mais que fait il ici ,, celui la
il était une fois, l'été
en soldes
c'est mordant non,
allo la terre,,
a v'te santé
c'est la fête
me recevez vous
LOVELY DAY
LOVELY DAY
soleil d'hiver,
ce soir au coucher du soleil
quand la musique est bonne
l'innocence,
concentration
le bleu revient ce soir,
un coeur en hiver ƹ̵̡ӝ̵̨̄ʒ
la tempête FIONN arrive,
Toujours la mer nous unira
ca tanguait pas mal en mer,
traces de mer,
ƹ̵̡ӝ̵̨̄ʒ ƹ̵̡ӝ̵̨̄ʒ ƹ̵̡ӝ̵̨̄ʒ ƹ̵̡ӝ̵̨̄ʒ
en attendant des jours meilleurs
le grand bleu
la jeune fille et la mer,
la sensualité des mains,
les mains,, tout un langage,
reves de plage,, reves d'été
ciel d'hiver,
lever du soleil
jeu de piste
le soleil descend,
au port de commerce LORIENT (56)
rade de LORIENT,
ile de Groix à l'horizon,
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comme un rêve


Le visage de ceux qu’on n’aime pas encore
Apparaît quelquefois aux fenêtres des rêves
Et va s’illuminant sur de pâles décors
Dans un argentement de lune qui se lève.
Il flotte du divin aux grâces de leur corps
Leur regard est intense et leur bouche attentive ;
Il semble qu’ils aient vu les jardins de la mort
Et que plus rien en eux de réel ne survive.
La furtive douceur de leur avènement
Enjôle nos désirs à leurs vouloirs propices,
Nous pressentons en eux d’impérieux amants
Venus pour nous afin que le sort s’accomplisse
Ils ont des gestes lents, doux et silencieux,
Notre vie uniment vers leur attente afflue :
Il semble que les corps s’unissent par les yeux
Et que les âmes sont des pages qu’on a lues.
Le mystère s’exalte aux sourdines des voix,
À l’énigme des yeux, au trouble du sourire,
À la grande pitié qui nous vient quelquefois
De leur regard, qui s’imprécise et se retire...
Ce sont des frôlements dont on ne peut guérir,
Où l’on se sent le coeur trop las pour se défendre,
Où l’âme est triste ainsi qu’au moment de mourir ;
Ce sont des unions lamentables et tendres...
Et ceux-là resteront, quand le rêve aura fui,
Mystérieusement les élus du mensonge,
Ceux à qui nous aurons, dans le secret des nuits,
Offert nos lèvres d'ombre, ouvert nos bras de songe.
Anna de Noailles (1873-1933)
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Apparaît quelquefois aux fenêtres des rêves
Et va s’illuminant sur de pâles décors
Dans un argentement de lune qui se lève.
Il flotte du divin aux grâces de leur corps
Leur regard est intense et leur bouche attentive ;
Il semble qu’ils aient vu les jardins de la mort
Et que plus rien en eux de réel ne survive.
La furtive douceur de leur avènement
Enjôle nos désirs à leurs vouloirs propices,
Nous pressentons en eux d’impérieux amants
Venus pour nous afin que le sort s’accomplisse
Ils ont des gestes lents, doux et silencieux,
Notre vie uniment vers leur attente afflue :
Il semble que les corps s’unissent par les yeux
Et que les âmes sont des pages qu’on a lues.
Le mystère s’exalte aux sourdines des voix,
À l’énigme des yeux, au trouble du sourire,
À la grande pitié qui nous vient quelquefois
De leur regard, qui s’imprécise et se retire...
Ce sont des frôlements dont on ne peut guérir,
Où l’on se sent le coeur trop las pour se défendre,
Où l’âme est triste ainsi qu’au moment de mourir ;
Ce sont des unions lamentables et tendres...
Et ceux-là resteront, quand le rêve aura fui,
Mystérieusement les élus du mensonge,
Ceux à qui nous aurons, dans le secret des nuits,
Offert nos lèvres d'ombre, ouvert nos bras de songe.
Anna de Noailles (1873-1933)
, HelenaPF en pause, .t.a.o.n., Lebojo and 2 other people have particularly liked this photo
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