
Avenir- souvenir
Folder: Créations
Vers un avenir
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Goodbye
Le Sélénite et la Vénusienne
Les rendez-vous de la vie martienne
L'étoile lointaine
Goodbye
Les noces de diamant sur la Lune
Le collier en anneaux de Saturne
La nuit sur Neptune
J'ai la nostalgie de l'avenir
Je rêve d'un futur où revenir
Un monde en apesanteur idéale
Dont je serais l'étonnant résident sidéral
Goodbye
Le grand voyage vers Jupiter
Les belles vacances au clair de la Terre
Les années-lumière
Goodbye
Vers l'infini et même au-delà
Aucun OVNI ne vient plus vous voir ici-bas
Dans vos favelas
J'ai la nostalgie de l'avenir
Je cherche un futur où revenir
Un monde en apesanteur idéale
Dont je serais l'étonnant résident sidéral
Et tous les jours je lutte tout le temps Contre la…
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Découvrez !
Je suis assise sur une bombe atomique
Et pour une fois c’est vraiment pathétique
Les tentations qui sont souvent magiques
Me font l’effet d’un retour d’élastique
Et tous les jours je lutte tout le temps
Contre un démon qui me veut vraiment
Et c’est de là que j’aime La Douceur Du Danger
Je suis assise sur une bombe atomique
Ma cave est pleine de vapeurs méphitiques
Leurs rondeurs font de la musique
Mais elles n’ont plus de vrais pouvoirs magiques
Et tous les jours je lutte tout le temps
Contre la dérision de mon âme sans fond
Et c’est de là que j’aime La Douceur Du Danger
Et puis ma vie sentimentale
N’est plus qu’un vide sidéral
Rien à regarder dans ma boule de cristal
Adieu la vie
Adieu l’amour
On sort le soir on boit des coups
C’est pas bien grave mais c’est bien fait pour nous
Il faut savoir narguer le loup
Pour pouvoir aller jusqu’au bout
Au bout de l’enfer si ça te chante
Au paradis t’auras pas une chance
Et c’est de la que j’aime La Douceur Du Danger
Et puis ma vie sentimentale
N’est plus qu’un vide sidéral
Rien à regarder dans ma boule de cristal
Adieu la vie
Adieu l’amour
Ton avenir est dans ta prochaine bouteille
Dans la vraie vie c’est vraiment pas pareil
Les feuilles tombent et tombent encore
Mettre en prison la douleur de ton corps
Et tous les jours je lutte tout le temps
Contre un démon qui me veut vraiment
Et c’est de là que j’aime La Douceur Du Danger
J'irai jusqu'au bout du chemin Et quand ce s'ra la…
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Ho! J'cours tout seul
by William Sheller
La vie c'est comme une image
Tu t'imagines dans une cage
Ou ailleurs
Tu dis "C'est pas mon destin"
Ou bien tu dis "C'est dommage"
Et tu pleures
On m'a tout mis dans les mains
J'ai pas choisi mes bagages
En couleur
Je cours à côté d'un train
Qu'on m'a donné au passage
De bonheur
Et je regarde ceux
Qui se penchent aux fenêtres
J'me dis qu'il y en a parmi eux
Qui me parlent peut-être
Oh j'cours tout seul
Je cours et j'me sens toujours tout seul
Et si j'te comprends pas
Apprends-moi ton langage
Dis-moi les choses qui m'font du bien
Qui m'remettent à la page
Oh j'cours tout seul
Je cours et j'me sens toujours tout seul
Pour des histoires que j'aime bien
J'ai parfois pris du retard
Mais c'est rien
J'irai jusqu'au bout du chemin
Et quand ce s'ra la nuit noire
Je s'rais bien
Faut pas qu'tu penses à demain
Faut pas dormir au hasard
Et tu tiens
Je cours à côté d'un train
Qu'on m'a donné au passage
Un matin
Et je regarde ceux
Qui s'allument aux fenêtres
J'me dis qu'il y en a parmi eux
Qui m'aimeraient peut-être
Oh j'cours tout seul
Je cours et j'me sens toujours tout seul
Et si j'te comprends pas
Apprends-moi ton langage
Dis-moi les choses qui m'font du bien
Qui m'remettent à la page
Oh j'cours tout seul
Je cours et j'me sens toujours tout seul
Et je regarde ceux
Qui s'endorment aux fenêtres
J'me dit qu'il y en a parmi eux
Qui m'oublient peut-être
Oh j'cours tout seul
Je cours et j'me sens toujours tout seul
On vous dira sans doute
Que mon histoire est bizarre
Je sais mais j'peux pas m'arrêter
Vu qu'y a plus d'noms sur les gares
Oh j'cours tout seul
Je cours et j'me sens toujours tout seul
La question en somme.......
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Découvrez !
Tous ces regards fuyants
Sont des miroirs
Reflets jaloux des yeux
A l'encre noire
Aucuns efforts pour savoir qui nous sommes
On plait ou on ne plait jamais aux hommes
Tout ces passants ont aussi mal que toi
La peur de vivre et de ne vivre qu'une seule fois
Avoir été ne leurs suffit jamais
Leurs yeux ne voient que ce qui disparaît
C'est le chant des Hommes
Le chagrin des Hommes
Le destin qui sonne
De leur naissance jusqu'à la fin
Des histoires, des chemins
On ne sait jamais rien
On recherche une main
Entre tout et rien
Serais-je fidèle à ce que je crois
Si un jour vient le moment du choix
Si je pouvais savoir l'avenir
Serais-je meilleur ou serais-je pire
Et tout ces rêves que l'on n'a trahi
Qu'en reste t-il quand tout est fini
Suis-je aussi bien que mes parents me voient
Suis-je aussi fort que mes enfants le crois
C'est le chant des Hommes
Le chagrin des Hommes
Le destin qui sonne
De leur naissance jusqu'à la fin
Mais que l'on ait mon âge ou vingt ans
Du passé ou bien du présent
C'est question sont les mêmes
De tout les temps
Que l'on soit un homme, une femme
Que l'on vive avec ou sans âme
On veut tous y répondre
Obstinément
Mais le coeur des Hommes
La question en somme
Ce qui les fait rêver
C'est le besoin d'aimer
C'est le chant des Hommes
Le chagrin des Hommes
Le destin qui sonne
De leur naissance jusqu'à la fin
C'est le chant des Hommes
Le chemin des Hommes
Le destin qui sonne
De leur naissance jusqu'à la fin
L'entente voulait qu'ce soit jamais plus
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L'homme était français, la femme était russe
Tout 2 en voyages aux Etats-Unis
Tout 2 attendaient le même autobus
Presque sans bagages, comme des sans-abris.
Ils se composait dans le terminus
Un nouveau langage bizarrement joli
Presque du français et presque du russe
Et l'anglais d'usage qu'ils avaient appris.
Au fil du trajet, dans le processus
Du bon bavardage qui se pervertit
Le couple savait qu'il s'agirait juste
D'un truc de passage voué à l'oubli
L'homme était français, la femme était russe
Leurs 2 coeurs volages n'avaient qu'une envie
Lui s'imaginait délivrer le buste
De l'épais corsage à demi remplis
Elle se retenait d'explorer les muscles
De ce corps sauvage de mâle aguerri
Il y eut 2 arrêts puis un terminus
Un sac de couchage pour 2 corps unis
Au matin dormait l'homme et sa vénus
Tout 2 en otages de l'autre endormis
Mais dans le respect de leur consensus
L'éventuel chantage n'était pas permis
L'entente voulait qu'ce soit jamais plus
Qu'un truc de passage voué à l'oubli
L'homme était français, la femme était russe
Sans enfantillage tout 2 ont repris
Chacun leur trajet et leur autobus
Tout 2 le visage un peu déconfit
La femme chassait le souvenir robuste
De son court voyage au Etats-Unis
Alors que germait dans son utérus
Un truc de passage......Voué à l'oubli......
Je suis une petite fleur inquiéte L'automne et l'h…
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Je suis une petite fleur malade
malade parce que personne me regarde
Meme les orties sont plus jolis
Aux yeux des promeneurs
D'ici ou ailleurs
Je suis une petite fleur fragile
Qui rêve d'elire domicile
Dans une mèche de tes ch'veux blonds
boucles claires de ton front
Ne me dis pas non
Emilie jolie, cueille moi je t'en pris
Je t'en pris , je t'en supplie
Je veux pas finir sous les feuilles
Comme linceuil
Ou sechée dans un porte feuille
Vois déja mes couleurs se fanent
Solitude, ennui, vague à l'âme
Plus l'temps de rien, dans ce jardin
Car meme si je suis sage
Mon printemps n'est qu'un passage
Emilie jolie, cueille moi je t'en prie
Je t'en prie, je t'en supplie
Je veux pas finir sous les feuilles
Comme linceuil
Ou sechée dans un porte feuille
Maman bleuet, papa coquelicot
J'ai perdu leurs pistes
Alors cueille cette petite fleur triste
Je suis une petite fleur inquiéte
L'automne et l'hiver me guette
Et je me lasse du temps qui passe
De ma vie qui s'en va
Ne pars pas sans moi
Emilie jolie, cueille moi je t'en prie
Je t'en prie , je t'en supplie
Grâce à toi, je serais seule mmmh ma belle
Qui aura la vie éternelle ?
Maman bleuet, papa coquelicot
J'ai perdu leurs pistes
Alors cueille cette petite fleur triste
Mais qui donc pourrait retenir Les rêves que l’on…
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Une île
Une île au large de l’espoir
Où les hommes n’auraient pas peur
Et douce et calme comme ton miroir
Une île
Claire comme un matin de Pâques
Offrant l’océane langueur
D’une sirène à chaque vague
Oh, viens
Viens mon amour
Là-bas ne seraient point ces fous
Qui nous disent d’être sages
Ou que vingt ans est le bel âge
Voici venu le temps de vivre
Voici venu le temps d’aimer
Une île
Une île au large de l’amour
Posée sur l’autel de la mer
Satin couché sur le velours
Une île
Chaude comme la tendresse
Espérante comme un désert
Qu’un nuage de pluie caresse
Oh, viens
Viens mon amour
Là-bas ne seraient point ces fous
Qui nous cachent les longues plages
Viens mon amour
Fuyons l’orage
Voici venu le temps de vivre
Voici venu le temps d’aimer
Une île
Et qu’il nous reste à bâtir
Mais qui donc pourrait retenir
Les rêves que l’on rêve à deux
Une île
Voici qu’une île est en partance
Et qui sommeillait en nos yeux
Depuis les portes de l’enfance
Oh, viens
Viens mon amour
Car c’est là-bas que tout commence
Je crois à la dernière chance
Et tu es celle que je veux
Voici venu le temps de vivre
Voici venu le temps d’aimer
Une île
Moi en rêve j'ai vu Éblouissante et nue
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On est bien peu de chose
Et mon amie la rose me l'a dit ce matin
A l'aurore je suis née, baptisée de rosée
Je me suis épanouie
Heureuse et amoureuse
Au rayon du soleil
Je me suis fermée la nuit
Me suis reveillée vieillie
Pourtant j'etais très belle
Oui j'etais la plus belle
Des fleurs de ton jardin
On est bien peu de chose
Et mon amie la rose me l'a dit ce matin
Vois le dieu qui m'a faite
M'a fait courber la tête
Et je sens que je tombe
Et je sens que je tombe
Mon coeur est presque nu
J'ai le pied dans la tombe
Déjà je ne suis plus
Tu m'admirais que hier et je serais poussière
Pour toujours demain
On est bien peu de chose
Et mon amie la rose est morte ce matin
La lune cette nuit, a veillé mon amie
Moi en rêve j'ai vu
Éblouissante et nue
Son âme qui dansait
Bien au délà du nu.
Et qui me souriait
Croit celui qui peut croire
Moi j'ai besoin d'espoir
Sinon je ne suis rien
On est bien peu de chose
Et mon amie la rose me l'a dit ce matin
Vois le dieu qui m'a faite
M'a fait courber la tête
Et je sens que je tombe
Et je sens que je tombe
Mon coeur est presque nu
J'ai le pied dans la tombe
Déjà je ne suis plus
Tu m'admirais que hier
Et je serais poussière
Pour toujours demain.
Je veux que tes yeux brûlent encore Aux premiers f…
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Je veux tes cheveux sous la neige
Quelque part au ciel de Norvège
Et puis te prendre par la main
Sous un soleil d'été romain.
Je veux des rendez-vous bizarres,
Dans un avion, dans un couloir,
Avec des frissons de rencontres,
Une heure de plaisir à nos montres.
Je veux que tes yeux brûlent encore
Aux premiers feux d'avant l'aurore
Et puis déposer sur tes lèvres
Le baiser d'un jour qui se lève.
Les plaisirs d'amour, bonjour.
Les plaisirs d'une heure, menteur.
Je veux que tes cris te trahissent,
Que tu m'attires comm'en enfer
Au plus profond d'un précipice
D'éclats de sang et de lumière.
Je veux briller dans ton miroir,
Deviner ton corps dans le noir
Et puis me noyer dans tes yeux
D'océan triste, d'océan bleu.
Je veux qu'on explose en douceur,
Que tu m'en veuilles, que tu en meures
Et délirer des mots d'amour
Au dernier feu d'un soleil lourd.
Les plaisirs d'amour, bonjour.
Les plaisirs d'une heure, menteur.
Je veux te faire devenir folle
Par des caresses, par des paroles
Et puis que ton c�ur me réponde
Comm'un écho du fond du monde.
Je veux aller plus loin encore,
Derrière l'amour, derrière la mort,
Ne plus atteindre aucun rivage
Et me confondre à ton image.
Je veux délirer mes amours
Jusqu'à l'aurore d'un nouveau jour
Et puis m'endormir avec elles
A la clarté d'un nouveau ciel.
Les plaisirs d'amour, bonjour.
Les plaisirs d'une heure, menteur.
Je veux délirer mes amours.................... Jus…
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Je veux tes cheveux sous la neige
Quelque part au ciel de Norvège
Et puis te prendre par la main
Sous un soleil d'été romain.
Je veux des rendez-vous bizarres,
Dans un avion, dans un couloir,
Avec des frissons de rencontres,
Une heure de plaisir à nos montres.
Je veux que tes yeux brûlent encore
Aux premiers feux d'avant l'aurore
Et puis déposer sur tes lèvres
Le baiser d'un jour qui se lève.
Les plaisirs d'amour, bonjour.
Les plaisirs d'une heure, menteur.
Je veux que tes cris te trahissent,
Que tu m'attires comm'en enfer
Au plus profond d'un précipice
D'éclats de sang et de lumière.
Je veux briller dans ton miroir,
Deviner ton corps dans le noir
Et puis me noyer dans tes yeux
D'océan triste, d'océan bleu.
Je veux qu'on explose en douceur,
Que tu m'en veuilles, que tu en meures
Et délirer des mots d'amour
Au dernier feu d'un soleil lourd.
Les plaisirs d'amour, bonjour.
Les plaisirs d'une heure, menteur.
Je veux te faire devenir folle
Par des caresses, par des paroles
Et puis que ton c�ur me réponde
Comm'un écho du fond du monde.
Je veux aller plus loin encore,
Derrière l'amour, derrière la mort,
Ne plus atteindre aucun rivage
Et me confondre à ton image.
Je veux délirer mes amours
Jusqu'à l'aurore d'un nouveau jour
Et puis m'endormir avec elles
A la clarté d'un nouveau ciel.
Les plaisirs d'amour, bonjour.
Les plaisirs d'une heure, menteur.
Sous le vent
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Et si tu crois que j'ai eu peur
C'est faux
Je donne des vacances à mon coeur
Un peu de repos
Et si tu crois que j'ai eu tort
Attends
Respire un peu le souffle d'or
Qui me pousse en avant
Et
Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand voile
Et j'ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant
(Sous le vent)
Et si tu crois que c'est fini
Jamais
C'est juste une pause un répit
Après les dangers
Et si tu crois que je t'oublie
Écoute
Ouvre ton corps aux vents de la nuit
Ferme les yeux
Et
Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand voile
Et j'ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant
(Sous le vent)
Et si tu crois que c'est fini
Jamais
C'est juste une pause un répit
Après les dangers
Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand voile
Et j'ai glissé sous le vent
(j'ai glissé sous le vent)
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant
Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand voile
Et j'ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant
Sous le vent
Sous le vent
Tu n’as pas mesuré, tous nos pouvoirs de fée
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youtu.be/fwg9jBxz1kI
http://www.deezer.com/listen-5017603
Oui mais tu l’ignores, Une fille en rut dehors
C’est dangereux pour tes yeux et ton petit corps
Et si tu crois savoir, Que ces choses là sont rares
Tu te fais berner tromper tu te fais avoir
Parce que nous on est calées sur la lune
Comme la marée et les loups-garous
Si dehors tout à l’air si doux
Méfions-nous de l’eau qui dort
Tu n’as pas mesuré, tous nos pouvoirs de fée
Pour te faire croire à l’amour de toujours, On t’as ensorcelé
Tu n’savais plus quoi faire, des jupons de ta mère,
Ils étaient rêches on est d’mèche comme des vieilles sorcières
Refrain (x2)
Alors vient pas m’faire croire, qu’t’es le roi d’la terre ou,
Qu’t’es content d’me voir parce que mon petit père
Ce soir c’est moi qui gère
D’ailleurs enlève ta main et passe ton chemin parce que
Moi, je suis callée sur la lune...
Comme la marée et les loups-garous
Si dehors tout à l’air si doux
Méfie-toi de l’eau qui dort (x2 + refrain x2)
Plonger sans bruit et traverser des chemins interd…
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!
A l'heure où la nuit s'éveille
Quand la lune change de quartier
Dans sa robe vermeille
Elle nous glisse des mots de passe à l'oreille
Ailleurs au fin fond du sommeil
On aperçoit des trésors démons et des merveilles
Il en faudra des efforts
pour percer le mystère qui dort
Voler la nuit des rêves fous des rêves gris
Plonger sans bruit et traverser des chemins interdits
Voler la nuit des rêves fous des rêves gris
Se souvenir au petit matin blême
Des solutions données à nos problèmes
Ailleurs les dunes de sel
Et les plages de sucre roux brûlantes au soleil
Et les traces que je suis pas à pas
Pour sortir du tunnel
J'entends une douce voix qui m'appelle
Qui ne parle que de toi, et toi qui m'ensorcelle
Et qui revient chaque lune
comme une dose d'amour nocturne
Voler la nuit des rêves fous des rêves gris
Plonger sans bruit et traverser des chemins interdits
Voler la nuit des rêves fous des rêves gris
Se souvenir au petit matin blême
Des solutions données à nos problèmes
Au détour d'un chagrin À l'angle de mes larmes
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Au dessus de mon front
Il tire les ficelles
De mes rêves et mes démons
Se font toujours la belle
Du large des grands fonds
Et jusqu'après la terre
hum hum
Je les sens ainsi font les yeux de mon grand père
hum hum
[ REFRAIN ]
Ciao bella,
les autres ont s'en fout
Ciao bella,
les autres c'est pas nous
Ciao bella,
tu manques à ma vie
Ciao bella,
jamais je n'oublie ta voix
Au-delà des étoiles
Des rires du bon dieu
Et sur sa jolie toile
Il tisse tous mes vœux
Au détour d'un chagrin
À l'angle de mes larmes
Il se fraie un chemin
Et défait tous mes drames
[ REFRAIN ]
Ciao bella
les autres ont s'en fout
Ciao bella
les autres c'est pas nous
Ciao bella
tu manques à ma vie
ciao bella
jamais je n'oublie ta voix
Ciao bella
les autres ont s'en fout
Ciao bella
les autres c'est pas nous
Ciao bella
tu manques à ma vie...
jamais je n'oublie
Ciao bella
les autres on s'en fout
Ciao bella
les autres c'est pas nous
Ciao bella
tu manques à ma vie
Ciao bella
jamais je n'oublie ta voix
On the Wind
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J'ai couru toute ma vie
Derrière les mirages,
Qui me promettaient l'or
De mes rêves d'enfant.
Me voici arrivé
Sur cette étrange plage,
Où en cris déchirants
Meurent les goélands.
Je ne saurai jamais
La couleur du vent.
Quand le vent m'a parlé,
Il était l'aventure.
Il s'est appelé gloire
Et plus tard illusion.
Et bientôt solitude
Douce amère blessure,
Car personne n'a pu
Répondre à ma question.
(Refrain)
Je ne saurai jamais,
La couleur du vent.
La couleur du vent,
La forme de l'eau
Et l'âge du temps.
Et je me suis retourné
Sur les traces de mes pas.
Aux derniers souvenirs,
Je les perdais déjà.
Alors je me suis assis
Fourbu sur un rocher.
J'étais prisonnier
Entre la mer et mon passé.
(Au refrain)
Et je te trouve là,
Dans la fleur de ton âge.
Auréolée d'azur
Et d'amour, qui m'attends.
Puis-je tenir ta main ?
J'ai fini mon voyage
J'ai bien vu que tes yeux
Ont la couleur du vent.
J'ai bien vu que tes yeux
Ont la couleur du vent.
La couleur du vent,
La forme de l'eau
Et l'âge du temps.
La couleur du vent,
La forme de l'eau
Et l'âge du temps.
Nu, j'ai vécu nu Sur le fil de mes songes.........…
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Nu, j'ai vécu nu
Naufragé de naissance
Sur l'île de Malenfance
Dont nul n'est revenu
Nu, j'ai vécu nu
Dans des vignes sauvages
Nourri de vin d'orage
Et de corsages émus
Nu, vieil ingénu
J'ai nagé dans tes cieux
Depuis les terres de feu
Jusqu'aux herbes ténues
Nu, j'ai pleuré nu
Dans la buée d'un miroir
Le coeur en gyrophare
Qu'est-ce qu'on s'aimait... Samu
Nu, j'ai vécu nu
Sur le fil de mes songes
Les tissus de mensonges
Mon destin biscornu
Mais nu, je continue
Mon chemin de tempête
En gueulant à tue-tête
La chanson des canuts
Nu, j'avance nu
Dépouillé de mon ombre
J'voulais pas être une ombre
Je le suis devenu
Nu, j'ai vécu nu
Aux quatre coins des gares
Clandestin d'une histoire
Qui n'a plus d'avenue
Nu, je suis venu
Visiter en passant
Un globule de sang
Un neutrone des nues
Nu, le torse nu
Je voudrais qu'on m'inhume
Dans mon plus beau posthume
"Pacifiste inconnu"
Comme le trémail de juillet ......Où luisait le lo…
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La marée, je l'ai dans le cœur
Qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite sœur, de mon enfant et de mon cygne
Un bateau, ça dépend comment
On l'arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament
Des années lumières et j'en laisse
Je suis le fantôme jersey
Celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baiser
Et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet
Où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts de sable de la terre
Rappelle-toi ce chien de mer
Que nous libérions sur parole
Et qui gueule dans le désert
Des goémons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là
Avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps là
Le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas
Et des sprints gagnés sur l'écume
Cette bave des chevaux ras
Au raz des rocs qui se consument
Ö l'ange des plaisirs perdus
Ö rumeurs d'une autre habitude
Mes désirs dès lors ne sont plus
Qu'un chagrin de ma solitude
Et le diable des soirs conquis
Avec ses pâleurs de rescousse
Et le squale des paradis
Dans le milieu mouillé de mousse
Reviens fille verte des fjords
Reviens violon des violonades
Dans le port fanfarent les cors
Pour le retour des camarades
Ö parfum rare des salants
Dans le poivre feu des gerçures
Quand j'allais, géométrisant,
Mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton cul
Poissé dans des draps d'aube fine
Je voyais un vitrail de plus,
Et toi fille verte, mon spleen
Les coquillages figurant
Sous les sunlights cassés liquides
Jouent de la castagnette tant
Qu'on dirait l'Espagne livide
Dieux de granits, ayez pitié
De leur vocation de parure
Quand le couteau vient s'immiscer
Dans leur castagnette figure
Et je voyais ce qu'on pressent
Quand on pressent l'entrevoyure
Entre les persiennes du sang
Et que les globules figurent
Une mathématique bleue,
Sur cette mer jamais étale
D'où me remonte peu à peu
Cette mémoire des étoiles
Cette rumeur qui vient de là
Sous l'arc copain où je m'aveugle
Ces mains qui me font du fla-fla
Ces mains ruminantes qui meuglent
Cette rumeur me suit longtemps
Comme un mendiant sous l'anathème
Comme l'ombre qui perd son temps
À dessiner mon théorème
Et sous mon maquillage roux
S'en vient battre comme une porte
Cette rumeur qui va debout
Dans la rue, aux musiques mortes
C'est fini, la mer, c'est fini
Sur la plage, le sable bêle
Comme des moutons d'infini...
Quand la mer bergère m'appelle
J'ai fait danser tant de malentendus
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On m'a vu dans le Vercors
Sauter à l'élastique
Voleur d'amphores
Au fond des criques
J'ai fait la cour a des murènes
J'ai fais l'amour
J'ai fait le mort
T'etais pas née
A la station balnéaire
tu t'es pas fait prier
J'etais gant de crin, geyser
Pour un peu, je trempais
Histoire d'eau
[Refrain] :
La nuit je mens
Je prends des trains
a travers la plaine
La nuit je mens
Je m'en lave les mains.
J'ai dans les bottes
des montagnes de questions
Ou subsiste encore ton écho
Ou subsiste encore ton écho.
J'ai fait la saison
dans cette boite crânienne
Tes pensées, je les faisais miennes
T'accaparer, seulement t'accaparer
d'estrade en estrade
J'ai fait danser tant de malentendus
Des kilomètres de vie en rose
Un jour au cirque
Un autre a chercher a te plaire
dresseur de loulous
Dynamiteur d'aqueducs
[Refrain]
J'ai dans les bottes
des montagnes de questions
Ou subsiste encore ton écho
Ou subsiste encore ton écho.
On m'a vu dans le Vercors
Sauter à l'élastique
Voleur d'amphores
Au fond des criques
J'ai fait la cour a des murènes
J'ai fais l'amour
J'ai fait le mort
T'etais pas née
La nuit je mens
Je prends des trains a travers la plaine
La nuit je mens Je m'en lave les mains.
J'ai dans les bottes des montagnes de questions
Ou subsiste encore ton écho
Ou subsiste encore ton écho.
la nuit je mens...
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