
Douceur
Folder: Créations
Et la douceur des lignes
et
la violence des mots
Dime la tierra, y el fuego
www.ipernity.com/doc/33947/album/250661/show
et
la violence des mots
Dime la tierra, y el fuego
www.ipernity.com/doc/33947/album/250661/show
Envole-moi ... Remplis ma tête d'autres horizons,…
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Minuit se lève en haut des tours
Les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd
La nuit camoufle pour quelques heures
La zone sale et les épaves et la laideur
J'ai pas choisi de naître ici
Entre l'ignorance et la violence et l'ennui
J'm'en sortirai, j'me le promets
Et s'il le faut, j'emploierai des moyens légaux
Envole-moi ...
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi ...
Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots
Envole-moi
Pas de question ni rébellion
Règles du jeu fixées mais les dés sont pipés
L'hiver est glace, l'été est feu
Ici, y'a jamais de saison pour être mieux
J'ai pas choisi de vivre ici
Entre la soumission, la peur ou l'abandon
J'm'en sortirai, je te le jure
A coup de livres, je franchirai tous ces murs
Envole-moi ...
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi ...
Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots
Envole-moi
Me laisse pas là, emmène-moi, envole-moi
Croiser d'autres yeux qui ne se résignent pas
Envole-moi, tire-moi de là
Montre-moi ces autres vies que je ne sais pas
Envole-moi ...
Regarde moi bien, je ne leur ressemble pas
Me laisse pas là, envole-moi
Avec ou sans toi, je n'finirai pas comme ça
Envole-moi, envole-moi, envole-moi ...
Douceur
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Les jours de ma vie s'en vont sans que j'aie pu retenir une leçon
Je sais que l'amour est là, infiniment troublant, attendant d'être vu
Quand viennent les coups de grisou, la vie demande tant de vous
Je me demande à quels vents de l'enfer, une fois, j'ai obéI tout bas
J'ai eu des temps de folie, des temps d'horreur et des nuits d'oubli
Quand on sait l'angoisse là, infiniment cruelle, attendant la curée
Le monde est doux dehors, doux, doux, doux dehors
Et fou dedans, fugitif et lent, flou d'abord, doux, doux, doux, dehors
Fou de sang, vous entrez dedans
Mais jamais, vous n'en sortez comme avant
J'ai regretté d'être aveugle souvent quand l'amour me regardait
Infiniment patient, attendant d'être vu
La trace de mes poisons, moi, je la porte sur mon front
Je sais que la vie s'en va, infiniment plus belle qu'on ne l'imagina
Le monde est doux dehors, doux, doux, doux dehors
Et fou dedans, fugitif et lent, flou d'abord, doux, doux, doux, dehors
Tout le temps, éternellement
Le monde est doux dehors, doux, doux, doux dehors
Et fou dedans, fugitif et lent, flou d'abord, doux, doux, doux, dehors
Tout le temps, éternellement
Ah ah ah, ah ah ah, doux dehors, fou dedans.
Si la liberté mon vieux Ça peut peindre tout en bl…
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Découvrez !
Artiste: Pierre Bachelet
Chanson: Elle Avait Tout Peint En Bleu
Elle avait tout peint en bleu
Mon oreiller mes cheveux
Quand j'ai regardé dehors
J'ai vu un drôle de décor
Et je n'en ai pas cru mes yeux
Elle avait tout peint en bleu
Les rues tristes des banlieues
Même les arbres les abri-bus
Avaient la couleur en plus
Et c'était vraiment vraiment mieux
Elle avait tout peint en bleu
Même les gens, les malheureux
Présidents ou éboueurs
Y avait plus d'âge de couleurs
Et c'était tellement tellement mieux
Elle avait tout peint en bleu
Même les prières au bon Dieu
Les journaux, les prospectus
Les tribunes des campus
C'est vrai que ça changeait un peu
Si la liberté mon vieux
Ça peut peindre tout en bleu
Il faut savoir ce qu'on veut
Si tu lui tournes le dos
Elle repart avec ses pinceaux
Vers d'autres ciels, vers d'autres lieux
Et soudain plus rien n'est bleu
Elle avait tout peint en bleu
Mes guitares mon lit mes cheveux
Mais dès qu'elle est repartie
Tout est redevenu gris
Et je n'en ai pas cru mes yeux
Elle avait tout peint en bleu
Elle avait tout peint en bleu
A ces chemin que tu suis sans moi....... ces bouts…
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ciel de flamme ou vent de neige
des terres d' Afrique aux caps de Norvège
ou qu' on vive sur la planète
on a tous quelqu'un dans la tête
des Amériques au contrée d Ukraine
d autres langues mais la même peine
ou qu'on vive sur la planète
on tous ces mots dans la tête
je suis loin de toi
je suis loin mais je pense a toi
je suis loin de toi
je suis loin mais je n oublie pas
je suis loin mais je pense a toi
du fond de l' Orient aux pays de France
le même manque la même évidence
ou qu'on vive sur la planète
on a tous ce cri dans la tête
je suis loin de toi
je suis loin mais je pense a toi
je suis loin de toi
je suis loin mais je n oublie pas
je suis loin mais je pense a toi
à ces chemin que tu suis sans moi
ces bouts de temps perdus
et c est toi qui vit dans ma tête
je suis loin ...
je suis loin ...
trop loin de toi
je suis loin mais je pense à toi
je suis loin mais je n'oublie pas
je suis loin mais je pense a toi
je suis loin , trop loin de toi
Dis est-ce que tu nous vois D'en haut ou bien d'en…
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youtu.be/yBwdPhdGJQA
Y a pas d'miracle
Mais elle en a bavé
Elle en a pris des claques
Avant de t'emporter
On va dire que tu dors
Que tu t'reposes encore
Dis est-ce que tu nous vois
D'en haut ou bien d'en bas
On est tous un peu comme toi
On n'y croit pas
Est-ce que tu te promènes
Dans des paysages que même
En fermant fort les yeux
On n'imagine pas
Y a pas d'miracle
Mais elle en a bavé
Elle en a pris des claques
Avant de t'emporter
On va dire que tu dors
Que tu t'reposes encore
Peut-être qu'y a plus rien
Que le soleil, qu'les planètes
C'est rien que dans la tête
Et qu'ça n'va pas plus loin
Peut-être qu'y a plus rien
Et que nul ne s'inquiète
De ce corps qu'on vous prête
Comme le croient certains
Dis est-ce que tu nous vois
D'en haut ou bien d'en bas
Si j'te demande tout ça
C'est pas seulement pour toi
Si tu te promènes
Dans les jardins de l'Eden
On aura moins de peine
Peut-être qu'on s'reverra
Y a pas d'miracle
Mais on lui en f'ra baver
Elle en prendra des claques
Avant d'nous emporter
On te quitte, tu dors
Faut que tu t'reposes encore
Souvent mon araignée en tis.. ...sant sa toile Fai…
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Découvrez
J'ai la méninge qui fleurit
La nature m'a tout appris
Je suis poète
Ma fortune est bien entendu
Comme un beau jardin suspendu
Dans ma tête
Pas de mémoire des myosotis
Souvent mon araignée en tis..
...sant sa toile
Fait un hamac pour ma pensée
Qui de là rêvant d'odyssée
Met la voile
Quand je m'embarque au grand bonheur
Je peux tout dire avec des fleurs
De méninge
Quand je m'en vais conter fleurette
Pas besoin de roses ni de pâquerettes
Au smokinge
Suffit pour être ensorceleur
De savoir faire pousser les fleurs
De méninge
Je ne cultive pas le souci
Mais je me rends vite à merci
Quand on cueille
Les plus douces pensées d'amour
Et la marguerite alentour
Que j'effeuille
Des fleurs poussées par ma passion
J'en fais éclore sans aversion
Sur le bitume
Tout un parterre enjuponé
De belles de nuit dès que le né..
...on s'allume
Quand je joue au bel oiseleur
Je peux tout prendre avec des fleurs
De méninge
Pour étourdir la midinette
Pas besoin de roses ni de pâquerettes
Au dancinge
Suffit pour ce gentil labeur
De savoir faire pousser les fleurs
De méninge
Je pense trop et je suis trop beau
Pour faire de vieux os de barbeau
Je m'en flatte
Tranquille j'attends qu'un voyou
Comme pour me guérir du mildiou
Me sulfate
Ou bien qu'on me plante au surin
Sur le ventre un joli jardin
Qu'on me vaccine
Bref qu'on m'envoie sans mon faire part
Grignoter les pissenlits par
La racine
Quand je m'embarquerai pour ailleurs
Tout sera dit en quelques fleurs
De méninge
Pour m'en aller aux oubliettes
Pas besoin de roses ni de pâquerettes
Ni de métinge
Pas besoin non plus d'orchidées
Mais d'un simple bouquet d'idées
Suffira de verser quelques pleurs
Pour arroser vos propres fleurs
De méninge
Je ne voudrais pas te vexer mais on n'est pas d'la…
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!
Sur le comptoir de l'univers une Vénus crépusculaire
Boit du lait-rhum un peu amer en attendant son Jupiter
Dans sa parure d'oripeau ainsi à l'aise comme dans sa turne
Une fumée bleue de Neptune sortant de sa bouche en anneaux
De verres en verres, au bar
De l'univers, je pars
De bière en bière, j'ai plus
Les pieds sur terre
J'avance, la démarche peu sûre les yeux me sortant des orbites
Je dis à la belle qui m'évite : tu me fais grimper le mercure
Je suis au bord du big-bang je frôle déjà le désastre
Laisse-moi goûter à ta langue ou tu vas voir mourir un astre
De verres en verres, au bar
De l'univers, je pars
De bière en bière, j'ai plus
Les pieds sur terre
Elle me répond d'une voix lactée tire pas des plans sur la comète
Je ne voudrais pas te vexer mais on n'est pas d'la même planète
Et puis me repousse du talon et je sombre dans un trou noir
Au milieu d'une constellation d'étoiles sur des litres de pinard
De verres en verres, au bar
De l'univers, je pars
De bière en bière, j'ai plus
Les pieds sur terre
Ooooooooooooooooooooooooooh !!!
Ohooooooooho !!!
En fusée, j'ai rendu mes verres de bière de mars sur le bitume
Sorti du bar de l'Univers je me sentais con...
En fusée, j'ai rendu mes verres de bière de mars sur le bitume
Sorti du bar de l'Univers je me sentais con comme la lune
De verres en verres, au bar
De l'Univers, je pars
De bière en bière, j'ai plus
Les pieds sur terre
De verres en verres, au bar
De l'Univers, je pars
De bière en bière, j'ai plus
Les pieds sur terre
Allez, vas-y, roule !
C'est ma tournée !
Oh la vache, qu'est-ce que j'tiens...
S'apprennent par coeur sur le bout des doigts
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Sur fond noir
Deux mains se mélangent, c'est la première fois
Deux peaux étrangères s'arriment aux pores
Mouillés de sueur de nouveaux ébats
Vingt doigts sont paumés
Images des corps enlacés,
Lascifs commencent une danse
Les ongles en griffes cherchent à rentrer
Mais une paume douce calme leur démence
Les doigts s'endorment, la chair apaisée
Deux mains se séparent, la peau se fait sèche
Les doigts se retirent, se roulent en poings
L'annulaire à l'air d'être mis à l'index
Les bras les balancent, menaçant de loin
Deux mains de maîtresse trahison sans gants
Et y tourne les pouces et poussent le trouble
Les ongle aiguisent un retour sanglant
Mais l'autre poignet réclame son double
Deux mains se retrouvent, s'accrochent à nouveau
C'est la marée lente des coeurs des amants
Qui gonflent les veines des mains sous la peau
Et qui chassent le sang quand l'amour fout le camp
Deux doigts qui se frôlent reprennent espoir
Touchent deux mains, caressent la foi
Des couples heureux qui d'amour en gloire, d'amour
S'apprennent par coeur sur le bout des doigts
Dime la tierra, y el fuego
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lalalalalalala...
lalalalalalalala...
dime el amor, dime el cielo
come la gente vive n'este mundo
dime el sol, dime el verano
yo sé que tu lo ves muy claro
dime el dia, la hora
los encantos y las maravillas
dime la noche, la alegria
pero adios no me digas !
tantas preguntas me vienen
tus labios lo saben
me gusta tanto vivir cuando estas
Dime el campo, dime la sierre
la inocencia a que punto llega
dime el sueño, dime el agua
que este rio dime a donde va
Dime la tierra, y el fuego
que esas son cosas que necesito
Dime antes, dime despues,
cuando me quieres tanto
tantas preguntas me vienen
tus labios lo saben
Pasen las cosas que pasen
tus brazos me quieren
me gusta tanto vivir cuando estas
dim'el amor, dim'el cielo
come la gente vive n'este mundo
dime el sol, dime el verano
yo sé que tu lo ves muy claro
dime el dia, la hora
los encantos y las maravillas
dime la noche, la alegria
pero adios no me digas
Dime el Amor, Dime el cielo
Dis moi la vie et comment vont les Gens
Dime el sol, Dime el verano
Dis moi le monde et ses droles d'habitants
Dis moi le jour ,le depart
Las cosas que valen esperar
Dis moi la joie, dis moi l'espoir
Mais ne dis jamais aurevoir
(REFRAIN1)
Dans ce Tourbillon
Qui m'entraine
Serre moi fort si tu m'aimes
Tout est tellement plus beau entre tes bras si tu m'aimes
Dis moi les blés et dis moi les champs
Jusqu'à quelle heure on peut etre innocent
Dime el sueño,dime el agua
Este rio dime a donde va
Dis moi la terre, les elements
Comment sait on qu'on se comprend
Dime Antes, dime Despues
Comment tu m'aimes autant ?
(REFRAIN 2)
Dans ce Tourbillon
Qui m'entraine
Serre moi fort si tu m'aimes
On dansera toujours pour la peine
Serre moi fort si tu m'aimes
Tout est tellement plus beau entre tes bras
Dim' el amor, dim'el cielo
Como la gente vive n'este mundo
Dime el sol, dime el verano
Yo sé que tu lo ves muy claro
Dime el dia , la hora
Los encantos y las maravillas
Dime la noche , la alegria
Pero adios no me digas
Lalalalalalalla
(REFRAIN 2)
Le monde est bien plus beau entre tes bras
le rêve inachevé
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!
Mon cœur est un violon
Sur lequel ton archet joue
Et qui vibre tout du long
Appuyé contre ta joue
Tantôt l'air est vif et gai
Comme un refrain de folie
Tantôt le son fatigué
Traîne avec mélancolie
Dans la nuit qui s'achève
Mon cœur est plein de toi
La musique est un rêve
Qui vibre sous tes doigts
Sous tes doigts la caresse
Rend mon désir si fort
Qu'il va jusqu'à l'ivresse
Et meurt à la fin de l'accord
Mon cœur est un violon
Sur lequel ton archet joue
Et qui vibre tout du long
Appuyé contre ta joue (1)
Tantôt l'air est vif et gai
Comme un refrain de folie
Tantôt le son fatigué
Traîne avec mélancolie
Et vibrant à l'unisson
Mon cœur est un violon...
Je veux pleurer dans un décor
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Quand on est pauvre et qu'on n'a rien
On n'a pas même son chagrin
C'est un chagrin sans importance
Sans grandeur et sans élégance
Ma peine a son horaire
Ma peine pointe à l'usine
Elle n'a pas de mystère
Comme dans les magazines
Je Veux Pleurer Comme Soraya
Je veux pleurer comme une princesse
Je veux pleurer avec noblesse
Pas dans la soupe, mais dans la soie
Je veux pleurer dans un décor
Un chagrin plus grand que ma vie
Un vrai chagrin qui fasse envie
Je veux pleurer comme Liz Taylor
{Refrain}
Je Veux Pleurer Comme Soraya
Je Veux Pleurer Comme Soraya
Je veux m'offrir ça
Quand on n'en a pas les moyens
On n'profite pas de son chagrin
On n'a pas l'temps d'en faire le tour
Les pommes de terre brûlent dans le four
On n's'y habitue pas
Ça porte sur le foie
C'est d'la peine à deux sous
On n'en sent pas le goût
Je Veux Pleurer Comme Soraya
Des larmes qu'on prend en photo
Pleurer sans rhume de cerveau
Des larmes qui n'défigurent pas
Je n'veux plus de chagrin à la gomme
De chagrin payable par traites
J'en veux d'un coup jusqu'à la r'traite
Je veux pleurer comme la Bégum
{Au refrain}
Je Veux Pleurer Comme Soraya
J'veux pleurer sans économie
Qu'une fois au moins dans ma vie
Je puisse me dire que je n'compte pas
Je veux pleurer comme pour une fête
Où on fout en l'air ses richesses
Je veux pleurer comme une princesse
Je veux pleurer comme Margaret
Des désirs colorés, des envies de toujours
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Mes yeux sont des fleurs
Cueillons nous du regard
Semons notre impudeur
Dans un lit de hasard
Ma bouche est un pré ou poussent des mots d’amour
Des désirs colorés, des envies de toujours
Viens fouler l’herbe tendre, de mes lèvres
Tes baisers se font attendre, et j’en crève
Laisse fleurir tes mains sur mon corps
Je ne veux aucun frein à nos accords à nos accords
Ma peau est un champs, caressé par la vie
Je t’aime au gré du vent, au berceau de nos nuits
Mon coeur est une terre, un horizon fertile,
Mais loin de ta lumière, il jaunit, inutile
Vient fouler l’herbe tendre de mes lèvres
Tes baisers se font attendre, et j’en crève
Laisse fleurir tes mains sur mon corps
Je ne veux aucun frein à nos accords
Viens, prends tout l’espace
Je te laisse le champs libre
Tu hésites, tu m’agaces
Je te sens dans mes fibres
Trouves enfin l’audace
D’être celui qui vibre
Profond ou en surface
Profond ou en surface
Tu es mon équilibre
Viens fouler l’herbe tendre de mes lèvres
Tes baisers se font attendre, et j’en crève
Laisse fleurir tes mains sur mon corps
Je ne veux aucun frein à nos accords
On voulait jeter l'ancre Et pourtant nous voilà
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Ça n'est peut-être rien
Ces déchirures sourdes
Cet amour qui déteint
Doucement dans nos yeux
On était cœur à cœur
Nous voici coudes à coudes
Il faut bien qu'on déssaoule
Un matin du bonheur
Ça n'est peut-être rien
La mariée était belle
Mais la lune de miel
Coule au premier chagrin
A peine passé le cap
De la grande espérance
On voulait jeter l'ancre
Et pourtant nous voilà
Un amour qui s'éloigne
Ce n'est pas un amour perdu
Ma complice, ma compagne
La pause tendresse est venue
Ça n'est peut-être rien
Pourvu que tu sois là
Que je parle avec toi
Au café du matin
Et si de temps en temps
Toi et moi on deserte
C'est pour tenter peut-être
De vieillir moins souvent
Un amour qui s'éloigne
Ce n'est pas un amour perdu
Ma complice, ma compagne
La pause tendresse est venue
Remets les bûches au feu
Et viens allons dîner
Nous n'allons plus jouer
La scène de l'adieu
Sortons côté jardin
Aimons-nous en coulisse
Laissons jouer les novices
A l'amour Cornélien
Un amour qui s'éloigne
Ce n'est pas un amour perdu
Ma complice, ma compagne
La pause tendresse est venue
...Il ne sort pas de ma mémoire .......
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Dans une ville où je passais...
Bien au nord du mois de Juillet,
Sur un grand lac, un lac gelé,
Un homme en noir glissait, glissait.
Il avait un drôle d’habit noir
Qui avait dû faire les grands soirs
De l’Autriche et de la Hongrie,
Quand elles étaient réunies.
C’était un échassier bizarre.
Il ne sort pas de ma mémoire.
Sur une jambe et jusqu’au soir,
Il glissait là sur son miroir...
Il patinait, il patinait...
Sur une jambe, il patinait.
Et puis la nuit est arrivée.
Il lui a fallu s’arrêter
Car les enfants devaient rentrer.
Le spectacle était terminé.
Une belle femme aux cheveux blancs
Est venue vers lui, gentiment,
Mettre une canne dans sa main
Et un long manteau sur ses reins.
C’était un échassier bizarre.
Il ne sort pas de ma mémoire.
Sur une jambe et jusqu’au soir,
Il glissait là sur son miroir...
Il patinait, il patinait...
Sur une jambe il patinait.
Dans une ville où je passais...
Bien au nord du mois de Juillet,
Sur un grand lac, un lac gelé,
Un homme en noir boîtait, boîtait...
Il patinait, il patinait...
Sur une jambe il patinait
Quand ses parfums sombres............ Tournent aut…
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youtu.be/xUeCNSDn9d8
Quand, quand la nuit tombe
Quand elle balance comme ça
Collée contre moi
Quand ses parfums sombres
Tournent autour de nous
On se mélange c’est tout.
Qu’est-ce que tu devines
Dans ton demi-sourire?
Qu’est-ce que tu dessines
Pour mon proche avenir?
Comment tu chaloupes?
Comment tourne ta robe?
Tes épaules la suivent
Et tournent, tournent à leur tour.
Quand le jeu des ombres
Tourne avec nos corps
Allongés alors
Viens sortons du nombre
Parce qu’on ne fait plus qu’un
La nuit nous appartient
Qu’est-ce que tu devines
Dans ton demi-sourire?
Qu’est-ce que tu dessines
Pour mon proche avenir?
Comment tu chaloupes?
Comment tourne ta robe?
Tes épaules la suivent
Et tournent, tournent à leur tour.
Qu’est-ce que t’imagines
Mon silence habité?
Ton regard sublime
Peut lire dans mes pensées.
Viens sortons de l’ombre
Parce qu’on ne fait plus qu’un.
Viens sortons du nombre
Le nuit nous appartient.
Le rêve inachevé
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Moi, si j'étais un homme, je serais capitaine
D'un bateau vert et blanc,
D'une élégance rare et plus fort que l'ébène
Pour les trop mauvais temps.
Je t'emmènerais en voyage
Voir les plus beaux pays du monde.
J' te ferais l'amour sur la plage
En savourant chaque seconde
Où mon corps engourdi s'enflamme
Jusqu'à s'endormir dans tes bras,
Mais je suis femme et, quand on est femme,
On ne dit pas ces choses-là.
Je t'offrirais de beaux bijoux,
Des fleurs pour ton appartement,
Des parfums à vous rendre fou
Et, juste à côté de Milan,
Dans une ville qu'on appelle Bergame,
Je te ferais construire une villa,
Mais je suis femme et, quand on est femme,
On n'achète pas ces choses-là.
Il faut dire que les temps ont changé.
De nos jours, c'est chacun pour soi.
Ces histoires d'amour démodées
N'arrivent qu'au cinéma.
On devient économe.
C'est dommage : moi j'aurais bien aimé
Un peu plus d'humour et de tendresse.
Si les hommes n'étaient pas si pressés
De prendre maîtresse...
Ah ! si j'étais un homme !
Je t'appellerais tous les jours
Rien que pour entendre ta voix.
Je t'appellerais "mon amour",
Insisterais pour qu'on se voie
Et t'inventerais un programme
À l'allure d'un soir de gala,
Mais je suis femme et, quand on est femme,
Ces choses-là ne se font pas.
Il faut dire que les temps ont changé.
De nos jours, c'est chacun pour soi.
Ces histoires d'amour démodées
N'arrivent qu'au cinéma.
On devient économe.
C'est dommage, moi j'aurais bien aimé
Un peu plus d'humour et de tendresse.
Si les hommes n'étaient pas si pressés
De prendre maîtresse...
Ah ! si j'étais un homme,
Je serais romantique...
Illustration pour une expo privée amie , sur le t…
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Découvrez !
La nuit est si belle
Et je suis seule
Je n'ai pas envie de mourir
Je veux encore chanter
Danser et rire
Je ne veux pas mourir
Mourir
Avant d'avoir aimé
Vivre
Pour celui qu'on aime
Aimer
Plus que l'amour même
Donner
Sans rien attendre en retour
Libre
De choisir sa vie
Sans un anathème
Sans un interdit
Libre
Sans dieu ni patrie
Avec pour seul baptême
Celui de l'eau de pluie
Vivre
Pour celui qu'on aime
Aimer
Plus que l'amour même
Donner
Sans rien attendre en retour
Ces deux mondes qui nous séparent
Un jour seront-ils réunis
Oh ! je voudrais tell'ment y croire
Même s'il me faut donner ma vie
Donner ma vie
Pour changer l'histoire
Vivre
Pour celui qu'on aime
Aimer
Plus que l'amour même
Donner
Sans rien attendre en retour
Aimer
Comme la nuit aime le jour
Aimer
Jusqu'à en mourir d'amour
Jusqu'à en mourir d'amour
Vaisseau......Chacun la même angoisse Sur le même…
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Sur les passerelles à l'embarquement
Populaires ou premières, derrière ou devant
On monte les malles, des quais sur le pont
On charge dans les cales de l'acier, des jurons
Ne manque plus qu'un signe, du capitaine un mot
Des cabines aux cuisines
Sur le même bateau
Un doigt de champagne, un toast au départ
Dans les soutes le bagne et les heures de quart
Des soirées mondaines, des valses ou tangos
Aux ombres à la peine un mauvais tord boyau
En attendant l'escale, Athènes ou Macao
Sous les mêmes étoiles
Sur le même bateau
Au feu des machines souffre matelot
Près de la piscine les belles et les beaux
Des salles de moteur, des salons joyaux
Ici la sueur le plus grand luxe en haut
Mais vienne une tempête, une lame en sursaut
Toutes les âmes s'inquiètent
Sur le même bateau
Quand les astres s'en mêlent sur l'immense océan
Quand tout devient si frêle face aux éléments
Plus de rang plus de classe, plus de bagne ou de beau
Chacun la même angoisse
Sur le même bateau {x2}
Sur le même. sur le même bateau
Sur le même bateau
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