"Le désir est le désir de l'Autre*" cet à jamais "étranger".



"Qui peut-être cet Autre" ? Qui sera le dernier ?



Qui recueillera le dernier mot ?

Le sujet qui parle est dans la quête, vaine, de devenir le seul objet

de désir, sauf à considérer, conscient, qu'il n'y suffirait pas....



Car l'Autre est toujours l'absent, l'imaginé ...Et son propre "sujet"

d'intérêts multiples, qui ne peut s'aliéner dans un seul désir, sinon

au risque de disparaître.



Mourir d'amour ...Qui a cru ? Et reste encore vivant, bien désirant

vivre ?...Au risque de se perdre, encore ? ...



Demeurer les pieds sur terre, même la tête "ailleurs"...



Chronique de ce jour dédiée à des ami(e)s rêveur(e)s d'intensités...

morbides.