Je me demande parfois à quoi me sert d’écrire,
A qui, pourquoi, enfin, dévoiler mes pensées,
Mes rêves, mes souffrances ou mes joyeux délires
Si ceux qui les lisent ne savent plus rêver.
Je ne puis vivre sans aimer et être aimée
Comme un peintre attaché à ses pinceaux,
Un gai violoneux concentré sur son archet,
Je rêve de baisers et de tendre renouveau.
Une rose entre mes doigts, senteur enveloppante
De prémices d’amour aux aubes naissantes,
Je viens, front levé, retrouver mon bien-aimé
Car mon monde c’est lui et sa parole donnée.
Je suis cette femme tremblante à l’espoir insensé,
Eblouie par un rire grave qui sait si bien me troubler.
Se peut-il donc, alors, qu’au bout de ce long chemin,
Il y ait ton sourire et cette joie qui m’étreint ?
Tu fais renaître en moi des chaleurs endormies
Que même un jet brûlant n’aurait su réveiller.
Je songe les yeux ouverts à ton visage aux yeux bleutés.
La joie, à mon rire, ouvre une porte toute illuminée.
Mes sonnets, pleins de pleurs, autrefois, de douleur et de sang
Chantent à présent, au ciel, leur éternel plein chant.
L’ombre qui planait encore sur mes blêmes solitudes
A qui, pourquoi, enfin, dévoiler mes pensées,
Mes rêves, mes souffrances ou mes joyeux délires
Si ceux qui les lisent ne savent plus rêver.
Je ne puis vivre sans aimer et être aimée
Comme un peintre attaché à ses pinceaux,
Un gai violoneux concentré sur son archet,
Je rêve de baisers et de tendre renouveau.
Une rose entre mes doigts, senteur enveloppante
De prémices d’amour aux aubes naissantes,
Je viens, front levé, retrouver mon bien-aimé
Car mon monde c’est lui et sa parole donnée.
Je suis cette femme tremblante à l’espoir insensé,
Eblouie par un rire grave qui sait si bien me troubler.
Se peut-il donc, alors, qu’au bout de ce long chemin,
Il y ait ton sourire et cette joie qui m’étreint ?
Tu fais renaître en moi des chaleurs endormies
Que même un jet brûlant n’aurait su réveiller.
Je songe les yeux ouverts à ton visage aux yeux bleutés.
La joie, à mon rire, ouvre une porte toute illuminée.
Mes sonnets, pleins de pleurs, autrefois, de douleur et de sang
Chantent à présent, au ciel, leur éternel plein chant.
L’ombre qui planait encore sur mes blêmes solitudes
S’est fondue dans le néant, me rendant ma plénitude.
©Valériane
Ce jour là, tu auras TOUT compris et tu feras en sorte ...
* Un peu "tiré" par les tifs celui-là, j'en conviens ...
il faut avancer et les maux s'estompent toujours avec le temps !
je fais en sorte mon ami crois-moi ! merci J.P. bises à toi♫
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