ESPELETTE. (2).
ESPELETTE. (3).
Côte Basque.
La ou le feu passe...
Scène pastorale.
Château d'Abbadia.
Plage d' Hendaye.
Hasparen.
La passante.
Quiétude.
Saint Etienne de Baigorry.
La Bastide Clairence.
Eglise Notre dame.
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Un peu de sérénité dans ce monde sauvage.
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ESPELETTE.


Le village d’Espelette est réputé principalement pour son piment. Et il est vrai qu’il est présent à chaque coin de rue ou sur chaque façade de maison.
Pour trouver des traces de ce piment, il faut partir direction le Mexique. Les explorateurs ont certainement ramené le piment dans leurs cales mais on ne sait pas comment il est ensuite arrivé à Espelette.
Il apparaît à partir de 1650.
A l’origine, il était cultivé pour remplacer le poivre devenu très cher à l’époque. Il était déjà utilisé comme assaisonnement et pour conserver les viandes et jambons.
Autrefois, ils étaient plantés à partir du mois de mai et peut être récoltés d'août à décembre. A la fin de l’été, les piments étaient alors enfilés sur une corde et mis à sécher contre les façades des maisons. Une fois secs, les piments étaient placés dans le four à pain pour les rendre bien craquants. Ils étaient ensuite pilonnés pour les transformer en poudre.
Ce savoir-faire a traversé les années de génération en génération et n’a pas changé même si aujourd'hui, peu de producteurs font toujours sécher les piments sur les façades des maisons.
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Pour trouver des traces de ce piment, il faut partir direction le Mexique. Les explorateurs ont certainement ramené le piment dans leurs cales mais on ne sait pas comment il est ensuite arrivé à Espelette.
Il apparaît à partir de 1650.
A l’origine, il était cultivé pour remplacer le poivre devenu très cher à l’époque. Il était déjà utilisé comme assaisonnement et pour conserver les viandes et jambons.
Autrefois, ils étaient plantés à partir du mois de mai et peut être récoltés d'août à décembre. A la fin de l’été, les piments étaient alors enfilés sur une corde et mis à sécher contre les façades des maisons. Une fois secs, les piments étaient placés dans le four à pain pour les rendre bien craquants. Ils étaient ensuite pilonnés pour les transformer en poudre.
Ce savoir-faire a traversé les années de génération en génération et n’a pas changé même si aujourd'hui, peu de producteurs font toujours sécher les piments sur les façades des maisons.
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The house is really beautiful too. Very well captured Jean-louis.
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