Cachette pour un brin de tendresse .
Lèvres d'ange.
Un baisé sauté du bouquet.
Coeur poudré pour un petit dieu.
Fragments d'azur.
Goutte d'un ciel d'été...
Comme une source jaillissante...
Message bleu dans un champ de lumière.
Broyer du bleu.
Dessin de MUCHA
Signe
Ephémère aquarelle.
Rien ,une trace .
Méli-Mélo
Invitation....
La mouche et la rose.
À chacun son chemin ...
À deux pas de chez moi .
Chemin d'eau.
Chant d'eau vive
Larmes dans le pré
Pause...Méridienne
IMG 0150
De lumière et d'ombre
Rien ou si peu pour souvenance.
Dernières larmes.
Le lien rompu .
Lignes de vie
Hommage à un géant.
Broussaille
Pour parfumer votre jeudi.........
Rive verte....
Dans la prairie.
Croiser la lumière d'un printemps.
Prairie habillée en plumetis.
Chimère ...Ma belle parle-nous des secrets de l'en…
Objet mémoire d'exilé .
Reflets d'atelier .
Le confiseur ... confiné .
L'oiseau de feu.
Voyage au coeur.. .
Duo
Juste ........Le parfum offert
1er. Mai 2020
Une capucine au soleil ...
See also...
Authorizations, license
-
Visible by: Everyone -
All rights reserved
-
150 visits
Monsieur le forestier,


Vous finissiez de couper des arbres.
C'était votre travail .
Vous alliez partir....
Un merle s'est miss à chanter.
Il était invisible mais l'entendre était le voir à son maximum.
Il buvait l'univers.
J'allais sur ce chemin de campagne avec ma vie au fond de ma poche .
J'en reviens au début disait le merle.
La soûlante odeur du bois coupé disait la même chose.
Toute blessure franche, tout air d'opéra risqué par un oiseau et toute parole assez dense pour mériter le nom de poème font douter la mort d'elle-même.
Je suis passé devant vous, j'ai fait quelques pas puis je suis revenu vous remercier pour le parfum multiplié, l'odeur sainte qui doucement montait au ciel.....
Christian Bobin. Un bruit de balançoire.
Translate into English
C'était votre travail .
Vous alliez partir....
Un merle s'est miss à chanter.
Il était invisible mais l'entendre était le voir à son maximum.
Il buvait l'univers.
J'allais sur ce chemin de campagne avec ma vie au fond de ma poche .
J'en reviens au début disait le merle.
La soûlante odeur du bois coupé disait la même chose.
Toute blessure franche, tout air d'opéra risqué par un oiseau et toute parole assez dense pour mériter le nom de poème font douter la mort d'elle-même.
Je suis passé devant vous, j'ai fait quelques pas puis je suis revenu vous remercier pour le parfum multiplié, l'odeur sainte qui doucement montait au ciel.....
Christian Bobin. Un bruit de balançoire.
Nouchetdu38, Peter G, Danielle, Aschi "Freestone" and 6 other people have particularly liked this photo
- Keyboard shortcuts:
Jump to top
RSS feed- Latest comments - Subscribe to the comment feeds of this photo
- ipernity © 2007-2025
- Help & Contact
|
Club news
|
About ipernity
|
History |
ipernity Club & Prices |
Guide of good conduct
Donate | Group guidelines | Privacy policy | Terms of use | Statutes | In memoria -
Facebook
Twitter
Sign-in to write a comment.