"Quant à la gestuelle des textos, elle crée dans les rues, les transports, les bureaux, une chorégraphie digitale de clones que je suis la seule à trouver grotesque. La ville est peuplée d’autistes qui parlent tout seuls sans se regarder.


Un rêve qui se réalise, c'est un rêve de moins.

Seuls les vrais solitaires, quand ils se rencontrent, peuvent s'aimer sans s'abîmer parce qu'ils n'ont pas besoin de se fuir, d'exercer un pouvoir sur l'autre ou de considérer la durée comme une fin en soi.


Si on se laisse aller au désespoir, on finit mangé par les rêves qu'on a vécus de travers.

Tout a un sens, pour peu qu'on ait un but."

Texte de Didier Van Cauwelaert
fr.wikipedia.org/wiki/Didier_van_Cauwelaert




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