Rappelles-toi dans notre enfance,
L’immensité des champs de blés
Où nous jouions les dimanches,
Envahie d’herbes folles en été.
Leur couleur blonde réchauffée
Par une mer de coquelicots
Vaste étendue rouge-sang, grains de pavots.
La brise les berce, fragiles et éphémères
Sous sa subtile caresse légère.
En tapis flamboyant, ils essaiment
Tout en incendiant les endroits que l’on sème.
Ils étaient provende dans nos petites mains…
Nous étions si surpris de leur déclin.
Leurs pauvres pétales se fanaient soudain.
Ultime souvenir comme un refrain…
©Valériane
Cette année je vais chercher encore , le lieu, l'éclairage, la floraison etc......, si tu connais un lieu, Valériane, tu peux peut-être me le dire.
Bisous, le poëme est trés beau
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