvée si belle
tu t'es baignée longtemps
tu es plus près du ciel et loin d'être une enfant
Oh Mon Ange mets des ailes à tes phalanges,
ça ne change rien
Oh Mon Ange puisque rien ne se perd
puisque tout se transforme et tout change
et tout change, et tout change, et tout change
Oh Mon Ange Oh Mon Ange...
mets des ailes...
Peut-être qu'y a plus rien Que le soleil, qu'les p…
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Y a pas d'miracle
Mais elle en a bavé
Elle en a pris des claques
Avant de t'emporter
On va dire que tu dors
Que tu t'reposes encore
Dis est-ce que tu nous vois
D'en haut ou bien d'en bas
On est tous un peu comme toi
On n'y croit pas
Est-ce que tu te promènes
Dans des paysages que même
En fermant fort les yeux
On n'imagine pas
Y a pas d'miracle
Mais elle en a bavé
Elle en a pris des claques
Avant de t'emporter
On va dire que tu dors
Que tu t'reposes encore
Peut-être qu'y a plus rien
Que le soleil, qu'les planètes
C'est rien que dans la tête
Et qu'ça n'va pas plus loin
Peut-être qu'y a plus rien
Et que nul ne s'inquiète
De ce corps qu'on vous prête
Comme le croient certains
Dis est-ce que tu nous vois
D'en haut ou bien d'en bas
Si j'te demande tout ça
C'est pas seulement pour toi
Si tu te promènes
Dans les jardins de l'Eden
On aura moins de peine
Peut-être qu'on s'reverra
Y a pas d'miracle
Mais on lui en f'ra baver
Elle en prendra des claques
Avant d'nous emporter
On te quitte, tu dors
Faut que tu t'reposes encore
Regarde Entend Ecoute ***+++ tes souvenirs
Aussi, de tous mes souvenirs Faits de bonheurs ou…
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Un champ d'étoiles pour clocher,
Quatre maisons, l'une après l'une,
Jouant dans l'ombre à chat perché,
C'est Mon village au clair de lune.
Au-dessus d'elles, tout poudreux,
Le vieux moulin de la commune,
Plein de murmures d'amoureux,
C'est Mon village au clair de lune.
C'est là qu'un soir, bien doucement,
Derrière un mur fleurant le grain,
J'ai connu mon premier serment,
Et trouvé mon premier chagrin.
Aussi, de tous mes souvenirs
Faits de bonheurs ou d'infortunes,
Le plus fidèle à revenir,
C'est Mon village au clair de lune.
Aussi, de tous mes souvenirs
Faits de bonheurs ou d'infortunes,
Le plus fidèle à revenir,
!
Il faut du courage pour tout oublier Sauf sa vieil…
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youtu.be/vpweU-QA4MA
Découvrez !
Ce que j'oublierai, c'est ma vie entière
La rue sous la pluie, le quartier désert
La maison qui dort, mon père et ma mère
Et les gens autour, noyés de misère
En partant d'ici, pour quel paradis ou pour quel enfer...
J'oublierai mon nom, j'oublierai ma ville
J'oublierai même que je pars pour l'exil
Il faut du courage pour tout oublier
Sauf sa vieille valise et sa veste usée
Au fond de la poche un peu d'argent pour
Un ticket de train, aller sans retour
Aller sans retour
J'oublierai cette heure où je crois mourir
Tous autour de moi se forcent à sourire
L'ami qui plaisante, celui qui soupire
J'oublierai que je ne sais pas mentir
Au bout du couloir
J'oublierai de croire
Que je vais revenir
J'oublierai même si ce n'est pas facile
D'oublier la porte qui donne sur l'exil
Il faut du courage pour tout oublier
Sauf sa vieille valise et sa veste usée
Au fond de sa poche un peu d'argent pour
Un ticket de train, aller sans retour
Aller sans retour
Ce que j'oublierais, si j'étais l'un d'eux
Mais cette chanson n'est qu'un triste jeu
Et quand je les vois passer dans nos rues
Etranges étrangers, humanité nue
Quoi qu'ils aient fuit
La faim, le fusil
Quoi qu'ils aient vendu
Je ne pense qu'à ce bout de couloir
Une valise posée en guise de mémoire...
Nos amis les bêtes à chagrin Que de souvenirs avec…
Moissonneuse batteuse
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Enfance
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Sans que je puisse m'en défaire
Le temps met ses jambes à mon cou
Le temps qui part en marche arrière
Me fait sauter sur ses genoux
Mes parents l'été les vacances
Mes frères et sœurs faisant les fous
J'ai dans la bouche l'innocence
Des confitures du mois d'août
Nul ne guérit de son enfance
Les napperons et les ombrelles
Qu'on ouvrait à l'heure du thé
Pour rafraichir les demoiselles
Roses dans leurs robes d'été
Et moi le nez dans leurs dentelles
Je respirais à contre-jour
Dans le parfum des mirabelles
L'odeur troublante de l'amour
Nul ne guérit de son enfance
Le vent violent de l'histoire
Allait disperser à vau-l'eau
Notre jeunesse dérisoire
Changer nos rires en sanglots
Amour orange amour amer
L'image d'un père évanouie
Qui disparut avec la guerre
Renaît d'une force inouie
Nul ne guérit de son enfance
Celui qui vient à disparaître
Pourquoi l'a-t-on quitté des yeux
On fait un signe à la fenêtre
Sans savoir que c'est un adieu
Chacun de nous a son histoire
Et dans notre cœur à l'affût
Le va-et-vient de la mémoire
Ouvre et déchire ce qu'il fût
Nul ne guérit de son enfance
Belle cruelle et tendre enfance
Aujourd'hui c'est à tes genoux
Que j'en retrouve l'innocence
Au fil du temps qui se dénoue
Ouvre tes bras ouvre ton âme
Que j'en savoure en toi le goût
Mon amour frais mon amour femme
Le bonheur d'être et le temps doux
Pour me guérir de mon enfance
Quand pourrons nous recommencer !
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