Au choix
Cheveux longs vs matraques
Chaaaaaaargez !!!
L'affrontement
Pas bon pour les voies respiratoires, papy !
Black bloc 1976
Rue et prison de la Santé
Le jeune qui avait son casque de travers
La prise de la Bastille
Contre-manifestation
Les beaux gosses d'extrême droite
Tout vient à point
Radar
Les lampadaires font des ombres
Promenade au bord du bassin de La Villette par une…
Entre deux reflets
Beaudet du Poitou (à gauche ! :-))
Âne du Cotentin (détail)
Âne des Pyrénées
Âne corse
Portrait d'un Comtois
Portrait d'un Breton
Portrait d'un Trait Auxois
Sorbonne en grève
Les étudiants défilent, le patronat observe...
Le torchon brûle
Négociation
C'est moins risqué en hauteur !
Face à face
_
Prêts pour l'affrontement
En lutte
Le problème n'est pas si simple
Rue du Cherche-Midi à 16 heures
Rue du Bac
Les tables de La Table
Le comptoir aux poires à parfums
Robes légères pour femmes chauves
_
Une "spéciale Léopold"
Rayon lainage
Clientèle chic
Inspiration exotique
Photographier le "plafond"
La hutte de Subodh Gupta
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Les uns défendent leurs idées, les autres obéissent


Nous sommes boulevard Raspail, au pied de l'hôtel Lutecia*****.
Avant d'être interrompu par un gradé, j'ai eu le temps de parler à un gendarme.
Je lui expliquais que ces jeunes n'étaient pas des "méchants", juste des étudiants pacifiques qui seront un jour médecins, ingénieurs ou, pourquoi pas, ministres.
Mais l'ordre de dégager la place a été donnée. Pourquoi ? Parce que c'est comme ça, faut pas chercher à comprendre !
Quelques minutes plus tard, il ne restait plus personne, juste des pancartes et des chaussures perdues dans la fuite. Je retrouve "mon" gendarme qui me dit "Vous savez que vous avez peut-être raison !"
J'avais fait réfléchir un représentant de "l'autorité"... J'étais assez fier de moi !!!
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Avant d'être interrompu par un gradé, j'ai eu le temps de parler à un gendarme.
Je lui expliquais que ces jeunes n'étaient pas des "méchants", juste des étudiants pacifiques qui seront un jour médecins, ingénieurs ou, pourquoi pas, ministres.
Mais l'ordre de dégager la place a été donnée. Pourquoi ? Parce que c'est comme ça, faut pas chercher à comprendre !
Quelques minutes plus tard, il ne restait plus personne, juste des pancartes et des chaussures perdues dans la fuite. Je retrouve "mon" gendarme qui me dit "Vous savez que vous avez peut-être raison !"
J'avais fait réfléchir un représentant de "l'autorité"... J'étais assez fier de moi !!!
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Même si je te l'accorde, la comparaison est osée et pas très honnête de ma part, les SS aimaient tendrement leurs bergers allemands ;-))
Je dis ça, mais à force de les fréquenter, j'ai beaucoup de copains qui sont flics, actifs et retraités...
J'ai été étonné à l'époque de n'avoir eu aucun soucis avec la police lors de ces manifestations alors que j'avais tout du gauchiste de service (cheveux longs, jean, parka). Avoir un appareil photo devait rassurer ces braves gens (d'armes).
En revanche, je me suis fait contrôler une dizaine de fois dans le métro pour les mêmes raisons !
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