c'était la FETE,,
Chapeau bas à nos MARINS
gabiers d'artimon et Marins d'Iroise
LES GABIERS d'ARTIMON ,,,
Marins d'IROISE
NOS GABIERS d'ARTIMON
un Marin d'Iroise et un Gabier tout un programme
LES MARINS D'IROISE
ca valse aussi les Marins
a la barre
la ville la nuit
cité de la voile
la base
une ville la nuit
le soleil se couche
tranquillité du soir
soleil d'hiver sur la mer,,
élégante dame
soir de fête
le port en fête
automne
couleurs automne
mouette et cormoran en harmonie
matin sur le port
la Trinité sur Mer
repos
Locronan - Eglise de SAINT RONAN et la Chapelle DU…
See also...
Authorizations, license
-
Visible by: Everyone -
All rights reserved
-
223 visits
MARINS D'IROISE la complainte de Louis Marie Jossic


>
Comme un goéland seul dans la tempête
Mon cœur va contre le vent
N’oun pe drouk enni soskoet
Pa’m eus taolet troad aman
Je ne sais quel mal m’a frappé
Lorsque j’ai mos les pieds ici.
Le savais-tu, pauvre Louis-Marie
En t’engageant pour cinq ans ?
C’est pour noyer malheurs et soucis
Qu’un marin chante son chant.
Hé-hé-oh…
Jeune apprenti à hisser la misaine,
Je n’ai que peine à peine encore.
Ma daeroù takeen
A gouezh goustadik er mor.
Mes larmes goutte à goutte
Tombent lentement dans la mer
A Brest à bord de la Bretagne,
Qu’on dit être un bagne flottant,
Il n’est que coups, maladie et drame,
Et mépris du commandant.
Hé-hé-oh…
Dites à mes sœurs, dites à mes deux frères,
Toujours mon cœur reste à Lavau ;
Ne dites rien à mon père, ma mère
Sur le sort des matelots.
Hé-hé-oh…
Translate into English
Comme un goéland seul dans la tempête
Mon cœur va contre le vent
N’oun pe drouk enni soskoet
Pa’m eus taolet troad aman
Je ne sais quel mal m’a frappé
Lorsque j’ai mos les pieds ici.
Le savais-tu, pauvre Louis-Marie
En t’engageant pour cinq ans ?
C’est pour noyer malheurs et soucis
Qu’un marin chante son chant.
Hé-hé-oh…
Jeune apprenti à hisser la misaine,
Je n’ai que peine à peine encore.
Ma daeroù takeen
A gouezh goustadik er mor.
Mes larmes goutte à goutte
Tombent lentement dans la mer
A Brest à bord de la Bretagne,
Qu’on dit être un bagne flottant,
Il n’est que coups, maladie et drame,
Et mépris du commandant.
Hé-hé-oh…
Dites à mes sœurs, dites à mes deux frères,
Toujours mon cœur reste à Lavau ;
Ne dites rien à mon père, ma mère
Sur le sort des matelots.
Hé-hé-oh…
- Keyboard shortcuts:
Jump to top
RSS feed- Latest comments - Subscribe to the comment feeds of this photo
- ipernity © 2007-2025
- Help & Contact
|
Club news
|
About ipernity
|
History |
ipernity Club & Prices |
Guide of good conduct
Donate | Group guidelines | Privacy policy | Terms of use | Statutes | In memoria -
Facebook
Twitter
Sign-in to write a comment.