Ou ..........d'ailleurs
On va dire.................... que tu dors
Un peu de sport .
Je vole .
Au fil d’une rue de Gianyar . Bali
Un petit tour à la ferme
Papa ...c'est encore loin ?
Si vous avez besoin, appelez-moi et je viendrai. M…
A La Clairière .
Je viens ....
Non là je n'ai pas craqué et pourtant le petit noi…
Grenier
Ciel floconneux du matin
Un monstre !!!
Vers les années 1932 Ma mère ..
Vers les années 1932 Ma mère ..
Je connais la transparence de tes silences
Vers Santa Cruz de Tenerife ,un soir
Bien au delà de mon budget...
Il vaut mieux être synchro.
Oh Hisse …
OUI….
Hey hombre .....................
Vaut mieux bien se caler dans les bus .........
Jembrana Bali
Jembrana Bali
Il pleut..
Qu’on est bien …là .
Autre curiosité de ce jardin extraordinaire...
Vue sur le port de la Ciotat
Pas belle la vie ?
Fleurs d’artichaut
Petite récolte .
Une Pinkie bien propre .
Banc et verdure
Petit banc charmant .
Une Minette sur un puit ….
Un peu de fraîcheur à Marseille
Au pied…Leo …
Ciel , d’après le déluge .
My Jo …Je t'avais averti.....ça frappe lol
Petites chaussures en fil de cuivre
Helsinski les halles
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Rigolez pas mes camarades .


youtu.be/tBbECOX2nXo
Il y a dans l'air que l'on respire
Comme une odeur comme un malaise.
Tous les rats s'apprêtent à partir.
Ne vois-tu rien de ta falaise ?
Il y a dans les studios-délires
Comme un vieux son de Carmagnole.
Sœur Anne, si tu n'vois rien venir,
Ou tu es sourde, ou tu es folle.
Il y a dans les années qui viennent
Comme un retour au vent d'histoire,
Un vieux partisan dans la plaine,
Croissant de lune et drapeau noir.
Le vent ne sait plus où il souffle.
Ça tourbillonne ça rend colère,
Le cul posé entre deux gouffres
Beaucoup plus profonds que la mer.
Rigolez pas, mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
Rigolez, pas mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
J'ai des voyages en cavalcades,
Billet d'avion, chemin de fer.
Je sens monter des barricades
Comme des cailloux dans mes artères.
Je tourne en rond dans ma caverne,
Moitié furieux, moitié soumis
Avec en prime à ma lanterne
Une tristesse indéfinie.
Rigolez, pas mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
Rigolez, pas mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
A la fin des journées qui passent,
Quand on est seul, quand ça va mieux,
Lorsqu'on remet nos rêves en place,
Qu'on s'imagine vingt ans plus vieux,
Quels sont les hommes qui pourront dire :
"On a fait ce qu'on a voulu." ?
Sœur Anne, si tu n'vois rien venir,
C'est plus la peine : on est foutus.
Rigolez, pas mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
Source : LyricFind
Paroliers : Pierre Delanoe / Jacques Abel Jules Revaud / Michel Charles Sardou
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Il y a dans l'air que l'on respire
Comme une odeur comme un malaise.
Tous les rats s'apprêtent à partir.
Ne vois-tu rien de ta falaise ?
Il y a dans les studios-délires
Comme un vieux son de Carmagnole.
Sœur Anne, si tu n'vois rien venir,
Ou tu es sourde, ou tu es folle.
Il y a dans les années qui viennent
Comme un retour au vent d'histoire,
Un vieux partisan dans la plaine,
Croissant de lune et drapeau noir.
Le vent ne sait plus où il souffle.
Ça tourbillonne ça rend colère,
Le cul posé entre deux gouffres
Beaucoup plus profonds que la mer.
Rigolez pas, mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
Rigolez, pas mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
J'ai des voyages en cavalcades,
Billet d'avion, chemin de fer.
Je sens monter des barricades
Comme des cailloux dans mes artères.
Je tourne en rond dans ma caverne,
Moitié furieux, moitié soumis
Avec en prime à ma lanterne
Une tristesse indéfinie.
Rigolez, pas mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
Rigolez, pas mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
A la fin des journées qui passent,
Quand on est seul, quand ça va mieux,
Lorsqu'on remet nos rêves en place,
Qu'on s'imagine vingt ans plus vieux,
Quels sont les hommes qui pourront dire :
"On a fait ce qu'on a voulu." ?
Sœur Anne, si tu n'vois rien venir,
C'est plus la peine : on est foutus.
Rigolez, pas mes camarades.
La débandade,
C'est pour demain.
Source : LyricFind
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