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Geo
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Découvrez !
Je t'offre
Des bouquets d'fleurs en laine
Des rideaux en papier
Des lustres en porcelaine
Un diamant en osier
Je t'offre
Tout le vent
Le soleil à manger
Et la Terre en argent
Et tout le monde entier
Je t'offre
Le printemps
L'hiver
L'automne
L'été
Je t'offre
Tous les temps
Des secondes
Des années
Je t'offre
Des nuits longues
Longues à se caresser
Des baisers à la demande
Que tu peux commander
Je t'offre
Mes deux bras
Mes jambes
Mon corps entier
Je t'offre
Tout de moi
Tout de la tête aux pieds
Je t'offre
Des petits riens
Des choses bêtes à pleurer
Je t'offre
La Joconde
Rien qu'pour les embêter
Je t'offre
Des matins
Longs à se regarder
Tous mes après-midi
Je vais te les donner
Je t'offre la réponse
A toutes les questions
Des virgules et des points
Et des exclamations
Je t'offre
Tout c'que j'trouve
Des cailloux et de l'eau
Du papier, des crayons
Pour te faire un bateau
Je t'offre
Ton enfance
A revivre quand tu veux
Je t'offre
Ma dernière danse
Pour quand on sera vieux
Apophysis-GeoKris
Le bonheur de perdre du temps
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Découvrez !
Quelques jours ailleurs est-ce que c'est assez ?
Quelques jours meilleurs c'est déjà pas mal
Quelques jours de mieux, ça fait réfléchir
Quelques jours à deux comment te le dire ?
Quelques jours à nous comme on s'imagine
Quelques jours en tout ça fait presque une vie
Quelques jours entiers, quelques jours à part
Quelques jours passés, passés quelque part
Je voudrais retrouver le bonheur de perdre du temps
Devenir maître du vent
Retrouver le temps du bonheur perdu
Retrouver le bonheur de perdre son temps
Comme un vélo dans les champs
Perdu comme un ballon dans la rue
Quelques jours d'été, quelques jours volages
Comme un chat botté partir en voyage
Quelques jours de pluie des après-midi
Quelques jours à deux les yeux dans les yeux
Quelques jours en bas à chercher la mer
Rien que toi et moi comme point de repère
Quelques jours entiers, quelques jours peinards
Quelques jours à pied marcher au hasard
Je voudrais retrouver le bonheur de perdre du temps
Devenir maître du vent
Retrouver le temps du bonheur perdu
Retrouver le bonheur de perdre son temps
Comme un vélo dans les champs
Perdu comme un ballon dans la rue
Quelques jours encore, quelques jours plus forts
Quelques belles journées à se regarder
Quelques jours de neige, deux tours de manège
Quelques heures volées à l'éternité
Quelques jours légers à se mélanger
Quelques jours planqués au fond d'un café
Quelques jours d'enfance à rire aux éclats
Comme ce jour de chance qui ne repassera pas
[Refrain] x2
Je voudrais retrouver le bonheur de perdre du temps
Devenir maître du vent
Retrouver le temps du bonheur perdu
Retrouver le bonheur de perdre son temps
Comme un vélo dans les champs
Perdu comme un ballon dans la rue
Retrouver le bonheur de perdre son temps
Comme un vélo dans les champs
Perdu comme un ballon dans la rue
Poudrée d'or....
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Ah si j'étais riche
diguedadedadedadedadedadedadedaaaah!
ah si j'étais
diguediguedich daydedaydedaydemoi! eh!
adieu la charrette
diguedadedadedadedadedadedadedaaaah!
tous les jour j'ai
diguediguedich daydedaydedaydedaydemoi.
Je bâtirais un vrai palais
montant jusqu'au ciel
sur la place du marché
des murs plantés bien droit
sous un toit doré
un escalier de marbre
un autre tout en bois
l'un pour entrer l'autre pour sortir
et encore un troisième pour la joie
et dans ma cour
des coqs et des poules
toute la ville m'envirait
car ça piaillerait
ça caquetterait
et chaque coicoicoicoi(bruit de poule) rororo(bruit de cochon)
sonnerait comme un vrai coup de clairon
regardez tous admirez ma maison
Ah si j'étais riche
diguedadedadedadedadedadedadedaaaah!
ah si j'étais
diguediguedich daydedaydedaydemoi! eh!
adieu la charrette
diguedadedadedadedadedadedadedaaaah!
tous les jour j'ai
diguediguedich daydedaydedaydedaydemoi.
je vois ici ma gonde? belle comme une bourgeoise
avec un double menton
nous faisons manger tout ce qui lui plait
je la vois se pavanant avec sa robe a traine
au mon dieu! quel dignité!
même quand elle dispute les valets
Les plus grands bonnets de la ville
me fera découverte?
ils me demanderaient conseil
comme un salomone sage
s'il vous plait rabitavié
excusez rabitavié
milles problème à collé
le grand rabbé? boï boï…
que je dise blanc
que je dise noir
il faudra bien me croire
quand tu es riche
tu as toujours raison
si j'étais riche
j'aurais enfin
tout le temps d'aller
prier a la sinagogue
assis au 1er rang
je verrais bien
et je discuterais
la loi avec les anciens
au moins 7 heures par jour
dans la reflexion et dans la mort
Ah si j'étais riche
diguedadedadedadedadedadedadedaaaah!
tous les jours je
diguediguedoum ah si j'étais riche moi! eh!
adieu la charrette
diguedidedaydedaydedaydeday
Dieu qui fît le ciel et les étoiles
est ce que ça t'aurait donné du mal
de changer ton plan phénoménal
et, et me faire riche, moi
Tango Mi Amor
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Découvrez !
Mais qu'est ce que je fous là
Je sombre au fond de toi
Quelle heure est t-il et quel feu me noie
Fait-il noir ou clair, je n'sais pas
Ma peau se colle au rouge de ton sang qui bouge
Et qui coule vers moi
Je danse et je me bats
Et j'enroule mes chevilles autour de toi
Mes jambes se plient
Je contourne tes hanches
Sur mes reins se joue ta revanche
Je prie en vain mais toi tu rie, une soif s'assouvit
Je danse ou je me bats
Je n'sais pas, je n'sais pas
Tango mi amor
Tu me fais mal et mon sort
Est le bien qui me dévore
Quand mon corps se tord
Tango mi amor
Animal ou matador
L'un de nous deux est le plus fort
Quand mon corps se tord
Mais le doute s'installe
Je me sens comme en cavale
La vie me pousse dans la course
Mon corps qui te repousse
Tes gestes me rappellent que tu n'as pas sur moi
Le droit que je te dois, je danse et je me bats
Mais comment dire à qui, à quoi, à qui je suis
Quand de n'appartenir qu'à toi est le défi
Et si je te disais qu'il n'y a pas que toi
Je danse et tu te bats
Je danse et tu te bats
Tango mi amor
Tu me fais mal et mon sort
Est le bien qui me dévore
Quand mon corps se tord
Tango mi amor
Animal ou matador
L'un de nous deux est le plus fort
Tango mi amor
Tango mon corps
Ne t'appartient pas encore
Et si mon âme s'en sort
Mon corps, lui, se tord
Si..................
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Découvrez !
Trop longtemps, cent fois trop longtemps
Que j' suis tout seul
À fumer jusqu'au bout du filtre blanc chaque menthol
À regarder l'océan qui convole
Avec les yachts de ces millionnaires, débonnaires
Qui pissent, le ventre à l'air, dans la mer
{Refrain:}
Si tu suis mon regard, tu verras des doutes
Des gens qui partent tard, tard au bord de la route
Tu verras le soleil qui recule d'un pas
Qui devient vert bouteille et comment c'est chez moi
Trop longtemps, cent fois trop longtemps
Que je suis tout sale
Que j'attends quel que soit le temps qui m'est fatal
Que je regarde le grand mur blanc qui se décale
L'amour est un éphémère glace et verre qui casse
Dès qu'il est triangulaire
{au Refrain}
Si tu suis mon regard, tu verras des plaines
Des taxis et des gares, gares, gare à la migraine
Tu verras tout vermeil, tu verras tout plus bas
Tu liras tout Verlaine, tu rentreras chez moi
Chez moi
Trop longtemps, cent fois trop longtemps
Que j' suis tout seul
Tout seul, tout seul
Trop longtemps, cent fois trop longtemps
Que j' suis tout seul
Tout seul, tout seul, tout seul
Tout seul, tout seul
{au Refrain}
Si tu suis mon regard, tu verras des plaines
Des taxis et des gares, gares, gare à la migraine
Tu verras tout vermeil, tu verras tout plus bas
Tu liras tout Verlaine, tu rentreras chez moi
Chez moi, chez moi, chez moi
Tu verras tout plus bas
Demande moi.....
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Découvrez !
On n’ose pas vraiment se dire
On est timide, on est ainsi fait
Mais je sais que le désir
Il faut aller le chercher
Demande-moi la lune
Demande-moi les clefs
Demande-moi de te suivre
Je te suivrai
Demande-moi le ciel
Demande-moi l’impossible
Demande-moi ton chemin
Je t’aiderai
Demande-moi ce que tu veux
Demande et je passe aux aveux
Demande-moi de me jeter
Dans tes bras, je le ferai
À trop laisser le temps partir
On finit le cœur enfermé
Dans des rêves sans avenir
Avec un goût de tout gâcher
Demande-moi la lune
Demande-moi les clefs
Demande-moi de te suivre
Je te suivrai
Demande-moi le ciel
Demande-moi l’impossible
Demande-moi ton chemin
Inachevé
Demande-moi ce que tu veux
Demande et je passe aux aveux
Demande-moi de me jeter
Dans la vie et je le ferai
Demande-moi la lune
Demande-moi les clefs
Demande-moi de te suivre
Je te suivrai
Demande-moi le ciel
Demande-moi l’impossible
Demande-moi ta route
Je l’éclairerai
Demande-moi ce que tu veux
Demande et je passe aux aveux
Demande-moi de me jeter
Dans tes bras, je le ferai
Je le ferai
Tanto lontana non so se sarai Tanto vicina ascolta…
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Découvrez !
Quando la sera scivolo su di noi
All'uscita della scuola in citta
Ci prendemno per mano e ti dissi
Io ti amo
Quando un bambino ci taglio poi la via
Con un tamburo di latta e una scia
E poi quel suono rimbalzo su di noi
Io ti amo
Il mio rifugio......sei tu
Poi ti stringesti forte insieme a me
Quasi a protegger l'eco dentro di te
Delle prime parole d'amore
Io ti amo
Quando la neve di silenzio imbianco
Tutto quel chiasso al centro della citta
E le nostre parole gelo
Io ti amo
Il mio rifugio...sei tu
Quando l'incanto parla ancora di te
Da un quadro un'alba da cio che
Non c'e
Sorriendo penso ancora di te
Che ti amo
Tanto lontana non so se sarai
Tanto vicina ascoltarmi potrai
Come me nessuno dirti sapra
Io ti amo
Il mio rifugio...sei tu
Je veux ............Où qu'ils aillent Ils sont seu…
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Découvrez !
Celui-là passe toute la nuit
A regarder les étoiles
En pensant qu'au bout du monde
Y a quelqu'un qui pense à lui
Et cette petite fille qui joue
Qui ne veut plus jamais sourire
Et qui voit son père partout
Qui s'est construit un empire
Où qu'ils aillent
Ils sont tristes à la fête
Où qu'ils aillent
Ils sont seuls dans leur tête
{Refrain:}
Je veux chanter pour ceux
Qui sont loin de chez eux
Et qui ont dans leurs yeux
Quelque chose qui fait mal
Qui fait mal
Je veux chanter pour ceux
Qu'on oublie peu à peu
Et qui gardent au fond d'eux
Quelque chose qui fait mal
Qui fait mal
Qui a volé leur histoire
Qui a volé leur mémoire
Qui a piétiné leur vie
Comme on marche sur un miroir
Celui-là voudra des bombes
Celui-là comptera les jours
En alignant des bâtons
Comme les barreaux d'une prison
Où qu'ils aillent
Ils sont tristes à la fête
Où qu'ils aillent
Ils sont seuls dans leur tête
{au Refrain}
Quand je pense à eux
Ça fait mal ça fait mal
Quand je pense à eux
Ça fait mal ça fait mal
Sous les voiles
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Découvrez !
Et si tu crois que j'ai eu peur
C'est faux
Je donne des vacances à mon coeur
Un peu de repos
Et si tu crois que j'ai eu tort
Attends
Respire un peu le souffle d'or
Qui me pousse en avant
Et
Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand voile
Et j'ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant
(Sous le vent)
Et si tu crois que c'est fini
Jamais
C'est juste une pause un répit
Après les dangers
Et si tu crois que je t'oublie
Écoute
Ouvre ton corps aux vents de la nuit
Ferme les yeux
Et
Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand voile
Et j'ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant
(Sous le vent)
Et si tu crois que c'est fini
Jamais
C'est juste une pause un répit
Après les dangers
Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand voile
Et j'ai glissé sous le vent
(j'ai glissé sous le vent)
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant
Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand voile
Et j'ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant
Sous le vent
Sous le vent
Vue sur mer
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!
Deux colombes se font la guerre
Sous la tonnelle bruissement d’ailes
Colombes qui étaient naguère comme des jumelles
Deux oiseaux d’mauvaise augure
Lourds de menaces face contre face
Se lamentent pour un mur se déchirent pour une place
Deux cousins se font la chasse
Visent les yeux dénient les cieux
Deux gamins de la même race du même lieu
Oh pour quel dieu
Pour quel bout de désert
Pour quel lopin de terre
Où vont toutes nos prières
Oh pour quel dieu
Quel amour improbable
Pour quelle vue sur la mer
Un caïn qui tue la chance d’avoir un frère un partenaire
Un abel qui crie vengeance jusqu’à
Souiller sa propre terre
Deux colombes se convoitent un territoire un toit de tôle
Colombes ivres d’indépendance en confondant les rôles
Oh pour quel dieu
Pour quel bout de désert
Pour quel lopin de terre
Où vont toutes nos prières
Oh pour quel dieu
Quel amour improbable
Pour quelle vue sur la mer
Eve
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!
Libérée de ta cage Tu t’es jeté à l’eau
Tes seins voués aux images Tes fesses au ras de l’eau
L’Eden est à la plage offerte sur un plateau
Ton ventre à l’étalage souffle le froid le chaud
Que fais tu ? Que fais tu Eve, dans cette tenue
La bouche cousue
Que fais tu Que fais tu Eve
Si dévêtue le corps perdu
Caché la fève ce n’est pas défendu
Même la vérité n’est jamais aussi nue
Ta petite fleur modèle a perdu les pétales
Et ses échappées belles s’affichent dans les dédales
Dis c’est quoi ton jardin t’es sur de drôles de feuilles
T’a peau n’a plus de grain T as trop fait grincé l’oeil
Que fais tu ? Que fais tu Eve, dans cette tenue
La bouche cousue
Que fais tu Que fais tu Eve
Si dévêtue le corps perdu
Caché la fève ce n’est pas défendu
Même la vérité n’est jamais aussi nue
Tu fais tourner les têtes de tous les contresens
Tu voles ras des pâquerettes dans les plumes de l’enfance
Qui te tire les ficelles quand tu n’ tiens qu’à un fil
Qui soulève tes dentelles de ta chaire à pupille
Que fais tu ? Que fais tu Eve, dans cette tenue
La bouche cousue
Que fais tu Que fais tu Eve
Si dévêtue le corps perdu
Caché la fève ce n’est pas défendu
Même la vérité n’est jamais aussi nue
Explosion
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Découvrez !
Tu te lèves un jour de bonne heure
Tu regardes éclore une fleur
Tout en toi te dit
Qu'elle est belle la vie
Ebouli par tant de splendeur
Qui ne dure qu'un jour
Ou une heure
Tu te dis
Ma vie mais mais qu'est-ce qu'elle vaut ma vie
Un désir d'aimer
Tout à coup t'envahir
Et te donne envie
Envie de t'envoler
S'il fallait donner un nom
A cette sensation
Qui te fait grimper
Jusqu'au sommet du monde
Il n'y aurait pas de mot
Assez grand assez beau
Mais si c'était ça le bonheur
Mais si c'était ça le bonheur
Mais si c'était ça le bonheur
Tout simplement
Tout simplement
Ecoute la chanson de ton coeur
Ta voix s'ouvrira
Comme une fleur
Et tu comprendras
Que chanter c'est ta vie
Et un jour l'amour
Te prendra dans ses bras
Alors tu sauras
Ce qu'elle vaut ta vie
S'il fallait donner un nom
A cette pulsation
Qui te fait chanter
Jusqu'au plus haut des ondes
Il n'y aurait pas de mot
Assez grand assez beau
Mais si c'était ça le bonheur
Mais si c'était ça le bonheur
Mais si c'était ça le bonheur
Tout simplement
S'il fallait donner un nom
A cette sensation
Qui te fait grimper
Jusqu'au sommet du monde
Il n'y aurait pas de mot
Assez grand assez beau
Mais si c'était ça le bonheur
Oui si c'était ça le bonheur
Si c'était ça le bonheur
Tout simplement
Bien installée dans mes chaussons
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Découvrez !
Je n'étais pas très bon élève
Et je suis mauvais citoyen
Mais j'ai ma chambre rue du rêve
Et mon bureau rue des copains
On ne va pas si vous sonnez
Vous dire on a déjà donné
Et l'on attendra rien du tout
Du genre: c'est gentil chez vous
Les mots, on s'en fout.
Le monde me dit marche ou crève
Je marche lorsque je veux bien
Mais j'ai ma chambre rue du rêve
Et mon bureau rue des copains
Tiens prends un verre et assieds-toi
Raconte-nous n'importe quoi
Et chante un truc à rendre fou
Les gens mille étages au-dessous
Les gens, on s'en fout.
Parfois lorsque le jour se lève
J'ai des envies d'aller plus loin
Mais j'ai ma chambre rue du rêve
Et mon bureau rue des copains
Tiens toi la fille qui parlait
De Marylin et de cachets
Joue pas ton rôle jusqu'au bout
Fais l'amour et pleure un bon coup
La mort on s'en fout
Je n'étais pas très bon élève
Et je suis mauvais citoyen
Mais j'ai ma chambre rue du rêve
Et mon bureau rue des copains
Et quelquefois dans mon salon
Bien installé dans mes chaussons
Et seul sans toi, sans lui, sans vous
Je parle à mon miroir trop flou
Je sais qu'il s'en fout.
Vivre c'est s'obstiner à achever un souvenir Mon r…
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Découvrez Soha !
Sous les ventilateurs
Je m’allonge à longueur
De journées allonguies
Que les jardins parfument
Et sous la véranda
Tous les jours à 5h
Ainsi je languis
Dans un élan de souhait
Saoulée par la chaleur
Qui s’étend comme une flamme
Je m’enfonce telle une lame
Dans la mer découpée
Et puis je sors des vagues
À l’âme et sans secousse
Je m’étends alors
Sur du sable allégé
Refrain
Mon rêve à moi
Y’a des jours où je le touche du doigt
Mon rêve à moi
Il m’échappe à chaque fois
Mon rêve à moi
Tellement habile du bout des doigts
Mon rêve à moi
Il m’échappe à chaque fois
Fermer mon compte à la City
Briser le feu de cette hyper activity
Ici ma vie est à moi
Pas de leur fidelity
Et je donnerai à mon île le nom de liberty
Ici ma vie est à moi
Sous les ventilateurs
Je m’allonge à longueur
De journées allonguies
Que les jardins parfument
Et sous la véranda
Tous les jours à 5h
Ainsi je languis
Dans un élan de souhait
Pas âme qui vive
Même pas le vendredi
Et je compte les étoiles
Je les vois toutes ici
Du fond
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!
Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on est fou, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.
Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes
À trop vouloir te regarder,
J'en oubliais les miennes
On rêvait de Venise et de liberté
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
C'est ton sourire qui me l'a dicté.
Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves
Tu viendras toujours du côté
Où le soleil se lève
Et si malgré ça j'arrive à t'oublier
J'aimerais quand même te dire
Tout ce que j'ai pu écrire
Aura longtemps le parfum des regrets.
Mais [Refrain]
Cavalero
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!
Entre-temps, j'ai attrapé une maladie vieille comme l'humanité
et contre laquelle n'existe, à ce jour, aucun remède.
Ceux qui ont été épargnés en sourient, parfois s'en gaussent.
Ils ont tort.
Elle paraît en effet anodine, négligeable, divertissante,
elle est insidieuse, exigeante avant de devenir tyrannique.
Elle ne laisse aucun répit.
Elle n'admet aucun rival.
Elle exige qu'on lui sacrifie beaucoup de temps,
une dispendieuse énergie,
toutes ses économies, son corps et, qui sait, son âme.
À l'instar de certaines religions,
elle promet le paradis après qu'on a bien souffert et qu'on s'est bien effacé.
Elle déteste les paresseux et les lâches.
Elle est effrayante et magnifique.
Il arrive qu'on en meure.
C'est la fièvre du cheval .
Jour après jour, elle me dévore.
J'ai essayé en vain de lutter.
Maintenant, soumis, je me laisse faire.
Je m'applique et m'amuse seulement à la domestiquer.
Je lui cède en selle, elle me poursuit à pied,
jusque dans la grande ville
où elle ne manque jamais une occasion de me narguer et,
si d'aventure je la dédaigne, de me persécuter.
Jerôme Garcin
l'inaccessible étoile
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Découvrez !
L'île en l'eau
l'île en l'eau
moi je voudrais une île
l'île en l'eau
l'île en l'eau
pour y vivre tranquille
J'aime tous les paysages
mais ce que j'aime le mieux
c'est la mer et ses rivages
verts et bleus
je peux vivre au creux des villes
je peux vivre au fond des bois
mais dans mes rêves fragiles
je la vois
...
J'aime déjà tant les plages
que j'y passerais mes jours
une île ça n'a qu'un rivage
tout autour
moi je le voudrais de sable
juste entouré de rochers
et que ça soit agréable
d'y marcher
Même si elle était petite
je m'en arrangerais bien
on pourrait en partant vite
le matin
en y passant la journée
promenade sans détour
l'avoir à la nuit tombée
fait le tour
Ce n'est pas que m'exaspère
les paroles et les voix
mais il faut aussi se taire
quelquefois
et sans prendre l'habitude
de se réfugier si loin
rien qu'un peu de solitude
fait du bien
on me dit bien que les îles
ne sont plus des paradis
et qu'on les transforme en villes
elles aussi
ça n'empêche pas mon rêve
d'aller voltiger là-haut
de m'offrir dans une trêve
l'île en l'eau
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