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Les dernières de la série
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youtu.be/IGzTaME8jM8
Elles sont faites pour les choses douces
La soie et le velours
Plonger leur corps dans la mousse
Les enfants, les fleurs et l'amour
Elles ne savent pas faire la guerre
Pourtant elles vivent en enfer
Et si Dieu est notre Père
Qu'il écoute leurs prières
[Refrain] :
Ils pourraient
Veiller sur la moitié du ciel
Celle qui nous ramène à l'essentiel
Dans ce monde, tout est égal
Mais un peu moins, c'est fatal
Pour les femmes x2
Si leurs larmes coulent sous le joug
Elles restent debout
Si parfois, on les bafoue
Leur sort lié à des fous
Elles ne savent pas faire la haine
Pourtant elles vivent dans la peine
Et si Dieu est notre Père
Qu'il écoute leurs prières
[Refrain]
Veiller sur la moitié du ciel
Celle qui nous ramène à l'essentiel
Dans ce monde, tout est égal
Mais un peu moins, c'est fatal
Pour les femmes x2
La revoilà : A faire tous les matins
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youtu.be/a9TvSRrBUK0
Découvrez Sandrine Kiberlain !
J'ai décidé
De m'faire du bien
De m'faire couler un bain
D'étaler toutes mes photos d'moi
De les commenter de haut en bas
J'ais m'envoyer des fleurs
Me parler que de moi
Des éloges à haute voix
Des roses pour me féliciter
D'être moi
J'ai décidé
De m'regarder
De m'éplucher dans le miroir
De dévoiler tous mes atouts
De m'adorer de bout en bout
J'ais m'envoyer des fleurs
Me parler que de moi
Des éloges à haute voix
Des roses pour me féliciter
D'être moi
J'ai décidé
De m'désirer
De m'inventer des tentations
De crouler sous mes émotions
De devenir mon obsession
J'vais m'envoyer des fleurs
Me parler que de moi
Des éloges à haute voix
Des roses pour me féliciter
D'être moi
je t'aime !
ti amo !
t'ame !
t'aimi !
amo-te !
amo !
¡ te quiero !
t'estimo
dji t'veû vol'tî !
da garout a ran
j't'ai ker !
I love you!
ich liebe dich !
ick liebe dir !
я люблю тебя !
σε αγαπώ !
ik houd van jou !
jeg elsker dig !
jeg elsker deg !
jag älskar dig !
maite zaitut !
szeretlek !
მიყვარხარ
ua here au ia oe !
nakupenda !
Dans les parfums de cerises ......
I'm a poor lonesome piéton......
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Je suis seul dans la rue et je chante pour moi
Je suis seul dans ma peau et je pleure pour rien
I'm a poor lonesome piéton
A long way from my maison
Je me plie au poids des paresses
Je me fie à mes pas perdus
Qui vont toujours toujours ailleurs
I'm a poor lonesome piéton
A long way from my maison
Je suis seul dans la ville
Et c'est encore de moi
Qu'il faut que je m'ne aille
Je sauterai de ma vie
Comme d'un train en marche
I'm a poor lonesome piéton
A long way from my maison
"There was never a man like my Johnny
Like the one they call : Johnny Guitar..."
Image
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Si tu prenais le temps camarade de rencontre
De me regarder dans la peau,
Au cœur de ma solitude.
Là où s'inscrivent les mémoires de l'amour, de la guerre et du froid,
Sur mon enveloppe d'homme fragile comme de la soie
Tu verrais alors les mêmes angoisses que toi
Avec des arcs-en-ciel et des p'tites amours en poubelles
Tu verrais des ailes de géant brûlées par l'air du temps.
Regarde-moi.
Tu verrais le mal et l'égoïsme quand tu aimes une femme
Et que tu veux la garder pour toi, pour ton sexe et ton cerveau,
Et puis la guerre que je fais à ma jalousie
Ce cancer de l'amour qui te bouffe la tendresse,
Toute la tendresse.
Regarde-moi dans la peau et fais pas gaffe si je tremble,
C'est pas l'alcool
Ni l'herbe de Colombie
C'est juste la peur,
La peur de tous ces mecs qui t'écoutent
Qui te fichent
Qui te traquent
Et t'oses plus dire je t'aime à une fille que t'as rencontrée
Un soir à Saint-Germain
Quand tu sais qu'elle aussi,
Elle a peut-être des micros au bout des seins.
Regarde-moi.
Regarde, regarde camarade de rencontre
Tu vois, c'est ma façon de te dire que je t'aime,
Et qu'il faut qu'on se dise des mots
Des regards et des caresses
Pour ne pas repartir chacun dans son métro
Avec des torrents de paroles qui te restent au travers du cœur
Et de la gorge.
Regarde
Je suis transparent,
Tu peux tout voir
Tout savoir
Je me fous des secrets.
Regarde-moi.
Le sentier d'or ..
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Je ne connaîtrai pas la peur car la peur tue l'esprit. La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale. J'affronterai ma peur. Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi. Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon œil intérieur sur son chemin. Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi. »
Litanie contre la Peur du rituel Bene Gésserit
Pense .....
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A travers les intempéries
les mauvaises passes, les jours d'ennui
pense à moi, pense à moi
si t'en as envie
je ne sais plus où courent tous ces gens,
mais c'est sans doute très important
pour y passer, y passer
autant de temps
moi j'me suis mis dans un jardin,
à cultiver les fleurs du bien
pense à moi, pense à moi
si t'en as besoin
tu vas croire que c'est encore loin
mais c'est juste au bout d'un chemin
et là, tu reconnaîtras,
les fleurs du bien
pense à moi, pense à moi
si t'en as besoin
près d'un piano désaccordé
en attendant qu'vienne une idée
tu sauras, tu sauras toujours
où me trouver
je sais bien que le monde est grand,
et qu'il faut regarder de l'avant mais
pense à moi, pense à moi
si t'en as le temps
moi j'me suis mis dans un jardin,
à cultiver les fleurs du bien
pense à moi, pense à moi
si t'en as besoin
tu vas croire que c'est encore loin
mais c'est juste au bout d'un chemin
et là, tu reconnaîtras,
les fleurs du bien
pense à moi, pense à moi
si t'en as besoin
j'te dis ça, autant que j'en rie
puisque les mots n'changent pas la vie
pense à moi, pense à moi
si t'as envie
je sais à peu près c'qui m'attends
et même après quoi courent les gens
je ne vois plus, ne vois plus rien
de très urgent
pense à moi, pense à moi, oh
pense à moi
pense à moi
là au fond de mon jardin
à cultiver les fleurs du bien
oh, oh,
les fleursdu bien
oh, oh, oh
pense à moi oh oh (x)
mais là au fond d'mon jardin
à cultiver les fleurs
à cultiver les fleurs du bien
pense à moi
penseà moi
Vou cantar em uma nota Como eu gosto de você
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Eis aqui este sambinha,
Feito numa nota só
Outras notas vão entrar,
Mas a base é uma só
Esta outra é conseqüencia
Do que acabo de dizer
Como eu sou a conseqüencia
Inevitável de você
Quanta gente existe por aí que fala, fala e não diz nada
Ou quase nada
Já me utilizei de toda escala, no final não deu em nada
Ou quase nada
E voltei pra minha nota
Como eu volto pra você
Vou cantar em uma nota
Como eu gosto de você
Quem quer todas as notas
Re, mi, fá, sol, lá, sí, dó
Acaba sem nenhuma
Fique numa nota só
Il m'a parlé de tout, sans ombre ni feuillage
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Ta déchirure brille au midi du silence
Des parfums de printemps se baignent dans le vent
Les signes dans le ciel renvoient l'indifférence
A l'oubli infernal de nos soleils levants
Ta déchirure brûle entre l'arbre et l'écorce
Prisonnière sans fard du rythme incestueux
Ta déchirure
La lune se dévoile à la nuit de sa force
En éveillant enfin nos yeux affectueux
Un arbre étincelant, planté dans les nuages
M'est apparu, un jour, marron sur un fond bleu
Il m'a parlé de tout, sans ombre ni feuillage
Elle était bien marron, marron sur un fond bleu
Areski Belkasem
Imagine ....!
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Dans une rue de Quillan .... des chambres d'Hôtes
I
Imagine-toi dans une rue toute en ville
Mais avec une lumière comme y a pas chez toi
Et ce s'rait p't-êt' là un endroit pour vivre
Je s'rais bien loin de savoir ou dire
Si l'on verrait des jours ou bien meileurs ou pires
Ce s'rait p't-êt' là un endroit pour vivre
Ce s'rait p't-êt' là un endroit pour vivre
Moi j'suis un homme de peu, je suis le fils de rien
On m'a bandé les yeux avant qu'j'ai vu le chemin
On m'a jamais dit: " vient ", on m'a dit: " va où tu veux "
Mais j'déambule tout bas gentiment inutile
J'aimerais faire quelque chose pas forcément facile
J'voudrais pouvoir te dire: " j'ai un peu vécu pour toi "
C'est comme un jour où l'on s'promène
Et l'on sent qu'ça va et qu'le vent t'entraîne
Où ce s'rait p't-êt' là un endroit pour vivre
C'est toute la nuit quand on parle au-dehors
Du rêve tranquille d'un môme qui dort
Et ce s'rait p't-êt' là un endroit pour vivre
Et ce s'rait p't-êt' là un endroit pour vivre
Et ce s'rait p't-êt' là un endroit pour vivre
Faudrait qu'je puisse donner tout l'temps qu'j'ai plus
Qu'on m'a pris sans savoir et qu'on m'a pas rendu
Que j'ai perdu dans l'air ou que j'ai pas bien vendu
Faudrait qu'je puisse trouver au fond des moments bizarres
Où je comprends si bien qu'il déjà si tard
Un truc pour oublier, j'ai pas les moyens d'y croire
Mais j'veux garder ne s'rait-c' que l'temps d'un tour sur moi
L'impression d'avoir pu un jour élever la voix
Jusqu'à chanter des mots où tu te reconnaîtras
Par-delà les certitudes............. Bousculer nos…
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Bonhomme
T'es pas pareil que ma pomme
Plus petit, plus grand c'est ça comme
On s'en fout on est des hommes
Bonhomme
On n'a pas bu le même rhum
Moi du nord toi des Dom Tom
Tape dans la main, c'est ça comme
Au-delà des apparences
Apprécier les différences
Découvrir nos ressemblances
Et marcher de connivence
Par-delà les certitudes
Bousculer nos habitudes
Surveiller son attitude
Refuser l'ingratitude
Madame
Entre les hommes et les femmes
On se déchire, on se damne
On complimente, on diffame
Madame
Bien plus que ton corps de femme
Nos doutes, nos pleurs et nos drames
C'est le mystère de ton âme
Au-delà des apparences
Refuser l'indifférence
Se garder de la méfiance
Pour s'aimer dans la confiance
Confidences pour confidences
Mon bonheur c'est ta présence
La vie est un pas de danse
Rythmons-le dans le même sens
Petit frère
On ne vit plus comme nos grands-pères
Ils ont du mal à s'y faire
Tout va si vite sur la Terre
Petit frère
Faut pas leur jeter la pierre
C'est leurs bagarres, leurs colères
Qui ont forgé ton univers
Au-delà des apparences
Retenir son arrogance
C'est si doux de vivre en France
A chacun son jour de chance
Par-delà le temps qui passe
Au vieux monde tu feras face
Tes combats seront la trace
De ton chemin de Damas
Bonhomme
Nous ne sommes que ce que nous sommes
Ne pas l'accepter en somme
C'est refuser d'être un homme
Lentement effleureŕ ses nuances
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Seulement m'approcher
Ne pas la brusquer
Juste pour écouter ce silence
Veiller sur ses nuits
Sur son premier soupir
Frôler son sommeil
Ses parfums de miel
Respirer à son souffle qui danse
Entrer dans ses rêves
Et doucement lui dire
Je suis fou des couleurs de ton âme
De tes jardins secrets
Je veux tout de tes feux de tes charmes
Je suis fou des couleurs de ton âme
De tes jardins secrets
Je veux tout de tes feux de tes charmes
Collées sur sa peau
Quelques perles d'eau
Lentement effleurer ses nuances
Sans la réveiller tout doucement lui dire
Je suis fou des couleurs de ton âme
De tes jardins secrets
Je veux tout de tes feux de tes charmes
Nebri errouhe elli fik
Je suis fou des couleurs de ton âme
De tes jardins secrets
Je veux tout de tes feux de tes charmes
Nebri errouhe elli fik
Je compte sur les lumières Je compte beaucoup sur…
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Les lumières nous sauveront les néons
De l'autre coté de la rivière les lumières là-bas
Des bars et des hôtels dessinent les frontières
Sur les chemins de terre, les lumières seront là
Pour éclairer la nuit
Et sauver nos âmes
Je compte sur les lumières
Pour éclairer la nuit
Et sauver nos âmes
Je compte sur les lumières
Je compte beaucoup sur elles
Les lumières se souviennent des querelles
Quand le coeur trop plein peine, elles reviennent
Sur les grandes artères au fond de la ruelle
Ils ont toujours raison les néons
Pour éclairer la nuit
Et sauver nos âmes
Je compte sur les lumières
Pour éclairer la nuit
Et sauver nos âmes
Je compte sur les lumières
Je compte beaucoup sur elles
Les derniers bateaux touchent au port
Les derniers cris d'oiseaux dans le ciel qui vacille
Balustres de cristal et perles de corail
Dernier sourire amer qui s'efface
Pour éclairer la nuit
Et sauver nos âmes
Je compte sur les lumières
Pour éclairer la nuit
Et sauver nos âmes
Je compte sur les lumières
Je compte beaucoup sur elles
Pour éclairer la nuit
Et sauver nos âmes
Je compte sur les lumières
Pour éclairer la nuit
Et sauver nos âmes
Je compte sur les lumières
Je compte beaucoup sur elles
Le chant du vermisseau
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youtu.be/8vSLIvbZdks
Je suis le vermisseau dont se défient les hommes
Le charançon qui veille au grain
Le carpocapse obscur croquant le cœur des pommes
Le doryphore plein d’entrain
On use à mon endroit d’épithètes acides
Parasite ou bien ravageur
On répand contre moi beaucoup d’insecticides
On empoisonne fruits et fleurs
Tique moustique taon termite sauterelle
Mite fourmi et cetera
J’infiltre cependant ce monde dans lequel
L’homme se piège comme un rat
De tout temps l’humain m’a traité comme un nuisible
Pourtant ce qu’il fait contribue
A ma prospérité c’en est presque risible
Et à celle de ma tribu
Dans ses bateaux jadis j’ai fait de beaux voyages
Longicorne ou phylloxera
Les transports m’ont aidé à prendre l’avantage
Et désormais c’est le climat
Troublant l’isothermie dont j’avais l’habitude
L’effet de serre m’enhardit
Je délaisse aujourd’hui les fixes latitudes
Je pars découvrir du pays
Le thermomètre monte et moi je prolifère
L’homme croit m’en empêcher mais
Ma larve a son secret ma nymphe a son mystère
Chenille en procession en haut des pins des chênes
Je pullule et je défolie
Pyrale infestant même un maïs OGM
Je fais des dégâts de folie
L’avenir m’appartient pour moi la vie est belle
C’est dit dans les feuilles de chou
Je les dévore donc je connais les nouvelles
Je suis piéride je sais tout
Sur ce globe qui chauffe à présent sans remède
Dans son air gazcarbonisé
Je sais qui du six-pattes ou du pauvre bipède
Déambulera le dernier
Le thermomètre monte et moi je prolifère
L’homme croit m’en empêcher mais
Ma larve a son secret ma nymphe a son mystère
Je suis le vermisseau oh ! qui défie les hommes
Le charançon qui veille au grain
Le carpocapse obscur croquant le cœur des pommes
Le doryphore plein d’entrain
Loin Le courage, et au bout du mot courage: la rag…
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youtu.be/C0SORtTGn4A
!
!Loin
Dans mon vertige
Je suis loin
Juste au coin du vide
Et qui suis-je
Quand rien ne m'oblige
Loin
Loin Ta couleur, toujours
Désert splendide C'est l'amour, mais l'amour c'est la douleur
Je n' vois rien Cherche encore, encore et encore
Et le noir me guide Et même ta souffrance, c'est ta chance peut-être
Tous les mots Dans ton ventre, dans ta tête
Meurent dans mon piano Elle vit ta musique, et un jour magique
Loin C'est l'orage, comme du fond d'un paysage
Dans ta tête et dans ton ventre, elle entre
Loin La musique, les mots sont des animaux sauvages
Et je cherche
Le ciel et l'inverse
Loin Loin mais va plus loin
Dans mon vertige Et ta force, elle est là sous ton écorce
Mais prodige Sois rebelle, ta défaite est belle
Chose unique au monde Ecris comme tu cries, écris et déchire
Une rose Recommence, recommence
Qui dure une seconde Un beau jour, tout sortira du silence
Loin Le courage, et au bout du mot courage: la rage
Mais unique au monde, le jour où la rose explose
Loin Ce jour-là, il n'est plus ni gai ni triste, l'artiste
Il est lui, sous la pluie, dans tous les soleils
Dans tous les soleils oui, au-dessus du beau, là haut
Il a retrouvé la flamme, son âme est comme une lame
Loin Sa fureur de vivre, c'est pas dans les livres c'est dans lui
Sa grand-voile dans les étoiles, il s’envole, il s'envole
Même saoulé de coups, de tout
Même s'il doit souffrir encore
Loin Tout s'envole, son coeur, son corps
Même si c'est jamais fini
Rien qu' pour qu'on lui dise je t'aime
Même s'il doit mourir, oui même
Il poursuit son aventure Ses chagrins, ses déchirures
Il est loin
Loin Loin
Loin Loin
A tes pieds ………
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youtu.be/M1VAjCPTF5s?si=xAYGa7H9nMO2oLoF
youtu.be/RCSYF3XwODY?si=XslIp_BN3H592VbO
On s´ra jamais vieux,
On s´ra intrépides,
Espiègles, perfides,
Irrévérencieux.
On s´ra professeurs
En incertitude
En inhabitude
En Droit... à l´erreur.
Tant que not´ cerveau
Sera pas liquide,
C´est pas quelques rides
Qui nous f´ront la peau!
On s´ra jamais vieux!
J´cass´rai les frimeurs,
J´leur f´rai des croche-pattes,
J´asperg´rai d´picrate
Leur cravate à fleurs!
Les nuits de poker
Aux cartes vermeilles,
On flamb´ra l´oseille
De l´apothicaire!
Les premiers debout
Les jours de tangage,
Les soirs de naufrage,
Jamais à genoux
On s´ra jamais vieux
On s´ra comédiens
De la pire espèce,
On f´ra des promesses
Aux politiciens
On n´aura pas peur
De faire la grimace
Aux guerriers qui passent,
Fiers d´être vainqueurs,
Et sur ces guignols,
On piss´ra des larmes
Pour rouiller leurs armes
Au cholestérol!
On s´ra jamais vieux!
On saura par coeur
L´air de la bêtise
On donnera des c´rises
Au merle moqueur,
Et dans le salon,
Même au crépuscule,
Y aura pas d´pendule
Qui dit oui, qui dit non,
On prendra l´avion
Pour voir les hôtesses,
Tu mat'eras leurs fesses,
J't'´ferais les yeux ronds
On s´ra jamais vieux!
Quand j´ferm´rai les yeux
se sera pas un drâme
Je pos´rai mon âme
A tes pieds, Monsieur
Tu connais le vent,
Y m´fait des chatouilles,
Et si ma dépouille
Part les pieds devant,
On va rigoler
En tête du cortège,
Ça f´ra boule de neige
Dans tout l´défilé!
On s´ra jamais vieux!
Encore une heure Encore une fois Laisse moi partir…
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J'ai rêvé d'un Iroquois
Qui dansait sans vertige sous la lune
Un épais tapis de brume
S'envolait sous ses pas
Un train venant d'Ottawa
S'illuminait tout en bas
Entre les dunes
De l'édredon demi-plume
Qui me couvre la tête
Alouette
C'est le matin déjà
{Refrain:}
Laisse moi dormir
Du fond du cœur
Dans la longueur
De ton lit de bois
Encore une heure
Encore une fois
Laisse moi partir
Dans la lueur
Du jour meilleur
De tes volets de bois
Encore un heure
Encore une fois
Une femme en fourreau de soie
Cherchait son anonymat
Dans China Town
Elle marchait comme une espionne
En suivant les caméras
Un tramway passait par là
Roulant sur le pavé plat
D'une rue piétonne
Le contrôleur en personne
Agitait une cloche
Qui sonne
Il est midi déjà
{Refrain}
Enfin j'ai rêvé de toi
Donnant une photo de moi
Un peu ancienne
A une cartomancienne
Qui te parlait tout bas
Je me suis réveillé là
Avec le son de ta voix
Un peu lointaine
Tu as ouvert les persiennes
Sur le jardin bohème
Que j'aime
Quand le soleil est là
Splach .........!
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