Allumons la flamme !!!!
Moment de tendresse en haut du Mâchu Picchu
Le loup du Gévaudan a Saugues
Le loup du Gevaudan
De grandes dents
Un soir a Arequipa Pérou
Entrer dans la lumière
Qu’y a-t-il dans cette boîte?” “La souffrance.”
Je veux être vieille !
Zut ...un roseau .....au moment où il décolle ...…
Nessie)))
Si tu le dis !
Vide grenier à Espezel
Minette
Le chant du Vermisseau
Vermisseau psychédélique
Ce matin en buvant mon café
Fleurs de basilic
Prudence , ne nous approchons pas plus !
1989: Bonur Blu de l'Ivresse de la foulée 3ans
Pyramide de Djeser à Saqqarah
Sphinx de Memphis
l'Agora à Izmir
Ce que je fais le mieux Mdr!!!! Les souvenirs !!!
Plage avec requins à Hong kong
Rencontre sur le chemin de Compostelle
Toujours vers Compostelle
En route …pluie et vent
On s’amuse bien sur le Chemin de Compostelle
Sous la pluie vers Compostelle
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Pour Compostelle , prenez à droite
Premier pas vers Compostelle
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Je prendrai à tous les sourciers Leurs baguettes de coudrier Pour aller retrouver ma source


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Plus on approche de l'estuaire
Plus on se souvient du ruisseau
Qui, à peine sorti de terre,
Ignore tout des grandes eaux
Qu'on ait cheminé sans histoires
Ou coulé comme un sauvageon
Tous on voudrait, comme la Loire,
Revoir son mont Gerbier-De-Jonc
Je prendrai à tous les sourciers
Leurs baguettes de coudrier
Pour aller retrouver ma source
Là, je pourrai m'ensommeiller
Comme s'arrêtent de veiller
Les vieilles louves et les ourses
Lorsque j'ai glissé de ma mère
Après qu'elle eût perdu les eaux
Entre un fleuve et une rivière
On posa mon premier berceau
Et ce fut ma première ville
Entre ses jambes j'ai dormi
Si je fis des rêves fertiles
Il m'en vient encore aujourd'hui
De tout ce qui nous prédestine
On ne sait pas le moindre mot
Ni pourquoi, toujours, je m'obstine
À suivre les chemins de l'eau
J'ai bu à toutes les fontaines
Me suis penchée sur tant de puits
Que mon image est incertaine
Je la cherche encore aujourd'hui
J'ai passé des heures entières
À jeter des pierres dans l'eau
À patauger dans des rivières
Ou les pieds dans le caniveau
Mais les vagues, toujours, s'étalent
Et les cailloux tombent au fond
Toujours, les grenouilles détalent
Et les beaux reflets se défont
Je veux puiser dans mes richesses
Comme à la citerne le seau
Ne craignez pas la sécheresse
Il me reste encore de l'eau
Que dans ma voix elle ruisselle
Qu'elle chemine à ciel ouvert
Et tant qu'elle se renouvelle
On repoussera le désert
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Plus on approche de l'estuaire
Plus on se souvient du ruisseau
Qui, à peine sorti de terre,
Ignore tout des grandes eaux
Qu'on ait cheminé sans histoires
Ou coulé comme un sauvageon
Tous on voudrait, comme la Loire,
Revoir son mont Gerbier-De-Jonc
Je prendrai à tous les sourciers
Leurs baguettes de coudrier
Pour aller retrouver ma source
Là, je pourrai m'ensommeiller
Comme s'arrêtent de veiller
Les vieilles louves et les ourses
Lorsque j'ai glissé de ma mère
Après qu'elle eût perdu les eaux
Entre un fleuve et une rivière
On posa mon premier berceau
Et ce fut ma première ville
Entre ses jambes j'ai dormi
Si je fis des rêves fertiles
Il m'en vient encore aujourd'hui
De tout ce qui nous prédestine
On ne sait pas le moindre mot
Ni pourquoi, toujours, je m'obstine
À suivre les chemins de l'eau
J'ai bu à toutes les fontaines
Me suis penchée sur tant de puits
Que mon image est incertaine
Je la cherche encore aujourd'hui
J'ai passé des heures entières
À jeter des pierres dans l'eau
À patauger dans des rivières
Ou les pieds dans le caniveau
Mais les vagues, toujours, s'étalent
Et les cailloux tombent au fond
Toujours, les grenouilles détalent
Et les beaux reflets se défont
Je veux puiser dans mes richesses
Comme à la citerne le seau
Ne craignez pas la sécheresse
Il me reste encore de l'eau
Que dans ma voix elle ruisselle
Qu'elle chemine à ciel ouvert
Et tant qu'elle se renouvelle
On repoussera le désert
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