
Coléoptères ( petits)
Le Criocéris duodecimpunctata...
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... une autre espèce de criocère qui vit aussi sur l'asperge, le criocère à 12 points. Ce dernier est sensiblement plus gros et trapu qu'asparagi mais moins répandu et tout aussi nuisible. Les 2 espèces ont une biologie très comparable et qu'ils peuvent parfaitement cohabiter.
Criocéris asparagi...
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... tout juste 6 mm de long pour l'adulte, le criocère de l'asperge est si petit qu'il faut vraiment regarder de près pour percevoir la joliesse de l'ornement et de ces couleurs.
Le criocère est un coléoptère, un insecte phytophage par excellence (mangeur de végétaux). Cette chrysomèle est inféodée aux asperges.
La bestiole est apte au vol ce qui facilite la propagation et elle a tendance à se laisser tomber à la moindre alerte quand elle se sent menacée, système de défense fréquent chez les chrysomèles. L'espèce présente 3 taches blanches plus où moins distinctes. Ils hivernent dans le sol.
Merci d'être présent ici aujourd'hui, je vous souhaite une bonne journée.
Amitiés. Jocelyne.
minuscule... 5mm, le Cryptocephalus vittatus
Criocére du lis...
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.... le crioceris lilii, appelé communément le criocère du lis est un petit coléoptère de 7 à 8 mm adulte, appartenant à la grande famille des Chrysomélidae, laquelle comporte plus de 650 espèces pour la seule faune française métropolitaine. L'ennemi des lis, il transforme les les feuilles en dentelle et les boutons floraux en passoire !
Sur un bouton de pivoine hier que je surveille de près, apparemment ce n'est pas de son goût !!!
Merci de votre visite, passez une bonne journée.
une carosserie bien astiquée...
forcément le printemps...
les envahisseurs...
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... je n'ai aucune idée du nom de ces petites bestioles, peut-être le connaissez-vous ? merci d'avance. Bonne journée à toutes et tous.
top départ...
je m'accroche !
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on aime... on partage !
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Cryptocéphale sp
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... de 4 à 6 mm, on le voit de mai à août, les nombreuses espèces de ce genre chrysomélidés paraissent un peu bossues, car le pronotum est arqué vers l'avant et qui cache en partie la tête.
Les bords extérieurs des ailes sont parallèles.
Parmi la soixantaine d'espèces indigènes,caractérisées par de grandes différences de couleurs et de dessins. Cependant, plusieurs ont une même coloration vert doré métallisé et sont très difficile à distinguer.
Les adultes se tiennent sur les fleurs dont ils se laissent tomber au moindre dérangement. Les larves vivent au sol, dans des tas de crottes, et se nourrissent de parties de plantes en décomposition.
Méligéthe et Dame Jonquille annoncent le printemp…
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... petit coléoptère de 1,5 à 2,5 mm de long de forme ovale, à la cuticule noire brillante à reflets métallique verts ou bleus.
En consommant le pollen, les adultes détruisent les petits boutons floraux et perforent les plus gros. Les méligèthes provoquent des dégâts considérables dans les colzas.
Petit... on joue un peu !
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Oedémère noble au corps fin est vert brillant. Ses ailes sont très amincies et écartées l'une de l'autre à leur extrémité, ce qui fait que les ailes postérieures membraneuses sont particulièrement visibles.
Le mâle a les fémurs des pattes postérieures exceptionnellement gros.
Chez la femelle, ils sont normaux. On trouve régulièrement cette espèce sur les fleurs, où elle mange du pollen.
Visible de mai à août mesure de 8 à 11 mm ici avec un Méligète qui mesure environ 2 mm.
Ses larves dans les tiges de différentes herbes.
Oeufs de Chrysomèles du peuplier (3)
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La ponte suit l'accouplement (répété et prolongé) et peut représenter plusieurs centaines d'oeufs.
Ces derniers sont déposés sous les feuilles de la plante nourricière, ce qui est d'usage chez les insectes et ils le sont par lots comprenant une cinquantaine d'unité.
La coloration des pontes varie de l'orange au brun, les fraiches étant généralement un peu plus claires.
Larves de Chrysomèles du peuplier (2)
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Les larves atteignent 12 à 15mm de longueur, elles sont le plus souvent blanches à l'exception des protubérances qui elles restent noires. A noter que ces formations coniques de prime abord ornementales sont en fait sécrétrices (y compris chez les jeunes larves) car en cas d'agression ou d'inquiétude elles laissent sourdre des gouttelettes poisseuses à caractère manifestement défensif.
Chrysomèle du peuplier (1)
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La Chrysomèle du peuplier ou Mélasome ou encore Lina est une espèce d'insecte coléoptère phytophage de la famille des chrysomélidés.
Grande chrysomèle au corps de 10 à 12mm. Le prothorax est presque noir, les élytres sont de couleur orangé à rouge vif.
La femelle est légèrement plus grande que le mâle. Les chrysomèle vivent essentiellement sur les feuilles de trembles et de saules Marsault. L'adulte est visible d'avril à septembre.
Ponte de lot d'une cinquantaine d'oeufs brun-orangé sous les feuilles.
Les adultes émergent après 15 jours de nymphose.
En cas de danger. l'espèce émet un liquide nauséabond à base d'acide salicylique.
Petite gourmande !
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La Cétoine grise est une espèce de coléoptère de la famille des Cétonidés.
Les adultes apparaissent au début du printemps et peuvent être rencontrés de mai à juillet.. Ils mesurent de 10 à 15 mm, leur vol fait un bruit semblable à celui de l'abeille.
Leur couleur est noire avec des points blancs sur le pronotum et sur les élytres.
Rhopalapion longirostre
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L'apion des roses trémières (Rhopalapion longirostre) est une espèce d'insectes coléoptère de la famille des Apionidae. Il appartient à la vaste super-famille des Curculionoidea qui compte plus de 60 000 espèces, dont 1500 en France.
Le couple uni est plus petit que le bout phosphoré d'une allumette, et il faut bien regarder pour l'apercevoir sur les boutons ou les feuilles des roses trémières (Alcea rosea). La femelle porte un rostre aussi long que son corps, tandis que celui du mâle est un peu plus court. L'extrémité du rostre porte les pièces buccales.
Inconnu en France dans les années 1970, cet apion était largement répandu en Asie Mineure, au Moyen-Orient et en Amérique du Nord. Il a été repéré pour la première fois en France en 1982, dans l'Ardèche et en quelques années il a envahi le pays tout entier.
L'insecte pond en juin-juillet, les jeunes larves se développent pendant environ un mois dans les graines.
Sauf pullulation très importante, il ne semble pas que l'invasion de ce petit coléoptère mette véritablement les roses trémières en danger, étant donné le nombre élevé de graines que celles-ci produisent sur chaque pied. Cependant les dégâts sont facilement visibles, sous la forme des trous par lesquels sortent les jeunes insectes.
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