ENCORE 26 "ARTICLES" AVANT LA FIN 2012
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Pour qui,
Pour quoi,
vouloir boucler à marche forcée le chiffre rond d'une centaine ?...
S…
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01 Dec 2012
UN PEU DE TAM TAM POUR L'ARTISTE
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MAURICE est un ami voyageur impénitent, philosophe et poète à ses heures, homme des théâtres de la v…
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29 Nov 2012
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"QUI SE RESSEMBLE...
s'assemble..."
Ce dicton venu des nombreux enseignements, émis d'un ton qui ne souffrait pas la contradiction, par une de mes grands-mères, s'agissant des "petits voyous" qui défrayaient la chronique dans le petit village limousin dans lequel je passais mes vacances d'été, m'est revenu en mémoire au réveil, ce matin.
Qu'avions nous en commun, ces petits "garnements" et moi qui ne devais, à aucun prix, les fréquenter sous peine des foudres de cette bonne (je souligne) femme, soucieuse avant tout de ma sécurité ?
J'avoue volontiers que je passais souvent outre ces sages recommandations et qu'il m'est arrivé
souvent de m'affranchir des limites fixées...Pour me sentir libre de rencontrer qui me convenait et de faire ce qu'il "nous"plaisait de commettre !...
Il y a désormais prescription des "crimes" commis : poubelles renversées, chapardages aux étals des commerces, vitres brisées au lance-pierres, quolibets aux filles qui riaient sous cape en faisant mine de ne pas montrer que nous les intéressions...
Provocations certes de l'âge adolescent...Mais de ces tests de "résistance" qu'en serait-il advenu si au lieu d'être dans un paisible village, nous avions été résidents d'une de ces cités excentrées où sont parquées depuis des décennies des populations d'exilés ?
Ce dicton venu des nombreux enseignements, émis d'un ton qui ne souffrait pas la contradiction, par une de mes grands-mères, s'agissant des "petits voyous" qui défrayaient la chronique dans le petit village limousin dans lequel je passais mes vacances d'été, m'est revenu en mémoire au réveil, ce matin.
Qu'avions nous en commun, ces petits "garnements" et moi qui ne devais, à aucun prix, les fréquenter sous peine des foudres de cette bonne (je souligne) femme, soucieuse avant tout de ma sécurité ?
J'avoue volontiers que je passais souvent outre ces sages recommandations et qu'il m'est arrivé
souvent de m'affranchir des limites fixées...Pour me sentir libre de rencontrer qui me convenait et de faire ce qu'il "nous"plaisait de commettre !...
Il y a désormais prescription des "crimes" commis : poubelles renversées, chapardages aux étals des commerces, vitres brisées au lance-pierres, quolibets aux filles qui riaient sous cape en faisant mine de ne pas montrer que nous les intéressions...
Provocations certes de l'âge adolescent...Mais de ces tests de "résistance" qu'en serait-il advenu si au lieu d'être dans un paisible village, nous avions été résidents d'une de ces cités excentrées où sont parquées depuis des décennies des populations d'exilés ?
Le monde des adultes que nous sommes est-il à ce point "normal" ?
Et sommes-nous encore fidèles à ce que nous fûmes, plus ou moins soumis ou
révoltés selon l'éducation reçue ?
La proximité ou l'éloignement des faits relatés dans les médias, nous
"touchent"- ils de la même façon?
Le débat demeure ...Ouvert ou fermé ?
A chacun(e) d'en décider. L'à venir commence toujours au présent .
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J'aurai l'occasion d'apporter mon éclairage perso en fonction de témoignages recueillis "sur le divan" des unes ou des autres : la sexualité n'est jamais réductible à un schéma simplissime et demeure encore un "objet" tabou n'est ce pas ?...
Malin stupide, spirituel sous une apparente stupidité?
Egalement,
Au féminin pour quelques-unes.
Extra ton article qui en dit long .
Affectueusement.
Je reviendrai,, sans conclure sur cet "épi-noeud" sujet car il n'y a aucune raison que ne soit pas réduit le t'aime ou déteste à ce qu'il n'est pas Quant à nos "rapports" incertains entre êtres humains selon l'histoire, les légendes, la culture et la simple attirance pulsionnelle instantanée quel regard objectif quand on sait la prééminence que prend le statut social dans la "morale"affichée dans la plupart des couples conventionnels , au fil du temps...
Le chanteur ANTOINE a certainement bien résumé la situation du point de vue... masculin. Il n 'a, bien que "consommateur"occasionnel de prostituées, jamais complètement oublié que ses partenaires étaient des êtres humains avec des besoins élémentaires de tous ordre à satisfaire : survivre, élever ses enfants, jouir d'un confort...quasi bourgeois ! Et aussi "s'envoyer en l'air" à l'occasion, pourquoi pas ?
Cf : Certaine chanson de BREL, "chez Adrienne de MONTALENT"...
Mais n'importe qui n'est pas chanteur célèbre ("Julio" IGLéSIAS !...) ni notaire ;-))
Et je connais quelques contemporaines de renom - je ne citerai pas de nom mais je connais ! - qui n'hésitent pas à s'offrir des sensations érotiques avec de beaux jeunes gens ou de caressantes jeunes filles qu'elles entretiennent
aux seules fins de les...satisfaire ! Episodiquement, ça va de soi ;-)) !
Et ce ne sont pas les moins considérées pour autant !
J'ai vu des jeunes filles d'excellente famille dans un Lycée Privé de la banlieue NORD de PARIS se livrer à de telles excentricités que rien ne m'étonnera plus jamais sur les conduites à risques adolescentes...
L'apanage de mon âge qui avance c'est de pouvoir écrire comme un roman les fredaines de ma crise existentielle des années 50/68...auxquelles plus d'une se trouva mêlée ...
Pour "l'édification des générations montantes" si tout ne finit pas à la poubelle !...
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