Ces parfums d'autrefois ........que je garde en se…
Attente au Capitole
Toulouse ...place de l'Estrapade
Ciel toulousain
BLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL............E
Envie de tourner.la page...... Sables mouvants, ma…
Comme un court printemps qui s'achève
Et je danse
Comme une porte .........pour descendre en haut
Et puis après ...............Je n'en sais rien....…
Dans la glace ...le feu
Ce rêve auquel tu crois, Dis qu'en restera t-il-
Fleurs de mains
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Pour avoir vu, sombre et cruelle ........Fâner ces…
blues
C'est la fin de la fin du monde......... Même si ç…
Petit coin à légumes
Quando l'incanto parla ancora di te Da............…
Somos dois gritos calados,
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Extrait des "Poèmes saturniens"
D’autres, - des innocents ou bien des lymphatiques, -
Ne trouvent dans les bois que charmes langoureux,
Souffles frais et parfums tièdes. Ils sont heureux !
D’autres s’y sentent pris – rêveurs – d’effrois mystiques.
Ils sont heureux ! Pour moi, nerveux, et qu’un remords
Epouvantable et vague affole sans relâche,
Par les forêts je tremble à la façon d’un lâche
Qui craindrait une embûche ou qui verrait des morts.
Ces grands rameaux jamais apaisés, comme l’onde,
D’où tombe un noir silence avec une ombre encor
Plus noire, tout ce norme et sinistre décor
Me remplit d’une horreur triviale et profonde.
Surtout les soirs d’été : la rougeur du couchant
Se fond dans le gris bleu des brumes qu’elle teinte
D’incendie et de sang ; et l’angélus qui tinte
Au lointain semble un cri plaintif se rapprochant.
Le vent se lève chaud et lourd, un frisson passe
Et repasse, toujours plus fort, dans l’épaisseur
Toujours plus sombre des hauts chênes, obsesseur,
Et s’éparpille, ainsi qu’un miasme, dans l’espace.
La nuit vient. Le hibou s’envole. C’est l’instant
Où l’on songe aux récits des aïeules naïves…
Sous un fourré, là-bas, des sources vives
Font un bruit d’assassins postés se concertant.
Paul Verlaine..
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