
Renouveau
Folder: Créations
Fond noir de l'espoir
Celui qui me connaît et qui m'aime quand même
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Découvrez !
Trois choses que je crains
Trois choses :
Le feu qui n'a pas d'amis
La source tarie
Celui qui me connaît et détourne les yeux
Trois choses que je crains,
Une que je redoute :
Les chevaux rebelles
Les chevaux rebelles
Les chevaux rebelles qui refusent la bride et le mors
Trois choses que je respecte
Trois choses :
La mer qu'on appelle libre
Le vent que n'arrête aucun mur
Celui qui me connaît et qui meurt sans rien dire
Trois choses que je respecte,
Une que j'admire :
Les chevaux rebelles
Les chevaux rebelles
Les chevaux rebelles qui refusent la bride et le mors
Trois choses que j'aime,
Trois choses :
Celle que j'ai connue
Celle que j'ai perdue
Celle qui me connaît et qui m'aime quand même
Trois choses que j'aime,
Une qu'il me faut :
Les chevaux rebelles
Les chevaux rebelles
Les chevaux rebelles qui refusent la bride et le mors
Les chevaux rebelles qui refusent la bride et le mors
Et après
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www.ipernity.com/doc/menquiou.ray/10911369
Nanala naganalalo lanalalaleno x4
On a tondu les moutons et filé la laine
Et réparé la moto avec la clé allen
On a rencontré des filles pas du tout vilaines
Et avec elles il y avait la Marie ranouen
On a respiré du tri du trichloréthylene
Et le lendemain on avait mauvaise haleine
Nanala naganalalo lanalalaleno x4
Y'a trois francs de réduction sur les chocos BN
Alors pour en profiter on les prend par douzaine
On s'est envoyé une bonne bouteille de chouchen,
A la fin elle était vide, elle était plus pleine
Après on a fait du stop avec les bigoudènes
Et on est allé en boîte mais y avait qu'des lesbiennes
Nanala naganalalo lanalalaleno x4
On a jeté tous les Parisiens dedans la Seine
On a noyé en même temps toutes les parisiennes
On a trouvé du pétrole aux îles Kerguelen
Et après on est partis pécho la sirène
Ah y'en a un q'j'oublie toujours oh c'est Saddam Hussein
Celui la nous pompe de l'air comme Jean-Marie le Pen
On s'est roulé un cinq feuilles avec du pollen
Et après on est tous tombé dans le lagen
Nanala naganalalo lanalalaleno x4
Si notre chanson vous a plus oh donnez vous la peine
De nous payer un bon coup oh pour reprendre haleine
Je n'me souviens plus d'la suite alors c'est pas la peine
De toute façon ce qu'il fallait c'était une rime en "N"
Nanala naganalalo lanalalaleno (4 fois)
A bird , a dog and a dream!
Et du calme jardin qui soudainement luit, ........…
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Découvrez Bruno Walter !
Comme sont morts les preux, dans la gloire et le sang,
Au soir du jour frappés au coeur d'un fer puissant,
Le soleil, chevalier bardé d'or qui s'irise,
Dans le champ de l'azur, tout sanglant, agonise.
De son sein, à longs flots jaillit la pourpre en feu,
Qui coule, se propage et s'épand dans le bleu
Comme un golfe profond que le soir violette,
En avançant à pas lents d'ombre qui halète.
Tout là-bas, un petit nuage rose court,
Flocon que fouette un vent dans le ciel qu'il parcourt ;
Tandis qu'à l'Occident s'efface la féerie,
La nuit sur elle ayant tire sa draperie...
II
C'est le soir. Au jardin nulle aile ne voltige.
Chaque fleur endormie est droite sur sa tige.
Les grillons sont muets, sous les herbes tapis,
Et les vents fatigués semblent tous assoupis.
Même la brise au souffle à peine perceptible
Qui fait frémir la feuille à la branche flexible,
Sommeille, et l'onde fraîche est tranquille au bassin
Où le jour les oiseaux vont boire, par essaim.
Précédant le lever des étoiles, la lune
Apparaît pleine et pâle au fond de l'ombre brune,
Et du calme jardin qui soudainement luit,
Un lent parfum s'élève et plane dans la nuit ALBERT LOZEAU
Qu'est-ce que je foutais ........dans mon silence…
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J'ai jamais rien dit, jamais bravé la moindre loi
Pas le plus petit carreau brisé le moindre éclat de vois
J'ai vécu peinard dans mon pinard et mes pantouffles
Ce succédané de liberté où l'on étouffe
J'ai fermé ma gueule et ma fenêtre et mes idées
J'ai été le seul à me connaître, à me voir me rider
Mais je n'en peux plus de m'être tu dans ce vacarme
Dans la fausse paix du monde vrai des marchands d'armes
Et c'est moi, moi le lâche
Et c'est moi, qui me fâche
Et c'est moi qui m'arrache et qui vous secoue
Moi l'intrus, l'anonyme
Le cocu, la victime
Je ne veux plus tendre l'autre joue
Bouge, mon pauvre coeur usé d'avoir battu pour rien
Les années solitaires, les années sans lumière, c'est loin
Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux matins
L'horizon est couleur de colère...
Qu'est-ce que je foutais dans mon silence et dans ma peur
Enterré vivant, tenant autant de place qu'une erreur
Qu'est-ce que je foutais, moi toujours prêt dans le tumulte
A courber le dos, à faire le beau sous les insultes
II en est bien sur de plus malins et de plus forts
Des briseurs de sceptre, des païens qui traquent le veau d'or
Prêts à tout casser pour renverser les dictatures
El les remplacer souvent par d'autres dictatures
Mais c'est moi, moi le lâche
Mais c'est moi, qui me fâche
Et c'est moi qui m'arrache et qui vous secoue
Moi l'intrus, l'anonyme
Le cocu, la victime
Je ne veux plus
Tendre l'autre joue
Bouge, ma pauvre vie laissée pour compte si longtemps
Et si c'est éphémère, ne te prive pas d'air pour autant
Rouge, le ciel est rouge et nous promet de beaux printemps
L'avenir est couleur de colère!
De colère!
De colère!
De colère!
Cueillons nous ................du regard
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youtu.be/sf6bfTYyDzo
Mes yeux sont des fleurs
Cueillons nous du regard
Semons notre impudeur
Dans un lit de hasard
Ma bouche est un pré ou poussent des mots d’amour
Des désires colorés, des envies de toujours
Viens fouler l’herbe tendre, de mes lèvres
Tes baisers se font attendre, et j’en crève
Laisse fleurir tes mains sur mon corps
Je ne veux aucun frein à nos accords à nos accords
Ma peau est un champs, caressé par la vie
Je t’aime au gré du vent, au berceau de nos nuits
Mon coeur est une terre, un horizon fertile,
Mais loin de ta lumière, il jaunit, inutile
Vient fouler l’herbe tendre de mes lèvres
Tes baisers se font attendre, et j’en crève
Laisse fleurir tes mains sur mon corps
Je ne veux aucun frein à nos accords
Viens, prends tout l’espace
Je te laisse le champs libre
Tu hésites, tu m’agaces
Je te sens dans mes fibres
Trouves enfin l’audace
D’être celui qui vibre
Profond ou en surface
Profond ou en surface
Tu es mon équilibre
Viens fouler l’herbe tendre de mes lèvres
Tes baisers se font attendre, et j’en crève
Laisse fleurir tes mains sur mon corps
Je ne veux aucun frein à nos accords
Comme un refrain de folie.............. Tantôt le…
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Mon cœur est un violon
Sur lequel ton archet joue
Et qui vibre tout du long
Appuyé contre ta joue
Tantôt l'air est vif et gai
Comme un refrain de folie
Tantôt le son fatigué
Traîne avec mélancolie
Dans la nuit qui s'achève
Mon cœur est plein de toi
La musique est un rêve
Qui vibre sous tes doigts
Sous tes doigts la caresse
Rend mon désir si fort
Qu'il va jusqu'à l'ivresse
Et meurt à la fin de l'accord
Mon cœur est un violon
Sur lequel ton archet joue
Et qui vibre tout du long
Appuyé contre ta joue (1)
Tantôt l'air est vif et gai
Comme un refrain de folie
Tantôt le son fatigué
Traîne avec mélancolie
Et vibrant à l'unisson
Mon cœur est un violon...
Des rouges éclatants, des soleils éclatés.........…
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Pour ne plus, jamais plus, vous parler de la pluie,
Plus jamais du ciel lourd, jamais des matins gris,
Je suis sortie des brumes et je me suis enfuie,
Sous des ciels plus légers, pays de paradis,
Oh, que j'aurais voulu vous ramener ce soir,
Des mers en furie, des musiques barbares,
Des chants heureux, des rires qui résonnent bizarres,
Et vous feraient le bruit d'un heureux tintamarre,
Des coquillages blancs et des cailloux salés,
Qui roulent sous les vagues, mille fois ramenés,
Des rouges éclatants, des soleils éclatés,
Dont le feu brûlerait d'éternels étés,
Mais j'ai tout essayé,
J'ai fait semblant de croire,
Et je reviens de loin,
Et mon soleil est noir,
Mais j'ai tout essayé,
Et vous pouvez me croire,
Je reviens fatiguée,
Et j'ai le désespoir,
Légère, si légère, j'allais court vêtue,
Je faisais mon affaire du premier venu,
Et c'était le repos, l'heure de nonchalance,
A bouche que veux-tu, et j'entrais dans la danse,
J'ai appris le banjo sur des airs de guitare,
J'ai frissonné du dos, j'ai oublié Mozart,
Enfin j'allais pouvoir enfin vous revenir,
Avec l'œil alangui, vague de souvenirs,
Et j'étais l'ouragan et la rage de vivre,
Et j'étais le torrent et la force de vivre,
J'ai aimé, j'ai brûlé, rattrapé mon retard,
Que la vie était belle et folle mon histoire,
Mais la terre s'est ouverte,
Là-bas, quelque part,
Mais la terre s'est ouverte,
Et le soleil est noir,
Des hommes sont murés,
Tout là-bas, quelque part,
Les hommes sont murés,
Et c'est le désespoir,
J'ai conjuré le sort, j'ai recherché l'oubli,
J'ai refusé la mort, j'ai rejeté l'ennui,
Et j'ai serré les poings pour m'ordonner de croire,
Que la vie était belle, fascinant le hasard,
Qui me menait ici, ailleurs ou autre part,
Où la fleur était rouge, où le sable était blond,
Où le bruit de la mer était une chanson,
Oui, le bruit de la mer était une chanson,
Mais un enfant est mort,
Là-bas, quelque part,
Mais un enfant est mort,
Et le soleil est noir,
J'entends le glas qui sonne,
Tout là-bas, quelque part,
J'entends le glas sonner,
Et c'est le désespoir,
Je ne ramène rien, je suis écartelée,
Je vous reviens ce soir, le cœur égratigné,
Car, de les regarder, de les entendre vivre,
Avec eux j'ai eu mal, avec aux j'étais ivre,
Je ne ramène rien, je reviens solitaire,
Du bout de ce voyage au-delà des frontières,
Est-il un coin de terre où rien ne se déchire,
Et que faut-il donc faire, pouvez-vous me le dire,
S'il faut aller plus loin pour effacer vos larmes,
Et si je pouvais, seule, faire taire les armes,
Je jure que, demain, je reprends l'aventure,
Pour que cessent à jamais toutes ces déchirures,
Je veux bien essayer,
Et je veux bien y croire,
Mais je suis fatiguée,
Et mon soleil est noir,
Pardon de vous le dire,
Mais je reviens ce soir,
Le cœur égratigné,
Et j'ai le désespoir,
Le cœur égratigné,
Et j'ai le désespoir..
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