
Fiction
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Tortion du temps...ils ont fini par le couper ....…
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Y'a des jours inévitables où la confiance s'évanouit
Toutes ces heures vulnérables, y'a des jours comme des nuits
Les instants où je m'arrete au beau milieu de ma route
Comme un lendemain de fête, c'est juste un jour de doute
Les jours où même le temps dehors n'est pas sur de lui
Où le ciel est trempé sans une seule goutte de pluie
Je regarde autour de moi fuit par ma sérénité
Victime d'un moment de flou ou d'un trop plein de lucidité.
J'ai trop d'attentes et trop de souvenirs qui font des têtes à queue
Y'a beaucoup trop de pourquoi et pas assez de parce que
Je choisis souvent le silence pour que les gens regardent ailleurs
J'suis stoïque en apparence mais en tempête à l'intérieur
Y'a des envies qui me chuchotent et des regrets qui grondent
C'est les jours où tu te sens seul même entouré de plein de monde
On connait tous ces passages, un dernier vers pour la déroute
Les certitudes prises en otage, c'est juste un jour de doute.
C'est juste un jour de doute, c'est un réveil sans appétit
Comme une nuit sans sommeil et comme un rêve inabouti
C'est la vie qui hésite et qui m'octroie une pause
Mais pour mieux me laisser le temps de bien me remettre en cause
Alors je regarde dans le miroir et je contemple mes erreurs,
et tous ces regards sans espoir dans mon rétroviseur
Ces quelques mains qui se tendaient que je n'ai jamais rattrapées
Dans tout ce que j'ai tenté je ne revois que mes ratés.
Alors j'avance mais à tâtons et puis en regardant derrière
Je me sens coupable encore une fois et ce sera pas la dernière
Coupable d'avoir juste essayé et de pas avoir réussi
Coupable d'avoir fait de mon mieux,et que ca n'ait pas suffit
Alors je remets tout en question, est ce que j'suis bien à ma place
J'ai peut être pris les mauvais pions, est ce que je dois vraiment faire face,
j'connais cette histoire par cœur, un dernier vers pour la déroute
Parfois j'suis pas à la hauteur, c'est juste un jour de doute.
C'est juste un jour de doute, ça va pas durer longtemps
C'est juste un jour qui s'ajoute, il n'est même pas inquiétant,
mais s'il me laisse un gout amer, je dois y faire attention
Je connais son mystère, il est l'automne des sensations
Quand sa lumière est faible comme si elle luttait toute la journée
La nuit revient comme si la terre était pressée de se retourner,
et quand le soleil refait surface, il apparait presque déçu
Et une pluie fine le chasse, comme si la vie nous crachait dessus
Alors je me dis que j'ai trop dormi ou que j'suis parti en contresens
Je sans que j'ai besoin de retrouver toute les odeurs de l'urgence
Les odeurs de vertige, les odeurs de vérité,
je sais bien que j'ai besoin de retrouver l'instabilité,
je crois pas que je manque des repères, en fait je pense que j'en ai trop
J'ai envie de me prouver que j'aurai toujours les crocs
C'est peut être ça un jour de doute, c'est pas une chute de moral
C'est le besoin de vérifier qu'on a encore bien la dalle.
En fait ces journées à la con , ça te fait te sentir vivant
Et ça me fait écrire des textes bien écorchés comme avant
En fait les jours de doute, ça donne des jours de lutte
Des réveils, des coups de poings, des envies d'uppercuts
Alors je tombe et je me redresse, alors je m'enfonce et j'encaisse
Alors je me trompe et je progresse, alors je compte mes faiblesses
Alors j'échoue comme tout le monde mais je reste sincère
Et comme la vie n'est pas longue, j'essaie juste de bien faire
Et si je mets de la lumière sur certaines de mes zones d'ombres
Et si je mets quelques mots sur mes silences les plus sombres
C'est pour mieux les comprendre et reprendre ma route
C'est pour foncer sans attendre le prochain jour de doute.
Envole-moi ... Remplis ma tête d'autres horizons,…
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Minuit se lève en haut des tours
Les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd
La nuit camoufle pour quelques heures
La zone sale et les épaves et la laideur
J'ai pas choisi de naître ici
Entre l'ignorance et la violence et l'ennui
J'm'en sortirai, j'me le promets
Et s'il le faut, j'emploierai des moyens légaux
Envole-moi ...
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi ...
Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots
Envole-moi
Pas de question ni rébellion
Règles du jeu fixées mais les dés sont pipés
L'hiver est glace, l'été est feu
Ici, y'a jamais de saison pour être mieux
J'ai pas choisi de vivre ici
Entre la soumission, la peur ou l'abandon
J'm'en sortirai, je te le jure
A coup de livres, je franchirai tous ces murs
Envole-moi ...
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi ...
Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots
Envole-moi
Me laisse pas là, emmène-moi, envole-moi
Croiser d'autres yeux qui ne se résignent pas
Envole-moi, tire-moi de là
Montre-moi ces autres vies que je ne sais pas
Envole-moi ...
Regarde moi bien, je ne leur ressemble pas
Me laisse pas là, envole-moi
Avec ou sans toi, je n'finirai pas comme ça
Envole-moi, envole-moi, envole-moi ...
Roue du temps : Parce que le temps qui court, cour…
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Et finalement
Après quelques années
Les hommes ont remplacé tes poupées
Et les glaïeuls posés dans ta chambre
Remplacent aujourd'hui les fleurs des champs
Et c'est le temps qui court, court
Qui nous rend sérieux
La vie nous a rendus plus orgueilleux
Parce que le temps qui court, court
Change les plaisirs
Et que le manque d'amour nous fait vieillir
A l'heure qu'il est
Mes voitures de plastique
Sont devenues vraies depuis longtemps
Et finalement les affaires et l'argent
Ont remplacé mes jouets d'avant
Et c'est le temps qui court, court
Qui nous rend sérieux
La vie nous a rendus plus orgueilleux
Parce que le temps qui court, court, oh court
Change les plaisirs
Et que le manque d'amour nous fait vieillir
Parce que le temps qui court, court, oh court
Change les plaisirs
Et que le manque d'amour nous fait vieillir
Et toujours le temps qui court, court
Change les plaisirs
Et que le manque d'amour nous fait vieillir
Je viens d'ailleurs....Sans maudire ......Sans mot…
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Chez moi, tout était beau
la lune était rousse
jolies pierres et ruisseaux
Je viens d'ailleurs
je n'ai qu'une envie
c'est de repartir
sans mot dire
Je ne voulais de mal à personne
la déception fut forte
hystérie-méchanceté collective
on voulait m'apprendre à mordre
Je viens d'ailleurs
je n'ai qu'une envie
c'est de repartir
sans mot dire
Mal poli-connerie collective
curieuse façon de parler
c'est ça qu'ils cultivent
car tel est leur monde…
vvvvvvvv
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On voulait m'apprendre à mordre.........car tel es…
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Chez moi, tout était beau
la lune était rousse
jolies pierres et ruisseaux
Je viens d'ailleurs
je n'ai qu'une envie
c'est de repartir
sans mot dire
Je ne voulais de mal à personne
la déception fut forte
hystérie-méchanceté collective
on voulait m'apprendre à mordre
Je viens d'ailleurs
je n'ai qu'une envie
c'est de repartir
sans mot dire
Mal poli-connerie collective
curieuse façon de parler
c'est ça qu'ils cultivent
car tel est leur monde…
car tel est leur monde
C'était étrange Est-ce qu'il allait neiger des ang…
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Que se passe-t-il?
Je n'y comprends rien
Y'avait une ville
Et y'a plus rien
Je me souviens que je marchais
Que je marchais dans une rue
Au milieu de la cohue
Sous un joyeux soleil de mai
C'était plein de couleurs
De mouvements et de bruits
Une fille m'a souri
Et je me souviens que je la suivais
Je la suivais
Sous le joyeux soleil de mai
Chemin faisant j'imaginais
Un mot gentil pour l'aborder
Et puis voici
Que dans le ciel bleu de midi
De plus en plus fort j'entendis
Comme arrivant de l'infini
Ce drôle de bruit
Ce drôle de bruit
Je me souviens que les gens
S'arrêtèrent de marcher
Et d'un air étonné
Tout le monde a levé le nez
Vers le ciel angélique
Couleur de paradis
D'où sortait cette musique
Comme accordée sur l'infini
C'était étrange
Est-ce qu'il allait neiger des anges
Les gens guettaient dans un mélange
D'inquiétude et d'amusement
Et brusquement
Il y eut un éclair aveuglant
Et dans un souffle incandescent
Les murs se mirent à trembler
Que s'est-il passé?
J'y comprends rien
Y'avait une ville
Et y'a plus rien
Y'a plus rien qu'un désert
De gravats, de poussière
Qu'un silence à hurler
A la place où il y avait
Une ville qui battait
Comme un coeur prodigieux
Une fille dont les yeux
Étaient pleins du soleil de mai
Mon Dieu, mon Dieu
Faites que ce soit
Un mauvais rêve
Réveillez-moi
Réveillez-moi
Réveillez-moi
Réalité
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Le premier cri
le deuxieme souffle
la troisieme dimension
le quatrieme élément
le cinquieme continent
le sixieme sens
le septieme art
la huitieme armée
la neuvieme symphonie
le dixieme commandement
le onzieme parallele
le douzieme saloppard
mon treizieme verre
la quatorzieme avenue
la quinzieme heure
la seizieme minute
la dix-septieme femme qui passe...il pleut
pour la dix-huitième fois
au dix-neuvieme jour du mois
ma derniere cigarette
la vingtieme
le vingt-et-unieme siecle, j'y suis, j'y reste, l'odyssée du réel
l'odyssée du réel
le premier homme
le deuxieme couteau
le troisieme Reich
la ennieme connerie
la cinquieme république
le sixieme ammondement
le septieme samourail
Il est 15:17, j'éteins mais cigarette, tu ne viendras pas....
au destin des planètes le chemin de deux être ce n'est rien et pourtant parfois
Tout s'éteint, tout s'arrête, et ma tête se projette au cloison des lendemains sans toi
je griffonne l'addition où j'ai rayé ton nom
je pense à l'homme que je vais être et la vie de l'homme me paraît désuète
Par dela d'la vitrine je regarde placine le palais des âmes qui défilent sous la pluie l'inconnu de leur vie passe par la prochaine avenue
il est 15:18 et les Tac et les Tic ne créent plus de déclic en moi
ni le bras mécanique de la boîte a musique ou tourne ce disque au désespoir....ou tourne ce disque au désespoir....l'odyssée du réel
Mon verre
le glaçon dans mon verre
mon verre sur le zinc
le zinc de ce bar
ces néons sur l'avenue qui croise d'autres avenues
le dix-huitieme arrondissement...Paris!
Le pays de Molière, le vieux continent
La Terre: elle s'arrêtera pas d'tourner que tu ne viennes ou pas ca ne changera pas le monde
la Terre: elle s'arrêtera pas d'tourner que tu ne viennes ou pas ca ne changera pas le monde, on n'intéresse personne!
Et le temps s'éclaircit, on ferme les parapluies...
Et le temps qui poursuit sa ronde à l'infini...
Et les éphémérides sont papiers gras qui collent puis volent au vent de la vie...
Tu fuis dans les rigoles, je remonte mon col...Non! Ce n'était pas un SOS!...
Ce n'était qu'un signal de détresse...
L'odyssée du réel !...
Le premier rendez-vous...Et puis le dernier...mon dernier verre...
Ma Première résolution!
Au quatrième temps, il sera exactement 15:19 minutes !....L'odyssée du réel...j'y suis j'y reste
j'y suis j'y reste.......
l'odyssée du réel
le vingt-et-unieme siecle...
Mirage
Dis toi toujours Que ça vaut la peine
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Non
Pas le temps
T'as pas l'argent
Pas la solution.
Mais oui
Puisque c'est ta vie
Puisque c'est ton cœur
Qui te guidera
Ho non
Ne dis pas non
Que t'as plus l'âge
Et plus le courage
Mais oui
Puisque dans tes mains
Tu trouves la force
De serrer les miennes
Tant qu'on danse encore
Tant qu'on rêve encore
Que ça change un jour
Ça vaut la peine
Tant qu'on aime encore
Tant qu'on pleure encore
C'est qu'on croit toujours
Que ça vaut la peine
Mais non
C'est pas mon nom
Pas mon argent
Pas la solution
Mais oui
Tant que je n'oublie
Pas que c'est mon cœur
Qui me guidera
Pour te dire encore
Que je doute encore
Que ça change encore
J'ai de la peine
Mais j'essaie toujours
On ne sait jamais
Si ça change un jour
Ça vaut la peine
Ça vaut la peine
Mais oui
Il n'y a qu'une voie
Et c'est dans nos coeurs
Qu'on la trouvera
Puisqu'on danse encore
Pour qu'on rêve encore
Que ça change un jour
Ça vaut la peine
Tant qu'on aime encore
Qu'on respire encore
Je crois toujours
Que ça vaut la peine
Alors danse encore
Rêve encore
Dis toi toujours
Que ça vaut la peine
Tant qu'on aime encore
Qu'on s'aime encore
Mon amour
Ça vaut la peine
J' décolle, j' quitte la scène, j' décolle .......…
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!
J' m'envole, tu as dit : J' m'envole
J' vous abandonne
J' décolle, j' quitte la scène, j' décolle
Y avait maldonne
Tout est si beau vu d'en haut
Tout est si bleu vu des cieux
Tu nous as dit : J' m'envole
J' quitte la Terre, j' m'envole
J' vous abandonne
J'agite mes hélices, délice
J' desserre les vis
J'ai plus envie d' faire semblant
De courir après le temps
{Refrain:}
J' m'ennuierai de vous
Mais pas des clous
Ni des gourous
Qu'on nous met partout
J' m'ennuierai de toi
Mais pas des croix
Ni des jeux d' lois
Qui font marcher droit
Je prends de l'altitude
Je décolle
Je m'envole
Plus haut et plus loin
Tu nous as dit : J' m'envole
J' quitte la Terre, j' m'envole
J' vous abandonne
J' prends l'air
J' suis léger, j' prends l'air
Je fais l'oiseau
Tout est si simple quand on grimpe
Tout est si p'tit, vu d'ici
Au cœur le chemin est bien plus beau que ce qui n'…
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T'es Trop Sensible c'est vrai
Et les autres voient pas qui tu es
Trop Sensible je sais
Moi aussi ça a faillit me tuer
T'es Trop Sensible c'est vrai
Et les autres voient pas qui tu es
Trop Sensible je sais
Moi aussi ça a faillit me tuer
Tu t'angoisses tu paniques t'es en crise
Quand tu te prends en plein cœur
Sans pouvoir l'exprimer tout de suite
C'est trop fort, ça f'rait peur
Solitaire dans ton monde tu chantes aux étoiles et
câlines la terre
Tu sens notre mère qui gronde
A bout de force mais ne peut plus se taire
Tu sens la souffrance comme une bombe
Le tic-tac, en sourdine
Les puissants qui nous mènent à la tombe
Et se moquent de notre sort en prime
J'aimerais te dire que ce monde livide finira par se réveiller,
Mais j'ai bien peur que ça ne tienne qu'à un fil
Mais rassures toi, toi tu seras sauvé.
T'es Trop Sensible c'est vrai
Et les autres voient pas qui tu es
Trop Sensible je sais
Moi aussi ça a faillit me tuer
T'es Trop Sensible c'est vrai
Et les autres voient pas qui tu es
T'es Trop Sensible je sais
Moi aussi ça a faillit me tuer
Avec ta petite gueule d'ange
Tu nous fais voir des masques colorés
Tous ces gens qui te croient innocent
Mais toi tu voyages dans l'obscurité
Avec ta petite gueule d'ange
Tu laisses croire et ne semble qu'indiquer
Que dans ta tête y'a que des fleurs des sourires,
Des papillons et du sucre vanillé
Je ressens ta souffrance
Je la vois, je l'écoute
Être en rage et déçu c'est normal
Mais ce n'est pas la seule route
C'est à toi d'exprimer ta beauté
D'éclairer de tes yeux,
Si autours de toi rien ne brille
A toi d'être fort et d'y croire pour eux
Tout ce monde qui fourmille de fantômes
On t'en fera des croches-pieds
Cherche en toi cette lumière
Au cœur le chemin est bien plus beau que ce qui n'y parait
Ne laisse pas l'ignorance te duper
Ne crois pas à leurs mensonges
Ils te donnent ce qu'ils peuvent , ce qu'ils ont
Existe en toi bien plus que ce que l'on t'a inculqué
T'es Trop Sensible c'est vrai
Et les autres voient pas qui tu es
Trop Sensible je sais
Moi aussi ça a faillit me tuer
T'es Trop Sensible c'est vrai
Et les autres voient pas qui tu es
T'es Trop Sensible je sais
Moi aussi ça a faillit me tuer
T'es Trop Sensible c'est vrai
Et les autres voient pas qui tu es
T'es Trop Sensible je sais
Moi aussi ça a faillit me tuer
T'es Trop Sensible c'est vrai
Et les autres voient pas qui tu es
T'es Trop Sensible je sais
Moi aussi ça a faillit me tuer
Je prends de la hauteur.........Tout doucement en…
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!
Je jazz le gris des hommes
Contre le rouge des pommes
Des murs sales de Rome, de Paris et de Beaune
Voici mon 7ème jour et que Dieu me pardonne
Je refais les mélanges avec les couleurs qu'on me donne
Comme le vert de l'herbe dans les rues de nos cités
Plus de bâtiments ternes telle est ma volonté
Le pâle de mon épiderme n'est plus approprié
Si la ville n'est plus la même ça change les données
Et le bleu de tes yeux de nos villes et de nos cieux
Que je pose tranquillement sur tous les toits des banlieues
Parfois il est indigo cela dépend du ciel
Ça dépend aussi du pinceau qui repeint l'arc-en-ciel
Je jazz les couleurs
Je prends de la hauteur jazz les couleurs
Tout doucement en écoutant mon cœur
Je jazz les couleurs
Je touche le bonheur
Je jazz les couleurs je prends de la hauteur
Claquant sur le front du front les idées de ma bonne humeur
Un peu de beige et beaucoup plus de marron
Et sur les murs des maisons je peins de l'animation
J'explique, j'expose voilà ce que je propose
Pas besoin d'alcool pour voir des éléphants roses
Hé ! je limite ma zone le cocu n'est plus de couleur jaune
Je prends l'Élysée, la politique et tous les généraux
Pour une durée limite la peinture est bien sûr à l'eau
Pas d'erreur je garde les tableaux
Et le sang du Seigneur reste un bon bordeaux
Je jazz les couleurs
Je prends de la hauteur jazz les couleurs
Tout doucement en écoutant mon cœur
Je jazz les couleurs
Je touche le bonheur
Stop, faisons un break !
Reprenons la palette des couleurs de ma planète
Pour moi c'est net la France est belle et violette
Dommage que certaines personnes volent en dessous des pâquerettes
Me revoilà sûr cherchant le bonheur
Sans aucune structure le fruit de durs labeurs
En imaginant tout l'univers dans un shaker
Et le mélangeant à la vitesse des battements d'un cœur
Et pourquoi pas faisons les pas, pas à pas
Mélangeons la culture et tout ce qui ne vas pas
Comme le bleu azur de la mer qui change des fois
Je jazz les couleurs et tel est mon combat
Je jazz les couleurs
Je prends de la hauteur jazz les couleurs
Tout doucement en écoutant mon cœur
Je jazz les couleurs
Je touche le bonheur
A contre-courant dans un monde en mouvement
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Les habitants du feu rouge n'ont plus qu'une main qui bouge
Pendant que l'autre s'agrippe encore
A l'espoir de ne pas faire partie du décor
Ils n'ont pas la haine, ils n'ont plus rien
Que ce reflet d'eux mêmes qui s'estompe dans les glaces qui gênées se remontent
Ils ont la même couleur que les murs
Seuls leur yeux témoignent encore d'une aventure
D'un raz-de-marée qui les a jetés là
Marins des trottoirs sans ports ni belles histoires
Les seuls embruns sur leur visage
Sont ceux du dédain sur leur passage
Les habitants du feu rouge bougent quand tout le monde s'arrête
A contre-courant dans un monde en mouvement
Un peu de répit dans la vitesse du mépris
Le vert est leur ennemi
Quand il libère les gens d'une réalité de la vie
De ces hommes qui toutes les trois minutes montent sur scène
En espérant ne pas refaire un bide
Juste histoire de remplir le leur
Ce n'est pas eux mais leur estomac
Qui est tordu rongé par le trac
Ils sont prêts à tout même ne pas vous en vouloir
D'avoir besoin d'un sémaphore pour les voir
Des choses blues et roses
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Juste un petit kiss ... un petit kiss qui se glisse
Ça ne me laisse pas ... de glace
Juste une petite glace ... côté pile ou côté face
De nos grimaces ... complice
Ça va ça vient ça te prend la comme ça
Ça fait des choses des choses blues et roses
Ça passe par le haut par le bas
Ça te prend partout hou
Ça fait du bien ça te prend la ça va ça vient
Ça passe par le haut par le bas
Ça fait du bien partout yeh he
Juste un petit truc ... un petit truc excentrique
C'est si bon d'avoir ... le trac
Il me dit des choses ... et il me fait des choses
Et j'ose et j'aime ça ...
Ça va ça vient ça te prend la comme ça
Ça fait des choses des choses blues et roses
Ça passe par le haut par le bas
Ça te prend partout hou
Ça fait du bien ça te prend la ça va ça vient
ça fait des choses
l'amour c'est ça
Ça passe par le haut par le bas
Ça fait du bien partout yeh he
Parfums orangés .......De ces nuits orageuses,
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Découvrez !
Soleil écorché,
Vestiges éventrés,
Corps décapités,
Squelettes éclatés,
Fragments de silence
Dans la transparence
Ouatée des écrans
De contrôle assistance,
Bruits De Bulles,
Bruits De Bulles,
Bruits De Bulles.
Le rouge de ses lèvres
Et le bleu de ses yeux
Sur le blanc crayeux
De son visage laiteux,
Charme ténébreux
Des ruines sur les lieux
Du crash où se cache
La bête à sept têtes,
Bruits De Bulles,
Bruits De Bulles,
Bruits De Bulles.
Le temps se coagule,
Lueurs des rayons
Rouges filtrés des néons,
Lasers et lézards,
Démons de mon hasard,
Bruits De Bulles,
Bruits De Bulles,
Bruits De Bulles.
L'instant se coagule,
Aurore et rosée,
Légère et vaporeuse,
Parfums orangés
De ces nuits orageuses,
Je m'engouffre en fumée
Dans la fissure,
Cliché désintégré,
Faille obscure,
Bruits De Bulles,
Bruits De Bulles,
Bruits De Bulles,
Devenir quelquefois ..............Un rêve insaisis…
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!
Entrer dans la lumière
Comme un insecte fou
Respirer la poussière
Vous venir a genoux
Redécouvrir ma voix
En être encore capable
Devenir quelquefois
Un rêve insaisissable
Toucher des musiciens
Sourire à des visages
A quatre heures du matin
N'être plus qu'une image
Etre là de passage
Sans avoir rendez-vous
Avoir tous les courages
De me donner à vous
Et vous laisser venir
Comme un amant magique
Et vous ensevelir
Sous mon cri de musique
Entrer dans la lumière
Comme un insecte fou
Respirer la poussière
Vous venir a genoux
Dans tous les soleils oui,........... au-dessus du…
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!
!Loin
Dans mon vertige
Je suis loin
Juste au coin du vide
Et qui suis-je
Quand rien ne m'oblige
Loin
Loin Ta couleur, toujours
Désert splendide C'est l'amour, mais l'amour c'est la douleur
Je n' vois rien Cherche encore, encore et encore
Et le noir me guide Et même ta souffrance, c'est ta chance peut-être
Tous les mots Dans ton ventre, dans ta tête
Meurent dans mon piano Elle vit ta musique, et un jour magique
Loin C'est l'orage, comme du fond d'un paysage
Dans ta tête et dans ton ventre, elle entre
Loin La musique, les mots sont des animaux sauvages
Et je cherche
Le ciel et l'inverse
Loin Loin mais va plus loin
Dans mon vertige Et ta force, elle est là sous ton écorce
Mais prodige Sois rebelle, ta défaite est belle
Chose unique au monde Ecris comme tu cries, écris et déchire
Une rose Recommence, recommence
Qui dure une seconde Un beau jour, tout sortira du silence
Loin Le courage, et au bout du mot courage: la rage
Mais unique au monde, le jour où la rose explose
Loin Ce jour-là, il n'est plus ni gai ni triste, l'artiste
Il est lui, sous la pluie, dans tous les soleils
Dans tous les soleils oui, au-dessus du beau, là haut
Il a retrouvé la flamme, son âme est comme une lame
Loin Sa fureur de vivre, c'est pas dans les livres c'est dans lui
Sa grand-voile dans les étoiles, il s’envole, il s'envole
Même saoulé de coups, de tout
Même s'il doit souffrir encore
Loin Tout s'envole, son coeur, son corps
Même si c'est jamais fini
Rien qu' pour qu'on lui dise je t'aime
Même s'il doit mourir, oui même
Il poursuit son aventure Ses chagrins, ses déchirures
Il est loin
Loin Loin
Loin Loin
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