Je vous aurais tant donné

De mes mots que je n’ai volés.

Recherche de l’absolu

Qui n’existe presque plus.

La dépendance a posé les armes

Et meurt parfois la flamme.

Vaincre les chimères

Et fermer les paupières

Sur des valeurs délétères,

Ce serait âpre misère…


J’aurais tant donné

De mes soupirs que je veux oublier…

Envies d’ailleurs, désirs de toujours,

Espoirs et peurs me font la cour.

Naître de ses errances,

Poser la cape d’espérance

Pour offrir son sourire à la Vie…

(c)Valériane