
Rébélion
Folder: Créations
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C'est la fin de la fin du monde......... Même si ç…
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C'est la fin de la fin du monde
Même la mer ne fait plus de vagues
Cette nuit enfin, tout est calme
Toutes les choses tiennent enfin debout
Les lèvres et les mains se répondent
Les mots se touchent sans heurter
Les gens qui se passent à côté
N'existent plus
Ce soir, le monde dort, apaisé {x2}
C'est la fin de la fin du monde
Même si ça ne dure qu'une nuit
Le monde peut écouter les bruits
Qu'il fait, sans craindre à chaque seconde
Que tout s'embrase et qu'il s'efface
Qu'il disparaisse tout à coup
Depuis que ma bouche sur ton cou
S'est posée
Chassant toute menace {x2}
C'est la fin de la fin du monde
C'est la fin de la fin de nous
Je te promets un nouveau tour
Même si je sens que tu me sondes
Et dans mes eaux, ni sous-marins
Ni plus de torpilles dans le dos
Juste ma bouche posée sur ta main
L'apocalypse au point zéro
Comme le parcours sur ta peau
Ce soir...
Ce soir, le monde est sans fin {x3}
Et puis après ...............Je n'en sais rien....…
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Sur fond noir
S'aimer à effacer le temps
Mêler le sel avec le sang
Et ne plus jamais en finir
Forcer l'envie pour le plaisir
Il y a l'amour et l'amour fou
Celui du corps par dessus tout
Celui qui se donne et se prend
Qui se libère quand il se rend
Et puis après
Aller encore plus loin
Et puis après
Se souvenir de rien
S'aimer au dessus du désir
Et tout au bout vouloir mourrir
Et puis après
Je n'en sais rien
Choisir de n'plus jamais dormir
Forcer son corps à en souffrir
Et puis s'effondrer dans nos bras
Et tout refaire, encore une fois
Au dieu que nos amour sont belles
Un ciel plus profond que le ciel
Un nuit sans lune, firmament
Monter et s'y noyer dedans
Et puis après
Plus loin encore plus loin
Et puis après
A s'en briser les reins
S'aimer au delà du plaisir
Forcer l'envie pour en finir
Et puis après
Et puis après
On se sépare enfin
Et puis après
On n'se souvient de rien
S'aimer à effacer le temps
Mêler le sel avec le sang
Et puis après
Je n'en sais rien
Nous verrons bien
Et puis après
Quelque chose comme Un chant égaré...............i…
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youtu.be/0e2EkwZuYdc
Jamais une statue ne sera assez grande
pour dépasser la cime du moindre peuplier
et les arbres ont le coeur infiniment plus tendre
que celui des hommes qui les ont plantés
Pour toucher la sagesse qui ne viendra jamais
j'échangerais la sève du premier olivier
contre mon sang impur d'être civilisé
responsable anonyme de tout le sang versé
Fatigué, fatigué
fatigué du mensonge et de la vérité
que je croyais si belle, que je voulais aimer
et qui est si cruelle que je m'y suis brûlé
Fatigué, fatigué
Fatigué d'habiter sur la planète terre
sur ce grain de poussière, sur ce caillou minable
sur cette fausse étoile perdue dans l'univers
berceau de la bêtise et royaume du mal
où la plus évoluée parmi les créatures
a inventé la haine, le racisme et la guerre
et le pouvoir maudit qui corrompt les plus purs
et amène le sage à cracher sur son frère
Fatigué, fatigué
fatigué de parler, fatigué de me taire
quand on blesse un enfant, quand on viole sa mère
quand la moitié du monde en assassine un tiers
Fatigué, fatigué
Fatigué de ces hommes qui ont tué les indiens,
massacré les baleines et bâillonné la vie,
exterminé les loups, mis des colliers aux chiens
qui ont même réussi à pourrir la pluie
La liste est bien trop longue de tout ce qui m'écoeure
depuis l'horreur banale du moindre fait divers
il n'y a plus assez de place dans mon coeur
pour loger la révolte, le dégoût, la colère
Fatigué, fatigué
fatigué d'espérer et fatigué de croire
à ces idées brandies comme des étendards
et pour lesquelles tant d'hommes ont connu l'abattoir
Fatigué, fatigué
Je voudrais être un arbre, boire l'eau des orages
me nourrir de la terre, être ami des oiseaux,
et puis avoir la tête si haut dans les nuages
qu'aucun homme ne puisse y planter un drapeau
Je voudrais être un arbre et plonger mes racines
au coeur de cette terre que j'aime tellement
et que ce putain d'homme chaque jour assassine
je voudrais le silence enfin, et puis le vent...
Fatigué, fatigué
Fatigué de haïr et fatigué d'aimer
surtout ne plus rien dire, ne plus jamais crier
fatigué des discours, des paroles sacrées
Fatigué, fatigué
Fatigué, fatigué fatigué de sourire, fatigué de pleurer
fatigué de chercher quelques traces d'amour
dans l'océan de boue où sombre la pensée
Fatigué, fatigué
Fracas ..........De riddims a fargar De fuòcs a fl…
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https://www.test.ipernity.com/doc/chrisonteme/album/247001/show
ls nous ont coincé dans des histoires de fous,
Fermée à double tour, notre vie sent le vicier,
Mais la nuit les fracas sortent de partout,
Attisent le feu de nos espoirs massacrés.
La culture populaire est à l’agonie,
Faut juste crever l’écran à la star académie,
L’organe du pouvoir siège au cœur du salon,
Diffuse la propagande des bourgeois bon ton,
Le jour appartient aux galeries marchandes,
La nuit aux hiboux-résistant gratteurs de papier,
Si tu envoies le riddim, on envoie tous ensemble
Le méchant cri des vieilles bartàs-cités.
Tròp de vida a somiar
Tròp de nuòchs per dançar
Podrem jamai jamai dormir.
De riddims a fargar
De fuòcs a flambar
Podrem jamai jamai dormir.
Tu étouffes sous le poids des renoncements répétés,
Tu crèves d’ennui parce que d’autres crèvent de faim,
Ils crèvent de faim pour que tu crèves d’ennui,
Et les gangsters modernes gèrent les flux financiers.
Y’a plus de fric pour la sécu de tes minots,
Mais ils touchent le jackpot en entrant à Matignon,
Ils te coupent les assedics et partagent le gâteau
Avec des porcs déjà gavés de pognon.
Dans nos forges bouillonne l’alliage des cultures
Et nos caches d’armes sont pleines à craquer,
Mentalement le système cloisonne et emmure
Mais la nuit les chouettes quittent leur clocher.
Tròp de vida a somiar
Tròp de nuòchs per dançar
Podrem jamai jamai dormir.
De riddims a fargar
De fuòcs a flambar
Podrem jamai jamai dormir.
C’est la résistance, prenons le maquis,
Les chemins de traverse, les vieux océans,
Ils cultivent l’angoisse, ils élèvent les soucis,
Fauchons, détruisons leur idéal marchand.
Contrebandiers, flibustiers et corsaires
S’organisent pour armer leurs vaisseaux,
Leurs navires, leurs barques, leurs galères,
Embarcations de fortunes au fil de l’eau.
Les lumières de la ville éclairent nos silhouettes,
Attaquons de front ces remparts épais,
Mille sentinelles aux yeux de chouettes
Survolent du regard le monde emprisonné.
Escota,
Desplegam leis alas
Escota,
Siam ja en cavala
Comme ça en ne pensant a rien Il faut se poser des…
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Sur fond noir
Il ne faut pas dire je t'aime
Comme ça en ne pensant a rien
Il faut se poser des problèmes
Il faut avoir bien du chagrin
Il faut chanter son desespoir
Pour que chacun puisse s'y voir
Il faut chanter sur sa guitare,
La pluie qui mouille le trottoir
Il ne faut pas dire je t'aime
En se regardant dans les yeux
Quand on a le coeur en carème
On se regarde comme on peut
Les chants desespérés, sont les chants les plus beaux
J'en connais de imbéciles
Qui sont de purs sanglots...
Il ne faut pas dire je t'aime
En se regardant dans les yeux
Il faut chanter le café crème
Du petit matin quand il pleut
Il faut chanter sur sa guitare
La pluie qui mouille les départs
Il faut chanter l'amour qui pleure
Avant de chanter celui qui meurt
Il ne faut pas dire je t'aime
Faut pas chanter l'amour qu'on a
Il faut chanter l'amour que sème
Le vent d'automne sous nos pas
Les chants désespérés sont les chants les plus beaux
J'en connais d'imbéciles
Qui sont de purs tangos
Et pourtant je te dis je t'aime
Et pourtant ce soir il fait beau
Ce n'est plus l'heure du café crème
C'est l'heure d'enlever ton manteau
Il se fait tard il se fait nuit
Tu ne partiras plus d'ici
On va s'aimer comme papa comme maman
On n'en fera sûrement pas une bonne chanson...
Les chants désespérés sont les chants les plus beaux..
On n'en fera sûrement pas une bonne chanson...
Les chants desespérés sont les chants les plus...
Ce qu’on a cru On en a perdu la vue vraiment
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!
Parle-moi
Ce qui nous vient
Nous vient de loin
Ce qui nous tient
Jamais ne nous appartient vraiment
Ce qui nous tue
Gagné, perdu
Ce qu’on a cru
On en a perdu la vue vraiment
Parle-moi, parle-moi de toi
Qu’est-ce tu veux, qui tu es
Où tu vas
Parle-moi, parle-moi de toi
Qu’est-ce tu dis, fais entendre
Ta voix
Ce qu’on nous vend
Ce qu’on nous prend
Mais qu’est-ce qui nous prend
On dirait qu’on n'a plus l’temps
A rien
Perdu de vue
Perdu tout court
Peau tendre, cœur pur
On dirait qu’on a plus l’goût
A rien
Parle-moi, parle-moi de toi
Parle-moi de tes doutes de tes choix
Parle-moi, parle-moi de toi
Qu’est-ce tu dis, plus fort
J’entends pas
Parle-moi de toi
Alors parle-moi, parle-moi de nous
Tous les deux, qu’est-ce qu’on veut
Qu’est-ce qu’on fout
Parle-moi, parle-moi de nous
Avec toi j’irai n’importe où
Parle-moi de toi
Tu aurais pu ................jouer à rêver .... en…
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Tu aurais pu vivre encore un peu
Pour notre bonheur pour notre lumière
Avec ton sourire avec tes yeux clairs
Ton esprit ouvert ton air généreux
Tu aurais pu vivre encore un peu
Mon fidèle ami mon copain mon frère
Au lieu de partir tout seul en croisière
Et de nous laisser comme chiens galeux
Tu aurais pu vivre encore un peu
T'aurais pu rêver encore un peu
Te laisser bercer près de la rivière
Par le chant de l'eau courant sur les pierres
Quand des quatre fers l'été faisait feu
T'aurais pu rêver encore un peu
Sous mon châtaignier à l'ombre légère
Laisser doucement le temps se défaire
Et la nuit tomber sur la vallée bleue
T'aurais pu rêver encore un peu
Tu aurais pu jouer encore un peu
Au lieu de lâcher tes boules peuchère
Aujourd'hui sans toi comment va-t-on faire
Dans notre triplette on n'est plus que deux
Tu aurais pu jouer encore un peu
Ne pas t'en aller sans qu'on ait pu faire
A ces rigolos mordre la poussière
Avec un enjeu du tonnerre de Dieu
Tu aurais pu jouer encore un peu
On aurait pu rire encore un peu
Avec les amis des soirées entières
Sur notre terrasse aux roses trémières
Parfumée d'amour d'histoires et de jeux
On aurait pu rire encore un peu
Et dans la beauté des choses éphémères
Caresser nos femmes et lever nos verres
Sans s'apercevoir qu'on était heureux
On aurait pu rire encore un peu
Tu aurais pu vivre encore un peu
Ne pas m'imposer d'écrire ces vers
Toi qui savais bien mon ami si cher
A quel point souvent je suis paresseux
Tu aurais pu vivre encore un peu
Si
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Découvrez
Je changerais le cœur des hommes
On recommence il y a maldonne
Je viendrais à bout des méchants
Rien qu'à coups de grands sentiments
On ne jouerait plus à la guerre
Dans aucun pays de la terre
Le monde serait un musé
De clin-d'œil et de pieds de nez
Si je le pouvais
Et je serais un héros, un prince de légende
J'affronterais les torrents, le feu et la tourmente
Je changerais l'air du temps, la direction des vents
Si je le pouvais
Si je le pouvais, je referais le monde à ton image
Repeindrais la Joconde à ton visage
Éloignerais de toi les loups sauvages
Oh! pour toi, je te ferais un abri de mes bras
Je ferais tourner la terre à l'endroit
Si je le pouvais, si je le pouvais
J'amènerais l'eau au désert
Pour que tu ne pleures jamais plus
Sur ces peuples dans la misère
Fais croire à un malentendu
Je redessinerais le monde
Un peu plus juste, un peu plus beau
Sècherais les trottoirs qu'inondent
Les yeux mouillés de Mexico
Si je le pouvais
Je serais sorcier guérisseur
J'abolirais même le deuil
Trouverais une place entre deux cœurs
Pour chaque sourire d'enfant seul
J'étoufferai les grandes tristesses
Sous une tonne de tendresses
Et toujours aurais sur l'honneur
La fidélité, le bonheur
Si je le pouvais
Et je serais un héros, un prince de légende
J'affronterais les torrents, le feu et la tourmente
Je changerais l'air du temps, la direction des vents
Si je le pouvais
Si je le pouvais, je referais le monde à ton image
Repeindrais la Joconde à ton visage
Éloignerais de toi les loups sauvages
Oh! pour toi, je te ferais un abri de mes bras
Je ferais tourner la terre à l'endroit
Si je le pouvais, si je le pouvais
Si je le pouvais si je le pouvais
Mais c'est rien ........................J'irai jus…
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Ho! J'cours tout seul
by William Sheller
La vie c'est comme une image
Tu t'imagines dans une cage
Ou ailleurs
Tu dis "C'est pas mon destin"
Ou bien tu dis "C'est dommage"
Et tu pleures
On m'a tout mis dans les mains
J'ai pas choisi mes bagages
En couleur
Je cours à côté d'un train
Qu'on m'a donné au passage
De bonheur
Et je regarde ceux
Qui se penchent aux fenêtres
J'me dis qu'il y en a parmi eux
Qui me parlent peut-être
Oh j'cours tout seul
Je cours et j'me sens toujours tout seul
Et si j'te comprends pas
Apprends-moi ton langage
Dis-moi les choses qui m'font du bien
Qui m'remettent à la page
Oh j'cours tout seul
Je cours et j'me sens toujours tout seul
Pour des histoires que j'aime bien
J'ai parfois pris du retard
Mais c'est rien
J'irai jusqu'au bout du chemin
Et quand ce s'ra la nuit noire
Je s'rais bien
Faut pas qu'tu penses à demain
Faut pas dormir au hasard
Et tu tiens
Je cours à côté d'un train
Qu'on m'a donné au passage
Un matin
Et je regarde ceux
Qui s'allument aux fenêtres
J'me dis qu'il y en a parmi eux
Qui m'aimeraient peut-être
Oh j'cours tout seul
Je cours et j'me sens toujours tout seul
Et si j'te comprends pas
Apprends-moi ton langage
Dis-moi les choses qui m'font du bien
Qui m'remettent à la page
Oh j'cours tout seul
Je cours et j'me sens toujours tout seul
Et je regarde ceux
Qui s'endorment aux fenêtres
J'me dit qu'il y en a parmi eux
Qui m'oublient peut-être
Oh j'cours tout seul
Je cours et j'me sens toujours tout seul
On vous dira sans doute
Que mon histoire est bizarre
Je sais mais j'peux pas m'arrêter
Vu qu'y a plus d'noms sur les gares
Oh j'cours tout seul
Je cours et j'me sens toujours tout seul
Vla que j'pense à Facepernity !!!!!!!! hey .....
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youtu.be/CQvECZKAe2E
Quand j'pense que j'suis largué, dans l'domaine de la drague..
Quand j'pense que l'alcool m'a trainé dans de drôles de terrains vagues..
Quand j'pense, à toutes mes origines de Bretonnes et de Kailles..
Quand j'pense que j'me suis réveillé souvent avec un Ouroukaï.
Quand j'pense, ça m'fait mal à la tête mais faut que j'trouve la faille.
Quand j'pense à une levrette ça m'fait kiffer mais ça ce n'est qu'un détail.
Quand j'pense, à une Flamande et à son éminence..
Un texte de Jacques Brel qui bien-sûr, là, me met en transe..
Ah, quand j'pense.. à tout c'que je n'suis pas, toute mon incompétence..
Moi qui voulait faire de moi un sujet de l'intelligence,
Toute dispense, de m'critiquer là-dessus, ça pourrait m'agacer.
En plus j'suis comme tendeur/tendu, qui à tout moment peut lâcher..
Quand j'pense, qu'elle m'a quitté cette conne et que j'suis dégoûté,
Elle qui n'était même pas Bretonne, ok, c'est tout c'que j'ai trouvé,
Quand j'pense, que j'ai craqué mon slip, ma carte et mon chèquier
Et qu'on m'a pris pour un pauvre type avec qui l'ont s'est amusé..
Refrain
Quand j'pense,
V'là ce que j'pense: c'est un con qui compense.
Tout c'que j'pense, c'est comme un con qui pense.
V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense, Hey!
Quand j'pense, Hey!
Quand j'pense,
V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense..
Tout c'que j'pense, c'est bien le con qui pense.
Tout c'que j'pense, ou bien la conséquence, Hey!
Quand j'pense, Hey!..
Quand j'pense que je n'ai jamais fait, tout c'que j'ai voulu faire.
Quand j'pense que j'aurais dû me taire quand je l'ai trop ouvert,
Ah, quand j'pense.. qu'autour de moi j'ai vécu des choses pas claires..
Des danses et des javas qu'étaient pas vraiment nécessaires !
Ah, quand j'pense.. que j'me demande maintenant à quoi ça sert..
D'aller s'casser la cruche avec 5 ou 6 litres de bière.
C'est plus Byzance, aujourd'hui ma vie c'est plutôt pépère,
Comme un club de vacances qui se situerait en bord de mer..
Ah, quand j'pense, que mon coeur, a battu pour elle..
Conséquence, je ne buvais que des verres de Tourtel.
À mon sens, j'étais surment aveuglé par la belle.
Quand j'y pense, voilà la récompense, Constance.
Refrain
Quand j'pense,
V'là ce que j'pense: c'est un con qui compense.
Tout c'que j'pense, c'est comme un con qui pense.
V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense, Hey!
Quand j'pense, Hey!
Quand j'pense,
V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense..
Tout c'que j'pense, ou bien le con qui pense.
Tout c'que j'pense, ou bien la conséquence, Hey!
Quand j'pense, Hey!..
Quand j'pense !
(violons)
Quand j'pense à tous mes coups d'gueules,
Et à tous mes combats.
Quand j'pense à ce cercueil, en bas,
Qui rit et puis qui m'tend les bras.
Quand j'pense.. à tous ces gens qui t'diront p'têtre de moi :
Il est mort comme un con et en plus il ne l'savait pas !
Quand j'pense, que elle, que elle sera là,
Ma Constance, elle qui viendra à tous petits pas,
Sous un silence, j'espère enfin qu'elle le dira,
À l'assistance.. qu'il est mort à cause de moi..
Refrain (2x)
Quand j'pense,
V'là ce que j'pense: c'est un con qui compense.
Tout c'que j'pense, c'est comme un con qui pense.
V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense, Hey!
Quand j'pense, Hey!
Quand j'pense,
V'là c'que j'pense, c'est p'têtre ma récompense..
Tout c'que j'pense, c'est comme un con qui pense.
V'là c'que j'pense, c'est bien la conséquence, Hey!
Quand j'pense, Hey!..
Quand.. j'pense !
C'est une chanson....... que j't'donne Tu jettes .…
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C'est une chanson pour l'automne
Pour les jours où y'a personne
Quand la ville est sous la pluie
C'est une chanson que j't'donne
Tu jettes ou tu la fredonnes
Elle me servira aussi
Si tu n'aimes pas trop la foule
Si parfois comme moi
La vie te soule un peu
Si tu te sens roulé en boule
Ou si le mauvais sort te blackboule hors du jeu
N'oublie pas qu'on est deux
C'est une chanson qui consume
Les petits malheurs qu'on s'exhume
Qu'on est tout seul à savoir
Quand on partage à la brune
La solitude de la lune
Devant son grand écran noir
Si tu n'aimes pas trop la foule
Si parfois comme moi
La vie te soule un peu
Si tu te sens roulé en boule
Ou si le mauvais sort te blackboule hors du jeu
N'oublie pas qu'on est deux
C'est une chanson que j't'donne
Comme un gilet qu'on boutonne
Pour se réchauffer la vie
J't'ai tout dit.
La nuit ..................c'est tous les jours ...…
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Et je sors et je sors
Si tôt le soir tombé
C'est toujours mieux dehors
C'est toujours allumé
Que j'adore que j'adore
Ces enseignes animées
Belles comme des sémaphores
Guidant les naufragés
Mon amour j'aime toujours
Le soleil et voila
La nuit c'est tous les jours
Depuis les nuits sans toi
La nuit c'est tous les jours
À quoi bon se coucher
La nuit c'est tous les jours
Autant en profiter
Et je sors et je sors
Je veux jamais rentrer
Arriver à bon port
Si mal accompagné
Ai-je tort ai-je tort
De tellement me gâcher
De faire tellement d'efforts
Pour si peu t'oublier
Mon amour j'aime toujours
Le soleil et voila
La nuit c'est tous les jours
Depuis les nuits sans toi
La nuit c'est tous les jours
À quoi bon se coucher
La nuit c'est tous les jours
Autant en profiter
Et je sors et je sors
Sortir c'est oublier
Aller dans le décor
Ce bruit de verre brisé
Et je dors, oui je dors
Dormir c'est oublier
Que je n'ai plus de corps
Que même mon lit m'effraie
Mon amour j'aime toujours
Le soleil et voila
La nuit c'est tous les jours
Depuis les nuits sans toi
La nuit c'est tous les jours
À quoi bon se coucher
La nuit c'est tous les jours
Autant en profiter
Mon amour
Qu'est-ce que je foutais ........dans mon silence…
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!
J'ai jamais rien dit, jamais bravé la moindre loi
Pas le plus petit carreau brisé le moindre éclat de vois
J'ai vécu peinard dans mon pinard et mes pantouffles
Ce succédané de liberté où l'on étouffe
J'ai fermé ma gueule et ma fenêtre et mes idées
J'ai été le seul à me connaître, à me voir me rider
Mais je n'en peux plus de m'être tu dans ce vacarme
Dans la fausse paix du monde vrai des marchands d'armes
Et c'est moi, moi le lâche
Et c'est moi, qui me fâche
Et c'est moi qui m'arrache et qui vous secoue
Moi l'intrus, l'anonyme
Le cocu, la victime
Je ne veux plus tendre l'autre joue
Bouge, mon pauvre coeur usé d'avoir battu pour rien
Les années solitaires, les années sans lumière, c'est loin
Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux matins
L'horizon est couleur de colère...
Qu'est-ce que je foutais dans mon silence et dans ma peur
Enterré vivant, tenant autant de place qu'une erreur
Qu'est-ce que je foutais, moi toujours prêt dans le tumulte
A courber le dos, à faire le beau sous les insultes
II en est bien sur de plus malins et de plus forts
Des briseurs de sceptre, des païens qui traquent le veau d'or
Prêts à tout casser pour renverser les dictatures
El les remplacer souvent par d'autres dictatures
Mais c'est moi, moi le lâche
Mais c'est moi, qui me fâche
Et c'est moi qui m'arrache et qui vous secoue
Moi l'intrus, l'anonyme
Le cocu, la victime
Je ne veux plus
Tendre l'autre joue
Bouge, ma pauvre vie laissée pour compte si longtemps
Et si c'est éphémère, ne te prive pas d'air pour autant
Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux printemps
L'avenir est couleur de colère!
De colère!
De colère!
De colère!
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